vendredi 31 juillet 2020

une prison au mauvais endroit


Bonjour,

Je fais parti de l'association " GardonS,Patrimoine & environnement ".

Je souhaite tous vous informer de ce qu'il nous arrive. Peut être que plusieurs personnes recevront plusieurs fois ce mail, mais ne m'en veuillez pas.

Notre action prend de l'ampleur, mais nous devons être nombreux pour se battre contre les institutions en place.

Vous trouverez en pièce jointe notre document phare. Nous avons aussi:

- une page Facebook.GardonS patrimoine & environnement.

- un site internet.gardons-patrimoine-environnement.fr.

- une adresse mail.gardons.patrimoine.envirennement@gmail.com.

- une ligne téléphonique. 06 08 47 30 43.

- nous sommes aussi sur change.org.

A ce jour toutes pétitions confondues, nous avons dépassé les 2000. Notre but est d'atteindre les 4000 pour fin Septembre 2020.

Je souhaite que vous comprendrez notre action ou pas..............

Dans l'affirmative, j'attends vos pétitions

Bien cordialement,

Patrick et Dominique Vin

06 08 47 30 43

3 commentaires:

Anonyme a dit…

#Déconfinement #Prison #Melun

PAS DE DÉCONFINEMENT POUR LES PRISONS : DÉSESPOIR DES FAMILLES ABANDONNÉES
Le Média


https://youtu.be/VvrmxPgXDeU



Le 18 mars dernier, la France se confinait pour la première fois de son histoire moderne. Et avec elle, ses prisons. Depuis, l’épidémie de la Covid19 a ralenti sa diffusion. Les Français ont pu reprendre leur vie presque comme avant, mais pas les prisonniers. Et les familles de détenus non plus. Les parloirs individuels sont longtemps restés interdits à Jenny, compagne d’un détenu incarcéré à Melun.

Nous l’avons rencontrée au sortir d’un parloir avec son conjoint à Melun. Elle nous a raconté son calvaire. Car pour son compagnon et elle, les parloirs, jusqu’à ce dimanche 19 juillet, c’était une salle commune de rencontre avec des plexiglas qui séparaient les visiteurs des détenus, et des masques. Un zèle revendiqué dans ces mesures sanitaires, qui a entraîné une levée de boucliers des familles de détenus. Ces dernières réclament un allègement des mesures-barrières dans les parloirs, pour pouvoir maintenir ce lien indispensable avec les détenus, souvent oubliés de la société.
Un entretien réalisé par Romain Mahdoud.

Anonyme a dit…

Pas de commentaires... Tout le monde s'en fou ou quoi ?

julian louis a dit…

Disons que dire ou écrire "pas de prison ici" veut dire qu'on veut qu'elle se fasse ailleurs où forcément il y aura des gens qui n'en voudront pas . Donc pour espérer mobiliser plus ,il faudrait que plus soient impactés ou que l'opposition change de niveau : faire venir des pénalistes , juristes , qui ont travaillé sur des alternatives à la prison ,serait plus constructif et ferait venir des soutiens de tout le pays .
Si on a réussi à bloquer le projet A79 qui devait passer pile sur les terres convoitées pour la prison , c'est qu'on s'est appliqué à démonter les arguments de ceux qui voulaient cette autoroute (Roustan en tête)et à développer des alternatives au tout routier .L'histoire nous donne raison et il n'y a que des élus au logiciel bloqué dans les années 70 qui rêvent encore d'inaugurer des rubans de goudron.
Ce sera pareil pour les prisons ...dans quelques années on aura trouvé d'autres moyens , soyez donc de ceux qui auront fait avancer les choses
louis julian