dimanche 31 mai 2020

Pierre Moscovici sera nommé mercredi à la tête de la Cour des comptes

https://www.20minutes.fr/economie/2789559-20200530-pierre-moscovici-nomme-mercredi-tete-cour-comptes

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Qui se rappelle de cette anecdote ?
Il y a plusieurs dizaines d’ années cet encore socialiste de Moscovid-ci était venu pour un meeting Ou une conférence
Un cadre local du PS lui avait réservé un hotel très correct à Nimes
Mais voila ce monsieur décréta que cet hotel n’ était pas à sa hauteur
Le changement d’ hotel a été fait : le plus grand hotel de Nimes a donc été choisi
De toutes façon a t-il dit « ce sont les militants qui payent »
Depuis cet incident ce cadre politique (qui est décédé ) ne pouvait plus voir ce Moscovid-ci (encore un nouveau virus)

Anonyme a dit…

9h33 aujourd'hui il réclame des cure-dents dorés à l'or fin 24 carats, des chiottes d'hôtel avec lunettes de WC en céramique blanche hypo-allergénique et des traversins de lit rembourrés à la plume d'oie de Guinée. Un vrai Cassandre des deniers de l'économie.

Anonyme a dit…

Bien vu! Le Mos-covid-20 va arriver...

Anonyme a dit…

MERCREDI, JOUR DES ENFANTS
À propos de la visioconférence présidentielle du 6 mai au sujet de la culture



"La Brigade d’Intervention Linguistique (BIL) s’était déjà livrée, dans nos colonnes, à deux interventions d’urgence (pour rétablir l’ordre et le sens des mots) portant sur deux discours présidentiels. La première concernait le Big Debate National (organisé en réponse au mouvement des gilets jaunes) et annonçait moins un débat qu’une vaste enquête zoologique. La seconde opération visait les « voeux » - ou plutôt les menaces - adressés aux travailleurs à l’occasion de l’annulation du dernier 1er-mai. La Brigade réitère cette semaine, à propos de l’hallucinante visioconférence qui a lieu entre le chef de l’Etat et le «monde sinistré de la culture». Et nous pose cette question : allons-nous plus longtemps nous laisser « mépriser, martyriser et tyranniser par un enfant-président » ?"
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"Alors aujourd’hui, nous voilà gouvernées par un enfant tyrannique.
Que faire ? Pas de panique. Si la lutte contre le dictateur est connue, la lutte contre l’enfant tyrannique aussi : dire NON. Un intéressant point de conjonction des méthodes et de convergence des luttes.

Ce renversement de paradigme politico-familial nous mène au constat suivant :

D’une part, nous ne pouvons décemment nous laisser mépriser, martyriser et tyranniser par un enfant-président, individu mû par un désir débridé qui rêve tour à tour de coucher avec nous et de nous tuer et qui, de plus, a les moyens de le faire (ce qui n’est pas commun à beaucoup d’enfants). Il en va de la survie qui est la nôtre.

D’autre part, cette insurrection fait de nous les seuls individus autonomes et responsables en mesure de déterminer quand les limites sont franchies, et de le manifester, en parents désireux de continuer à mener leur vie.
Ce ne serait d’ailleurs que rendre service à l’enfant-président qui comme chacune et chacun le sait, ne peut toute sa vie durant surfer sur la vague du désir illimité de pouvoir et de puissance sans mettre en péril sa santé mentale. Encore eût-il fallu que nous eussions envie de l’aider.

Aussi après cet instructif voyage au pays des préceptes présidentiels visioconférencés, nous savons que :

— le tyran biface omnipotent à la tête de l’État est en roue-libre
— nous n’avons besoin de personne, ni en Harley Davidson, ni pour nous gouverner

Et que la lutte continue"

Brigade d’Intervention Linguistique


https://lundi.am/Mercredi-jour-des-enfants

Anonyme a dit…

Pierre Moscovici, Thierry Breton, Christine Lagarde… Le grand recyclage des “élites”


Pierre Moscovici a donc quitté la Commission européenne pour la Cour des comptes, Sylvie Goulard, privé de poste de Commissaire a reçu son lot de consolation tandis que Thierry Breton prenait sa place, Christine Lagarde est passée du FMI à La BCE sans peine… La valse des hauts fonctionnaires révèle un entre-soi élitiste qui met à mal la démocratie française.

"La nomination de l’ancien commissaire européen Pierre Moscovici à la Cour des Comptes n’a surpris personne. Elle est le symptôme de l’immuable marche de la haute administration publique, où, pour certains, la vie coule comme un long fleuve tranquille. Dans notre République d’inspiration si monarchique, le président de la Cour des comptes est nommé par décret en Conseil des ministres. Voici donc en un coup de baguette magique, un ancien cadre socialiste propulsé à la tête de la juridiction administrative chargée du contrôle de la dépense publique."
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Pour le peuple d’en haut, tout n’est que luxe, calme et volupté

"Le recyclage, nos élites le pratiquent depuis longtemps: peu importent les compétences ou les spécialités, les promotions d’énarques se succèdent du privé au public, dans une danse de l’irresponsabilité et de l’entre-soi rythmée par les élections présidentielles.

Pour le peuple d’en haut, tout n’est que luxe, calme et volupté. Loin des réalités de la recherche d’emploi, de la compétition de tous contre tous. Une fois passée l’épreuve initiatique et le camp politique d’allégeance, la carrière des grands serviteurs de l’État n’est qu’une simple formalité. Ainsi, privée de ministère puis de poste de commissaire européenne, Sylvie Goulard a pu resté second gouverneur de la Banque de France. Le chômage? Même pas besoin de traverser la rue, toujours un job à disposition.

La promesse de nouveau monde d’Emmanuel Macron n’a pas fait long feu face à la réalité de la haute administration française. Le jeune énarque président, s’il a joué au rebelle en proposant la suppression de l’école qui l’a vu naître, reste un modèle du monde d’hier dans la nomination méticuleuse des obligés qu’il poste çà et là pour l’aider à accomplir son projet."
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https://www.lemondemoderne.media/