Et alors ? Quand tu as dit ça, tu veux dire quoi ? En plus tu en oublies ! Accidents professionnels et domestiques, attentats, catastrophes climatiques, sports, vieillesse, etc. J'espère que ton échelle de valeur ne laisse pas sous-entendre que les efforts à les réduire doit être sélectif ?
Et dans quelle case tu mettrais cet acte là 19h53 ? Celui de la démence ou de la bêtise crasse ?
Un agriculteur intoxiqué, des cultures détruites : une exploitation bio détruite au glyphosate dans les Bouches-du-Rhône
Intoxiqué, l’exploitant, qui avait consommé sa production, a dû être hospitalisé. Son épouse et lui ont porté plainte. Les agriculteurs voisins sont montrés du doigt. (...)
"Mais quelques jours plus tard, l’agriculteur doit être hospitalisé en urgence. Fiévreux, il est aussi victime de vomissements et atteint de diarrhées. Il perd sept kilos en quatre jours. Son état le résout à faire des tests : il a été victime d’une intoxication au glyphosate. L’herbicide a été pulvérisé sur ses cultures bio. Les voilà inexploitables, et surtout toxiques, impropres à la consommation en label bio. Six serres sur neuf ont été aspergées, le manque à gagner s’élève à 35 000 euros. « Ces serres-là, je ne peux plus les mettre en culture pendant deux ans », se lamente Oriane Arlaud, l’épouse de Tristan."
Ce passage à l’hôpital pousse le couple à prendre un avocat, qui dépose plainte auprès du procureur, à Aix-en-Provence, le 4 août.
« La piste locale est évidente »
"Tristan et Oriane Arlaud ont peu de doutes quant à la responsabilité des agriculteurs voisins dans cet acte de malveillance, d’autant que certains d’entre eux sont connus des services des gendarmes à la suite de leurs premières plaintes, en 2016. « Les auteurs sont non seulement identifiés, mais pour certains, ils ont été entendus par les services de la gendarmerie de Venelles, ont reconnu une partie des faits. Pour autant, ils n’ont pas été renvoyés devant un tribunal correctionnel », s’étonne Me Motemps. L’avocat souhaite que « les auteurs soient entendus et qu’ils procèdent à des explications » concernant cette dernière attaque au glyphosate.
Oriane Arlaud abonde :
« La piste locale, elle est évidente. De plus, nous ne sommes pas du tout exposés, nous sommes au bout d’un chemin rural. Ce n’est pas facile à trouver, et encore moins de nuit. C’était organisé, c’est l’œuvre de plusieurs personnes. Pour faire ce qui a été fait, il faut être équipé, avoir des pulvérisateurs à dos. Cela constitue un faisceau de présomptions assez clair, je pense. C’est à la justice de faire son travail maintenant et d’identifier les auteurs. » (...)
5 commentaires:
Et alors ? Quand tu as dit ça, tu veux dire quoi ? En plus tu en oublies ! Accidents professionnels et domestiques, attentats, catastrophes climatiques, sports, vieillesse, etc. J'espère que ton échelle de valeur ne laisse pas sous-entendre que les efforts à les réduire doit être sélectif ?
?,,?
Obscur
19:53 tu le fais exprès ?
19:53, ce sont toujours ceux qui n'ont rien compris, ou qui n'ont rien à dire, qui aboient le plus fort, histoire de faire croire qu'ils existent!
Et dans quelle case tu mettrais cet acte là 19h53 ? Celui de la démence ou de la bêtise crasse ?
Un agriculteur intoxiqué, des cultures détruites : une exploitation bio détruite au glyphosate dans les Bouches-du-Rhône
Intoxiqué, l’exploitant, qui avait consommé sa production, a dû être hospitalisé. Son épouse et lui ont porté plainte. Les agriculteurs voisins sont montrés du doigt.
(...)
"Mais quelques jours plus tard, l’agriculteur doit être hospitalisé en urgence. Fiévreux, il est aussi victime de vomissements et atteint de diarrhées. Il perd sept kilos en quatre jours. Son état le résout à faire des tests : il a été victime d’une intoxication au glyphosate. L’herbicide a été pulvérisé sur ses cultures bio. Les voilà inexploitables, et surtout toxiques, impropres à la consommation en label bio. Six serres sur neuf ont été aspergées, le manque à gagner s’élève à 35 000 euros. « Ces serres-là, je ne peux plus les mettre en culture pendant deux ans », se lamente Oriane Arlaud, l’épouse de Tristan."
Ce passage à l’hôpital pousse le couple à prendre un avocat, qui dépose plainte auprès du procureur, à Aix-en-Provence, le 4 août.
« La piste locale est évidente »
"Tristan et Oriane Arlaud ont peu de doutes quant à la responsabilité des agriculteurs voisins dans cet acte de malveillance, d’autant que certains d’entre eux sont connus des services des gendarmes à la suite de leurs premières plaintes, en 2016. « Les auteurs sont non seulement identifiés, mais pour certains, ils ont été entendus par les services de la gendarmerie de Venelles, ont reconnu une partie des faits. Pour autant, ils n’ont pas été renvoyés devant un tribunal correctionnel », s’étonne Me Motemps. L’avocat souhaite que « les auteurs soient entendus et qu’ils procèdent à des explications » concernant cette dernière attaque au glyphosate.
Oriane Arlaud abonde :
« La piste locale, elle est évidente. De plus, nous ne sommes pas du tout exposés, nous sommes au bout d’un chemin rural. Ce n’est pas facile à trouver, et encore moins de nuit. C’était organisé, c’est l’œuvre de plusieurs personnes. Pour faire ce qui a été fait, il faut être équipé, avoir des pulvérisateurs à dos. Cela constitue un faisceau de présomptions assez clair, je pense. C’est à la justice de faire son travail maintenant et d’identifier les auteurs. »
(...)
https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/08/14/un-agriculteur-intoxique-des-cultures-detruites-une-exploitation-bio-detruite-au-glyphosate-dans-les-bouches-du-rhone_6048990_3244.html
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