jeudi 19 août 2021

NÎMES 70 sapeurs-pompiers luttent contre un incendie au nord de la route d’Anduze - Objectif Gard

https://www.objectifgard.com/2021/08/18/nimes-70-sapeurs-pompiers-luttent-contre-un-incendie-au-nord-de-la-route-danduze/



3 commentaires:

Anonyme a dit…

�� Nous ne pouvons compter que sur la solidarité !��

"Nous relayons ce texte de Sophia Hocini à propos de la situation en Kabylie.
Là-bas comme en Grèce et en Turquie, les habitants font face aux ravages du feu.
Partout, les politiques sont irresponsables et laissent la population en proie à la violence des flammes. Hommes, femmes et enfants sont déraciné.e.s de leurs villages, et certains locaux se secourent les uns les autres pendant que d’autres tentent de sauver les animaux… Horrifiant !"
.../...

"Le régime algérien a quant à lui préféré se dédouaner subtilement en invoquant la pénurie d’eau et en décrétant le deuil national de trois jours. Seulement, les problématiques de pénurie d’eau n’ont jamais donné lieu à une mesure concrète pour le pallier en mettant en place des réseaux d’eau efficaces dans les zones rurales et dans les quartiers populaires et il n’a jamais été non plus question de financer des engins pour venir à bout des flammes tels que des canadairs.

Face à l’absence de moyens pour agir, le peuple kabyle a exhorté le gouvernement a accepter l’aide internationale pour en venir à bout, mais même face à cette situation d’urgence, le choix de jouer la montre a de nouveau démontré au moins l’indifférence du régime en place au pire leur complicité dans ce qui se caractérise comme une catastrophe humanitaire, écologique et économique. Le dernier bilan faisant pour l’instant état d’au moins 70 décès et de centaines de blessés.

Il y a manifestement de la part du régime algérien, non-assistance à personnes en danger de mort en Kabylie.
De fait, au cours des vingt dernières années, les feux de forêts et l’insécurité d’une manière générale, ont augmenté parallèlement à l’accroissement du nombre d’implantations de structures policières et militaires, jusqu’à faire de la Kabylie le territoire le plus militarisé d’Algérie. Comment expliquer alors l’absence d’intervention sérieuse avec l’équipement adéquat ?

Après la surprise et l’émotion, ce sont de nouveau les villageois qui ont dû coordonner le sauvetage des victimes et l’extinction des incendies avec des moyens dérisoires : des citernes, des tuyaux et des camionnettes. De la même manière, c’est grâce à différents appels sur les réseaux sociaux que la mise à l’abri des rescapés a pu se mettre en place, les uns proposant des couchages, les autres faisant le lien avec les zones sinistrées pour relayer les informations.

De nouveau ces deux derniers jours, c’est sur un élan de solidarité populaire et international que les sinistrés de Kabylie ont pu compter à la fois pour venir à bout des incendies mais surtout prendre en charge les nombreux blessés et traumatisés. Des convois sont acheminés depuis plusieurs autres communes et villages pour fournir de l’eau et des premiers soins aux victimes. Alors que les besoins humanitaires sont urgents, des locaux servant à stocker les denrées collectées ont été fermés à certains endroits par la police algérienne.

De nombreux observateurs affirment qu’il y a un lien direct entre la présence policière et militaire excessive en Kabylie et le processus de délabrement multidimensionnel que connait ce territoire.
Pour le Congrès Mondial Amazigh (CMA) le régime militaire algérien, y compris sa façade civile, veut punir la Kabylie et son peuple qui souhaitent conserver et protéger leur existence et leur singularité linguistique, culturelle, sociale, politique, historique et civilisationnelle.

Cet épisode tragique n’est que la suite logique d’une violence systémique exercée sur les populations autochtones (amazigh) d’Algérie notamment les kabyles qui ont payé plus d’une fois de leur vie leur différence dans un régime qui ne permet aucune libre expression, ni de l’identité, ni de l’opinion.»


https://cerveauxnondisponibles.net/2021/08/13/la-kabylie-en-detresse/

Anonyme a dit…

"Jusqu'au 15 septembre, les pompiers, comme l'ensemble des professionnels de santé concernés, doivent présenter un test Covid négatif, s'il ne sont pas encore vaccinés, pour pouvoir travailler. Une poignée d'entre eux n'ont pas présenté ce test le 16 août au moment de leur prise de poste, ce qui a conduit à leur suspension, a fait savoir le quotidien régional le Dauphiné Libéré ce 19 août au matin, citant trois d'entre eux.

«Je me suis présenté à la garde et je me suis fait jeter comme un moins que rien, après 21 ans de service. Mon autotest n'a pas suffi», a raconté l'un d'eux au journal. « Il a fallu faire des exemples et on a été les premiers à faire les frais », a-t-il déploré."
(...)


https://francais.rt.com/france/89820-sans-vaccin-ni-test-pompiers-ont-ete-suspendus-en-haute-savoie

Anonyme a dit…

https://www.midilibre.fr/2021/08/19/risque-dincendie-maximum-dans-le-gard-la-semaine-de-tous-les-dangers-9739185.php