Et le consultant McKinsey au "service" du ministère de la santé et de Véran, il fait prendre des Opiacés aux Spins doctors qui officient dans la campagne de vaccination ??
USA : McKinsey paie une faramineuse indemnité de 573 millions de dollars
"McKinsey a conclu un accord financier de 573 millions de dollars avec 47 États américains, selon les informations du New York Times du jeudi 3 février. Cette indemnité intervient en réparation du rôle joué par le cabinet dans la « crise des opioïdes », ces antalgiques accusés d’avoir rendu des centaines de milliers d’Américains dépendants à la drogue.
Cet accord est la conséquence de la révélation au grand public, fin novembre dans la presse américaine, de toute l’étendue et de la nature des conseils apportés par McKinsey auprès de Purdue Pharma, l’un des principaux fabricants d’opiocés.
Car si on connaissait depuis début 2019 le rôle de McKinsey auprès de Purdue Pharma, le labo détenu par la richissime famille Sackler (relire notre article) qui produit l’un des médicaments mis en cause, l’OxyContin, son rôle s’est considérablement précisé fin novembre 2020 dans des documents légaux déposés devant un tribunal de commerce fédéral de New York (relire notre article).
Le cabinet continue donc à chercher à s’extraire d’une des plus retentissantes polémiques qui entourent sa marque. Mi-décembre, geste rarissime, le cabinet faisait acte de contrition sur ce dossier en indiquant publiquement qu’« en jetant un regard a posteriori sur le travail que nous avons conduit pour notre client durant la crise des opioïdes, nous reconnaissons que nous n’avons pas pris en compte de façon adéquate le tournant épidémiologique ou l’impact foudroyant des mésusages et des addictions d’opioïdes sur la vie de millions de familles américaines ».
Déjà, en 2019, le cabinet en stratégie avait indiqué ne plus accepter aucune mission en lien avec les opioïdes.
De son côté, Purdue Pharma a annoncé un accord à l’amiable avec le ministère fédéral américain de la Justice (Justice Department) dont le montant est colossal : 8,3 milliards de dollars. Cet accord est intervenu après que le laboratoire avait plaidé coupable concernant des poursuites pénales visant ses politiques de commercialisation de l’OxyContin.
Une somme si conséquente qu’elle va conduire à une dissolution du groupe tel qu’il existe aujourd’hui. La famille Sackler qui possède l’entreprise a accepté de payer 225 millions de dollars (186 M€) – soit 2 % environ de sa fortune – pour clôturer des plaintes au civil. La famille a indiqué ne pas être au courant de la dangerosité du produit que leur entreprise commercialisait.
Plus tôt, le 15 septembre 2019, Purdue Pharma s’était placé sous la protection de la loi américaine sur les faillites, mais restait visé par plus de 2 600 plaintes déposées par des municipalités, des comtés, des États, des tribus ou encore des établissements hospitaliers. Autant d’acteurs avec lesquels, selon le Financial Times, Purdue Pharma pourrait trouver un accord début ou mi-février.
Note : article mis à jour le 04/02 suite à l'information du New York Times confirmant la conclusion de l'accord."
"Les arbitrages des trois députés chargés de l’administration financière de l’Assemblée nationale, n’en finissent plus d’étonner. Après avoir augmenté de 15% la dotation matérielle des députés (DMD), une enveloppe pourtant sous-utilisée par l’immense majorité d’entre eux, le premier questeur, Florian Bachelier (LREM), et ses deux collègues, Laurianne Rossi (LREM) et Eric Ciotti (LR), ont récemment autorisé l’achat de 20.000 masques FFP2, en complément d’un stock déjà existant de 2.000 masques du même type.
Cette décision a été prise à l’occasion de l’avant-dernière réunion du collège des questeurs, le 21 janvier dernier, en même temps que l’acquisition de 40.000 masques chirurgicaux classiques (FFP1). Ils viendront compléter le stock existant à l’Assemblée. Pour rappel, cette réserve avait été évaluée à 300.000 masques “classiques” FFP1, "pour les 1.200 fonctionnaires" de l’Assemblée, par le député d’Ille-et-Vilaine, Florian Bachelier à la fin du mois d’août 2020." (...)
Sanofi : 8 milliards de bénéfices en 2020. 3,8 milliards pour ses actionnaires. Et pourtant…
"L’entreprise veut supprimer 400 postes en France, dont 55 à Montpellier. Les syndicats dénoncent la politique du groupe comme responsable de l’échec de la campagne de vaccination… Rappelons que Sanofi touche des aides de l’État sous forme du CICE. En France, 90 milliards d’euros ont été versées aux entreprises privées par l’État en 2020, majoritairement aux grandes entreprises. Comme le rappelle le magazine Frustration, 500 000 emplois ont pourtant été perdus sur le seul premier trimestre 2020… Des milliards d’euros issus de nos impôts sont donc versées à des entreprises qui licencient et à leurs actionnaires. Une subvention publique massive et injustifiée."
T'inquiètes chérie, je me referais la cerise un peu plus tard !
"On est effarés, sidérés", s'est désolée Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses de l'hôpital Saint-Antoine à Paris, auprès de L'Obs. "Malgré l'évidence scientifique, Macron a été porté par son côté libéral." Agacée, la professionnelle de santé n'avait pas hésité à faire part de son agacement, deux jours après les dernières annonces de Jean Castex. Invitée sur le plateau de LCI le 31 janvier dernier, elle espérait alors qu'Emmanuel Macron avait pris sa décision "en connaissance de cause et en regardant ce qu'il se passait dans les pays autour du nôtre"." (...)
«Les tactiques marketing cyniques et délibérées de McKinsey ont contribué à alimenter la crise des opiacés en aidant Purdue Pharma à cibler les médecins dont ils savaient qu'ils sur-prescrivaient les opiacés», a fustigé Mme James. McKinsey a notamment conseillé Purdue Pharma, qui a plaidé coupable l'an dernier dans ce dossier, pour l'aider à doper les ventes, selon l'État de New York. Il a recommandé au groupe pharmaceutique de se concentrer sur les dosages élevés considérés comme les plus lucratifs, d'après les documents judiciaires produits par les plaignants.
Cet accord, conclu avec 47 États américains au total et le District de Columbia qui comprend la capitale fédérale Washington, doit encore être validé par un juge comme le réclame la justice américaine. Outre la pénalité financière, McKinsey a aussi accepté des restrictions futures sur le champ de son activité: le cabinet n'acceptera plus de conseiller une firme sur le développement, la fabrication, la promotion, le marketing, la vente, l'utilisation d'un opiacé ou de tout narcotique.
Près d'un demi-million d'Américains sont morts d'overdose causée à la fois par des opiacés prescrits ou vendus illégalement entre 1999 et 2018, selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies."
Les consultants McKinsey : « Ils empruntent votre montre pour vous donner l'heure »
Organisation multidivisionnaire
"En 1926, convaincu que cette approche peut être utile aux entreprises américaines, James McKinsey crée sa firme de conseil tout en continuant à donner des cours à l'université de Chicago. James O. McKinsey et Compagnie, ingénieurs en comptabilité et management : tel est le nom de l'entreprise qui, de manière révélatrice, préfère le terme « ingénieur » à celui de « consultant ». Alors que le taylorisme fait référence dans les milieux industriels, McKinsey entend se rattacher à la tradition de l'organisation scientifique du travail. Le moment pour se lancer est bien choisi. Depuis la fin de la guerre, les Etats-Unis connaissent une forte croissance que le krach boursier de 1929 viendra brutalement interrompre. A la tête des grandes entreprises du pays, une nouvelle génération de managers salariés a remplacé les « barons voleurs » de la génération précédente, ces figures hautes en couleur qui, à force de spéculations, de manoeuvres frauduleuses et même de coups tordus, ont bâti le capitalisme américain. [...]" (...)
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Et le consultant McKinsey au "service" du ministère de la santé et de Véran, il fait prendre des Opiacés aux Spins doctors qui officient dans la campagne de vaccination ??
USA : McKinsey paie une faramineuse indemnité de 573 millions de dollars
"McKinsey a conclu un accord financier de 573 millions de dollars avec 47 États américains, selon les informations du New York Times du jeudi 3 février. Cette indemnité intervient en réparation du rôle joué par le cabinet dans la « crise des opioïdes », ces antalgiques accusés d’avoir rendu des centaines de milliers d’Américains dépendants à la drogue.
Cet accord est la conséquence de la révélation au grand public, fin novembre dans la presse américaine, de toute l’étendue et de la nature des conseils apportés par McKinsey auprès de Purdue Pharma, l’un des principaux fabricants d’opiocés.
Car si on connaissait depuis début 2019 le rôle de McKinsey auprès de Purdue Pharma, le labo détenu par la richissime famille Sackler (relire notre article) qui produit l’un des médicaments mis en cause, l’OxyContin, son rôle s’est considérablement précisé fin novembre 2020 dans des documents légaux déposés devant un tribunal de commerce fédéral de New York (relire notre article).
Le cabinet continue donc à chercher à s’extraire d’une des plus retentissantes polémiques qui entourent sa marque. Mi-décembre, geste rarissime, le cabinet faisait acte de contrition sur ce dossier en indiquant publiquement qu’« en jetant un regard a posteriori sur le travail que nous avons conduit pour notre client durant la crise des opioïdes, nous reconnaissons que nous n’avons pas pris en compte de façon adéquate le tournant épidémiologique ou l’impact foudroyant des mésusages et des addictions d’opioïdes sur la vie de millions de familles américaines ».
Déjà, en 2019, le cabinet en stratégie avait indiqué ne plus accepter aucune mission en lien avec les opioïdes.
De son côté, Purdue Pharma a annoncé un accord à l’amiable avec le ministère fédéral américain de la Justice (Justice Department) dont le montant est colossal : 8,3 milliards de dollars. Cet accord est intervenu après que le laboratoire avait plaidé coupable concernant des poursuites pénales visant ses politiques de commercialisation de l’OxyContin.
Une somme si conséquente qu’elle va conduire à une dissolution du groupe tel qu’il existe aujourd’hui. La famille Sackler qui possède l’entreprise a accepté de payer 225 millions de dollars (186 M€) – soit 2 % environ de sa fortune – pour clôturer des plaintes au civil. La famille a indiqué ne pas être au courant de la dangerosité du produit que leur entreprise commercialisait.
Plus tôt, le 15 septembre 2019, Purdue Pharma s’était placé sous la protection de la loi américaine sur les faillites, mais restait visé par plus de 2 600 plaintes déposées par des municipalités, des comtés, des États, des tribus ou encore des établissements hospitaliers. Autant d’acteurs avec lesquels, selon le Financial Times, Purdue Pharma pourrait trouver un accord début ou mi-février.
Note : article mis à jour le 04/02 suite à l'information du New York Times confirmant la conclusion de l'accord."
https://www.consultor.fr/devenir-consultant/breves/6351-usa-mckinsey-negocie-une-faramineuse-indemnite-pour-eviter-un-proces.html
ÉRIC CIOTTI TOUJOURS DANS LES PLANS FOIREUX
EXCLU CAPITAL
"Les arbitrages des trois députés chargés de l’administration financière de l’Assemblée nationale, n’en finissent plus d’étonner. Après avoir augmenté de 15% la dotation matérielle des députés (DMD), une enveloppe pourtant sous-utilisée par l’immense majorité d’entre eux, le premier questeur, Florian Bachelier (LREM), et ses deux collègues, Laurianne Rossi (LREM) et Eric Ciotti (LR), ont récemment autorisé l’achat de 20.000 masques FFP2, en complément d’un stock déjà existant de 2.000 masques du même type.
Cette décision a été prise à l’occasion de l’avant-dernière réunion du collège des questeurs, le 21 janvier dernier, en même temps que l’acquisition de 40.000 masques chirurgicaux classiques (FFP1). Ils viendront compléter le stock existant à l’Assemblée. Pour rappel, cette réserve avait été évaluée à 300.000 masques “classiques” FFP1, "pour les 1.200 fonctionnaires" de l’Assemblée, par le député d’Ille-et-Vilaine, Florian Bachelier à la fin du mois d’août 2020."
(...)
https://www.capital.fr/economie-politique/le-mystere-des-20000-masques-ffp2-achetes-par-lassemblee-1392965
Social
EN BREF
Sanofi : 8 milliards de bénéfices en 2020. 3,8 milliards pour ses actionnaires. Et pourtant…
"L’entreprise veut supprimer 400 postes en France, dont 55 à Montpellier.
Les syndicats dénoncent la politique du groupe comme responsable de l’échec de la campagne de vaccination…
Rappelons que Sanofi touche des aides de l’État sous forme du CICE. En France, 90 milliards d’euros ont été versées aux entreprises privées par l’État en 2020, majoritairement aux grandes entreprises. Comme le rappelle le magazine Frustration, 500 000 emplois ont pourtant été perdus sur le seul premier trimestre 2020…
Des milliards d’euros issus de nos impôts sont donc versées à des entreprises qui licencient et à leurs actionnaires. Une subvention publique massive et injustifiée."
https://lepoing.net/sanofi-8-milliards-de-benefices-en-2020-38-milliards-pour-ses-actionnaires-et-pourtant/
VOUS JOUEZ AVEC LES NERFS DES FRANÇAIS !
Mathilde Panot
https://youtu.be/0ad89eXpOCY
"Nous continuerons à refuser de vous donner les plein-pouvoirs quand nous aurions tant besoin de démocratie en pandémie."
T'inquiètes chérie, je me referais la cerise un peu plus tard !
"On est effarés, sidérés", s'est désolée Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses de l'hôpital Saint-Antoine à Paris, auprès de L'Obs. "Malgré l'évidence scientifique, Macron a été porté par son côté libéral." Agacée, la professionnelle de santé n'avait pas hésité à faire part de son agacement, deux jours après les dernières annonces de Jean Castex. Invitée sur le plateau de LCI le 31 janvier dernier, elle espérait alors qu'Emmanuel Macron avait pris sa décision "en connaissance de cause et en regardant ce qu'il se passait dans les pays autour du nôtre"."
(...)
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/on-est-effares-sideres-emmanuel-macron-severement-juge-par-karine-lacombe_462648
La Firme fait du deal overdosé
«Marketing cynique»
«Les tactiques marketing cyniques et délibérées de McKinsey ont contribué à alimenter la crise des opiacés en aidant Purdue Pharma à cibler les médecins dont ils savaient qu'ils sur-prescrivaient les opiacés», a fustigé Mme James. McKinsey a notamment conseillé Purdue Pharma, qui a plaidé coupable l'an dernier dans ce dossier, pour l'aider à doper les ventes, selon l'État de New York. Il a recommandé au groupe pharmaceutique de se concentrer sur les dosages élevés considérés comme les plus lucratifs, d'après les documents judiciaires produits par les plaignants.
Cet accord, conclu avec 47 États américains au total et le District de Columbia qui comprend la capitale fédérale Washington, doit encore être validé par un juge comme le réclame la justice américaine. Outre la pénalité financière, McKinsey a aussi accepté des restrictions futures sur le champ de son activité: le cabinet n'acceptera plus de conseiller une firme sur le développement, la fabrication, la promotion, le marketing, la vente, l'utilisation d'un opiacé ou de tout narcotique.
Près d'un demi-million d'Américains sont morts d'overdose causée à la fois par des opiacés prescrits ou vendus illégalement entre 1999 et 2018, selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies."
https://www.lefigaro.fr/societes/crise-des-opiaces-mckinsey-paie-573-millions-de-dollars-pour-solder-des-poursuites-20210204
Les consultants McKinsey : « Ils empruntent votre montre pour vous donner l'heure »
Organisation multidivisionnaire
"En 1926, convaincu que cette approche peut être utile aux entreprises américaines, James McKinsey crée sa firme de conseil tout en continuant à donner des cours à l'université de Chicago. James O. McKinsey et Compagnie, ingénieurs en comptabilité et management : tel est le nom de l'entreprise qui, de manière révélatrice, préfère le terme « ingénieur » à celui de « consultant ». Alors que le taylorisme fait référence dans les milieux industriels, McKinsey entend se rattacher à la tradition de l'organisation scientifique du travail. Le moment pour se lancer est bien choisi. Depuis la fin de la guerre, les Etats-Unis connaissent une forte croissance que le krach boursier de 1929 viendra brutalement interrompre. A la tête des grandes entreprises du pays, une nouvelle génération de managers salariés a remplacé les « barons voleurs » de la génération précédente, ces figures hautes en couleur qui, à force de spéculations, de manoeuvres frauduleuses et même de coups tordus, ont bâti le capitalisme américain. [...]"
(...)
https://www.lesechos.fr/2016/08/james-mckinsey-lhomme-qui-murmurait-aux-oreilles-des-patrons-1112098
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