mercredi 17 juin 2020

CASSEURS" : LA POLICE PRISE EN FLAGRANT DÉLIT - SERGE GARDE




 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "La réflexion du matin" :

Inspecteur "Labavure", montrez votre RIO...



#FaitsDhier #Casseurs #Police

"CASSEURS" : LA POLICE PRISE EN FLAGRANT DÉLIT - SERGE GARDE
Le Média


https://youtu.be/VtEZI954b5M

Ces casseurs pas si anonymes que cela, ça nous rappellerait presque la situation de nos jours, Serge Garde nous en parle dans ce tout premier numéro de Faits d'Hi 

5 commentaires:

Anonyme a dit…

VIOLENCES POLICIÈRES

« En envoyant des individus armés pour gérer les problèmes sociaux, on augmente le risque de blessures ou de morts »


"À travers le monde les mobilisations pour dénoncer les brutalités policières ne faiblissent pas et lancent aux institutions le même appel : ce système, malade de son impunité, doit cesser. Alors comment réduire les violences policières ? Réponses de Magda Boutros, sociologue à l’Université de Chicago qui travaille sur les mobilisations contre les violences et discriminations policières."
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Le nombre de personnes tuées par la police aux États-Unis est dix fois plus important qu’en France, qu’en Allemagne ou qu’au Royaume-Uni. Comment expliquez-vous que des mobilisations de grande ampleur gagnent aussi l’Europe ?

"Le nombre de personnes qui meurent d’une intervention policière est effectivement bien plus élevé aux Etats-Unis que dans les autres démocraties occidentales. Les États-Unis font, là, figure d’exception. Même si les chiffres ne sont pas comparables, on constate cependant des similarités concernant les pratiques policières en France et aux États-Unis. Premièrement, la police tue régulièrement des personnes qui ne représentent pas de danger pour autrui. La base de données que vous avez publiée montre bien cela : 57 % des victimes n’étaient pas armées quand elles ont été tuées par balles, et seulement 10 % des personnes tuées avaient préalablement attaqué les forces de l’ordre. Ce n’est pas parce que les États-Unis ont un taux effrayant de violences policières que les réalités française, allemande ou britannique des violences policières ne posent pas des réels problèmes. En France, on a quand même une augmentation importante du nombre de morts, jusqu’à 37 en 2017. Ces chiffres devraient inquiéter tout le monde. [...]"
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https://www.bastamag.net/police-violences-racisme-bavures-abolitionnistes-Black-Lives-Matter-IGPN-IGGN-Justice

Anonyme a dit…

"D'après un récent article du Canard Enchaîné, l'actuel ministre de l'Intérieur ne pourrait même plus compter sur le soutien du Président de la République. En privé, il aurait même soufflé "Casta, ça ne le fait pas". Le divorce semble inévitable."


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/un-proche-de-brigitte-macron-pour-remplacer-christophe-castaner-sur-la-sellette_450211

Anonyme a dit…

"Si vous découvrez ce spécimen original de contravention sur le pare-brise de votre véhicule, ne soyez pas surpris : vous n’êtes pas verbalisé par des policiers « un peu timbrés ». "


https://actu.fr/occitanie/montpellier_34172/policiers-en-colere-a-montpellier-un-timbre-amende-inattendu-magique-et-merveilleux_34332257.html

Anonyme a dit…

"L'article du point évoque une étrange anecdote, une scène pour le moins surréaliste qui a eu lieu un dimanche avant le début de l'épidémie de Covid-19. Alors que le président Macron s'entretient avec des conseillers dans son bureau de l'Elysée, des éclats de voix se font entendre en bruit de fond. "Ils découvrent Christophe Castaner allongé sur le canapé en cuir, vêtu d'un simple sweart shirt et d'un jean, venu en voisin de la place Beauvau.", écrit Le Point. Très à l'aise, le ministre de l'intérieur commente sans gêne les images qui défilent à l'écran mais aussi les propos du président."
(...)


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/christophe-castaner-comme-chez-lui-a-lelysee-cette-etrange-anecdote_450249

Anonyme a dit…

ANALYSE

À Montpellier comme ailleurs, les plaintes des gilets jaunes blessés n’aboutissent pas
Marches des mutilés, le 12 janvier 2019 à Montpellier

Les centaines de cas de violences policières recensés lors du mouvement des gilets jaunes ont donné lieu à seulement deux condamnations. Aucune des plaintes des manifestants blessés à Montpellier n’a abouti.


"Brigitte Julien, la directrice de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), le corps policier chargé d’enquêter sur la police, joue cartes sur table dans son dernier rapport : sa première ambition affichée est de « valoriser l’institution et ses agents ». L’IGPN, qui revendique être « une instance au service de l’institution », considère que la multiplication des contestations en 2019 explique « mécaniquement un risque plus important pour l’intégrité physique des personnes (usagers et forces de l’ordre) ». Le message est clair: si vous manifestez, vous devenez un
«usager» de la force publique, et votre
«intégrité physique» n’est pas garantie.
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À Montpellier, affaires « en cours »

"Le journaliste David Dufresne a documenté, notamment grâce au Poing, plus de soixante cas de violences policières à Montpellier entre février et juin 2019. Ce chiffre n’inclut donc pas les blessés rapportés par Le Poing après juin, notamment à l’occasion des actes 36, 43, 52, 56, 64, 79 et lors des manifestations contre la réforme des retraites les 5 et 10 décembre. Sans compter les blessés passés sous les radars médiatiques.

Cinq plaintes de manifestants blessés à Montpellier ont été pris en considération par les autorités et sont « en cours » de traitement note David Dufresne. Les services enquêteurs sont l’IGPN de Marseille et la direction départementale de la sécurité publique de l’Hérault. Les policiers de Montpellier enquêtent donc sur les policiers de Montpellier. Aucun policier n’a été auditionné, et seules deux victimes ont été entendues. Dans ces conditions, les plaintes pour violences par personne dépositaire de l’autorité publique de Louis, 60 jours d’ITT, Véronique, 12 jours d’ITT, Yvan, 5 jours d’ITT, Axel, touché à la tête par un tir de LBD et X, tabassé au sol, risquent d’être classées sans suite. Traumatismes psychologiques, perte d’odorat, douleur crânienne fulgurante, pressions internes dans l’œil, insomnies, cicatrices : à ces douleurs vécues s’ajoutent un immense sentiment de colère et d’injustice."
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Indécence policière
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"La question des violences policières ne se limite bien évidemment pas aux manifestants et militants, elle a d’abord largement été déployée contre les supporters et de foot et les habitants des quartiers populaires, dans un silence assourdissant.

Mutilations banalisées, injustices systémiques, mensonges humiliants… : l’État joue avec le feu. L’humain est un animal politique et social, et quand l’animal est blessé, le danger est décuplé. Affaibli, l’animal se laisser approcher, mais s’il lui reste de la force, il déclenchera son attaque quand il sera sûr de son coup.


À la fin de la marche des mutilés du 12 janvier à Montpellier, les policiers avaient récupéré ces yeux accrochés aux grilles de la préfecture et avaient joué au foot avec…"



https://lepoing.net/a-montpellier-comme-ailleurs-les-plaintes-des-gilets-jaunes-blesses-naboutissent-pas/