mercredi 23 septembre 2020


 

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Sacrée Covid-19 qui blesse avant de tuer...



"C 'est un vrai casse-tête financièrement, familialement, humainement... et nous ne sommes pas malades !"

Céline, kinésithérapeute à Pointe-à-Pitre
(...)



https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/lozere/covid-couple-soignants-bloque-lozere-pouvoir-rentrer-lui-martinique-travailler-1876200.html

Anonyme a dit…

Maintenir le "peuple" dans la peur, laver les cerveaux, abrutir la vile populace,
Et par ordonnances massacrer le code du travail, juguler les libertés individuelles et collectives, piétiner le citoyen, et pendant ce temps ...... pauvres couillons, moutons bêlants, je veux pas mourir .... se ruent pour passer des pseudos tests dont ils auront les résultats quand ils seront morts d'autres patholgies..

Anonyme a dit…

Professeur Perronne «On est en train de verrouiller la démocratie»
Mad


https://youtu.be/a_p6vScqq9A



Professeur Perronne «On est en train de verrouiller la démocratie» youtube
Extrait de l'émission «André Bercoff dans tous ses états» diffusée sur Sud Radio le 22/09/20

Anonyme a dit…

"Terra Fecundis" : de la Camargue au Vaucluse, entre servitude et esclavage...


#Invisibles #Enfer #Agriculture

DANS L’ENFER DES TRAVAILLEUR.SES AGRICOLES
Le Média


https://youtu.be/RYTrmFFvlK4



Au début du confinement, le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume appelait les français sans activité ou au chômage partiel à « travailler dans les champs » pour palier au manque de main d'oeuvre agricole et éviter une pénurie alimentaire à cause de la fermeture des frontières.

La dépendance de notre modèle agricole à la main-d’œuvre étrangère n’est cependant pas récente. Chaque année, environ 11,000 ouvrier.e.s agricoles étranger.e.s saisonnier.e.s viennent travailler dans le seul département des bouches du Rhône. Ces travailleur.ses migrant.es, en provenance d’Amérique du Sud, d’Afrique du Nord et subsaharienne sont très présents en viticulture, maraîchage et arboriculture intensifs. Ils et elles enchaînent les missions saisonnières dans nos champs, et pourtant nous ne les voyons pas.

Derrière cette invisibilité, se cache des conditions de travail et de vie très dures et précaires, parfois même indignes, facilitées par la pratique de plus en plus répandue du “détachement”. Ce système permet à un.e exploitant.e agricole français, de sous traiter le recrutement et la gestion administrative d’un salarié.e agricole à une boîte d’interim espagnole et de faire ainsi de nombreuses économies : en gestion de personnel, en heures supplémentaires, prévention...

Des procès, dont celui en cours de Yasmine contre l’entreprise espagnole Laboral Terra (ex salariées agricole marocaine) qui témoigne dans ce reportage, dénoncent depuis quelques années ces pratiques frauduleuses et plus largement de contournement du droit du travail français.

En lame de fond, se pose aussi la question de notre rôle, en tant que consommateur.rice, qui en n’ouvrant pas les yeux sur les produits que nous achetons participons à entretenir l’orientation productiviste, intensive et industrielle de notre agriculture qui sont à la base de ces conditions de travail.

Aller plus loin:
Pour mieux regarder la réalité du travail agricole qui se cache derrière nos aliments, il existe certaines initiatives comme le réseau AMAP ou Près de chez nous.

Crédits :
Réalisation et montage : Caroline Delboy
Renfort montage: Alexis Debaye
Photos reportage : Caroline Delboy, Frédéric Décosse,
Nelly Berrones, Yasmine, Vidal C, Mathieu Eisinger