lundi 20 avril 2020

Valls, DSK, Abad... Emmanuel Macron réfléchit à un gouvernement d’union nationale - midilibre.fr

https://www.midilibre.fr/2020/04/19/emmanuel-macron-reflechit-a-un-gouvernement-dunion-nationale,8853104.php

11 commentaires:

Anonyme a dit…

"Union Nationale" tu parles...



Une dépression vient se bloquer sur le golfe du Lion jusqu’à mercredi. Elle engendre un épisode de très mauvais temps et d’intempéries sur les régions méditerranéennes. Sur le Languedoc-Roussillon, on attend plus de 200 mm d’eau, équivalent à 2 mois de pluies en 3 jours ! pic.twitter.com/zUXQNWpkgR

— La Chaîne Météo (@lachainemeteo) April 19, 2020

Anonyme a dit…

UNION NATIONALE : APRÈS NOUS AVOIR PRIS POUR DES VEAUX, ILS VEULENT NOUS ASSERVIR COMME DES BOEUFS ???


Front Populaire. La nouvelle revue lancée par Michel Onfray

(...)

Voici le texte de présentation :

Sauvagerie de la mondialisation, dévoiement de l’Europe, arrogance des gouvernants, appauvrissement des classes populaires, collusion des médias et du pouvoir, casse de l’hôpital public, sécession des territoires perdus de la République : l’épidémie de coronavirus agit comme un révélateur photographique qui met au jour l’état désastreux de notre pays.

Mais nos malheurs ne s’arrêtent pas là. Après la crise sanitaire viendra le temps de la facture économique. Et les ménages modestes seront à n’en point douter bien plus pénalisés que la France d’en haut. Il suffit de voir le durcissement du Code du travail décrété dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire… alors que le droit du capital, lui, n’a été retouché en aucune manière. En cette période troublée, la finance continue de régner.

Alors que faire ? Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours « d’après ». Son nom : FRONT POPULAIRE. Les auteurs : d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…

Les uns sont de gauche, les autres sont de droite. Les uns croient au Ciel, les autres n’y croient pas. Mais tous sont convaincus qu’il faut plus que jamais mener le combat des idées pour retrouver notre souveraineté. Car à quelque chose malheur est bon, le confinement généralisé les rend encore plus déterminés !

FRONT POPULAIRE prendra la forme d’un mook trimestriel qui ne recevra, par choix d’indépendance, aucun financement publicitaire. Qu’est-ce qu’un mook ? Il s’agit d’un objet éditorial hybride, à mi-chemin entre le magazine et le livre (book). Les lecteurs pourront ainsi se le procurer aussi bien chez leur libraire favori que dans les maisons de la presse. Une façon pour nous d’être présents dans tout le pays, aussi bien dans les grandes villes qu’à la campagne.

FRONT POPULAIRE, c’est aussi un style éditorial. Il tient en une formule : ne pas prendre les Français pour des enfants. Depuis le début de la crise du coronavirus, le pouvoir nous parle comme si nous savions à peine lire et écrire. C’est parce que nous voulons résister à cette petite musique crétinisante qui fait tant de mal à la République que nous avons l’ambition d’une revue de haute tenue et ouverte au débat.

À parution, les enquêtes et analyses de FRONT POPULAIRE seront également disponibles sur le présent site Web, où l’on trouvera aussi des informations régulièrement mises à jour quant au projet (dévoilement des auteurs, des thèmes…) et une fonctionnalité « Vos idées », permettant aux internautes de nous soumettre leurs suggestions. Sans oublier bien sûr une page « Contributeurs », dans laquelle nous remercions tous ceux qui nous soutiennent, soit par leur abonnement soit par leur pré-achat.

Pour que FRONT POPULAIRE voie le jour au plus vite (c’est-à-dire avant l’été) nous avons besoin de votre contribution. Envoyez-nous vos suggestions, informez-vous sur l’avancement du projet, pré-abonnez-vous. Et ensemble, imaginons un avenir souverainiste, aux antipodes du rêve anti-social et anti-civilisationnel de Jupiter…

Pour vous abonner et découvrir la revue, dont le premier numéro est prévu pour juin, c’est ici.

Via Breizh Info


https://www.tvlibertes.com/actus/front-populaire-la-nouvelle-revue-lancee-par-michel-onfray

Anonyme a dit…

Et un attelage de bras cassés de plus pour nous enfoncer dans la mouise...
Il faut qu'il prenne des bains de siège façon Rika Zaraï, pour que la merde qu'il a dans le cerveau redescende par les voies naturelles !

Anonyme a dit…

SANS ILLUSION

Nous sommes sages comme des images, comme tétanisés. Cela me laisse parfois un peu perplexe, comme si nous n'étions pas capables de nous conformer et de gérer les règles de distanciation sociale et d'hygiène lors de rencontres épisodiques que le printemps pourrait nous autoriser à tenir à l'air libre. Je redoute d'y voir, puisque notre mobilité est légalement quasi anéantie, une sournoise volonté de nous imposer une distanciation politique; mais évidemment c'est un très mauvais procès d'intention que je fais là à ceux qui, le cœur sur la main, n'ont d'autre souci que notre santé et d'autre crainte que notre irresponsabilité. Je trouve que dans le genre, Macron se taille un mignon peplum de petit père du peuple.

Je suis persuadé que nous devons, dès maintenant, nous concerter sur la manière et les moyens de nous faire entendre ainsi que des actions permettant de nous faire voir dès que le «goulag» généralisé sera levé.
Soyons sans illusion, nous devrons affronter le capitalisme du désastre : la dette publique contractée pour nous sauver de l'apocalypse, l'indispensable relance des modes de la production privée anonyme et les réductions d'impôts pour la convalescence du marché.
Soyons sans illusion, nous devrons aussi composer avec une euphorie «populaire» des plaisirs retrouvés, comme après une libération… applaudie à tout rompre par le capitalisme et l'Etat des désastres.
Soyons sans illusion, nous devrons nous battre contre une vague de nationalisme et de xénophobie… survitalisée par le capitalisme du désastre.

J.D.

Anonyme a dit…

L’AUDACE DE COMMENCER : STRATÉGIE POUR UN AUTRE MONDE


« Le jour d’après ne sera pas comme le jour d’avant » a promis Emmanuel Macron, dans son discours aux Français, le 16 mars dernier. On voudrait y croire. À condition qu’il ne soit pas le jour que nous préparent ceux qui ont démontré leur goût pour la morale des indifférents : il faut que tout change pour que rien ne change. À condition qu’il soit le véritable commencement d’un nouveau siècle, libéré de la force d’inertie vertigineuse provoquée par la soumission de l’avenir à la répétition du présent. À condition qu’il débute « dès maintenant » et que dans le vacarme du moment, nous parvenions à distinguer les paroles salutaires des lieux communs. Stratégie alors pour temps de détresse : 1. Se prémunir contre ceux qui prédisent, un peu trop vite, l’effondrement du capitalisme. 2. Comprendre ce qui nous arrive. 3. Agir pour faire naître l’autre monde.
.../...

I. L’EFFONDREMENT QUI NE VIENDRA PAS ET L’ARNAQUE DU « MONDE D’APRÈS » LE GLAS DU CAPITALISME ?

"Un refrain médiatique et politique voudrait que l’on sonne enfin le glas du capitalisme et de ses avatars : productivisme, mondialisme, néolibéralisme. La pandémie de Covid-19 viendrait en effet comme radicaliser les failles d’un système et le précipiter dans sa chute. Une hypothèse largement partagée depuis la gauche de la gauche jusqu’aux plus réactionnaires, qui entretiennent l’espoir secret de leurs grands soirs respectifs : révolution pour les uns, retour à la tradition pour les autres. Cette convergence, pourtant, loin de nous réjouir, devrait susciter notre méfiance. Comment expliquer en effet que les plus farouches adversaires s’accordent soudainement dans un même requiem ? Par-delà leur détestation conjointe des « enchantements démocratiques du narcissisme marchand » [2] et la désignation sans équivoque de leur ennemi commun, c’est aussi le recours tacite à un logiciel historique, que l’on croyait obsolète, qui vient éclairer cette conjonction. Le marxisme vulgairement diffusé, prévoyant l’effondrement nécessaire du capitalisme sous le poids de ses contradictions, trouve à s’hybrider avec les nouvelles thèses effondristes et collapsologistes qui annoncent la fin prochaine du monde."

« Curieux climat apocalyptique d’époque, qui conduit à faire ressurgir les vieux démons déterministes et téléologiques, où tout est joué d’avance et où chaque signe des temps est interprété à la lumière d’un : « On vous l’avait bien dit ! »
.../...



https://lvsl.fr/laudace-de-commencer-strategie-pour-un-autre-monde/

Anonyme a dit…

C'est dégueulasse de ne pas avoir pensé au toon de service...
Si Carla ne se plie pas à porter de masque, elle risque de lui refiler son covid !



https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/nicolas-sarkozy-confine-dans-sa-villa-du-cap-negre-il-bouillonne_446924

Anonyme a dit…

Tiens, un aéropage de premier de cordée pour tenter de le sortir de ses bélitudes néolibérales?
Que nenni, on prend les mêmes et on recommence les flagorneries, les obsolescences d'arrière garde et les futurs flingants.
Leur mise en quarantaine devient urgente...

Anonyme a dit…

Même si Catherine Tricot va faire des ménages sur BFM TV, si Pierre Jacquemin a travaillé au cabinet de la ministre du travail de Hollande, El Kohmry pour la mise en œuvre de la réforme travail de Macron, reste le Pablo de service qui réclamerait un dépucelage intellectuel plus poussé...
Reste qu'ils sont restés honnêtes!



Discours de Jean-Luc Mélenchon : le débrief de Regards
Regards


https://youtu.be/LDde2bcdhGY



Vendredi soir, Jean-Luc Mélenchon a fait un discours d'un peu plus d'une heure dans le cadre d'un meeting numérique de la France insoumise. A-t-il convaincu ? On y répond avec Pierre Jacquemain, Pablo Pillaud-Vivien et Catherine Tricot

Anonyme a dit…

Quand c'est sur les rails, tout va à l'avenant !


Le financement du Lyon Turin relancé en catimini malgré le coronavirus


"Selon un communiqué du 15 avril du promoteur du projet de liaison ferroviaire Lyon-Turin, TELT (Tunnel euralpin Lyon Turin), l’accord de financement entre l’UE, la France et l’Italie dans le cadre du mécanisme pour l’interconnexion en Europe (MIE) pour la première tranche de financement européen de la section transfrontalière du Lyon-Turin a été prolongé jusqu’au 31 décembre 2022.

Selon le communiqué de TELT, « l’avenant à la décision de financement, dont la version finale a été envoyée le 20 mars, a été signé par l’INEA, l’agence en charge du financement des programmes UE et par les États. L’accord initial, souscrit en 2015, prévoit un financement de 814 millions d’euros sur un total de 1,915 milliard d’euros pour les travaux à réaliser sur la période 2015 – 2019. Il a été prolongé jusqu’en 2022 en tenant compte de l’avancée des travaux, fruit du travail du promoteur public depuis 5 ans, mais également des aléas politiques qui ont marqué le développement du projet et qui ont engendré des pauses et des redéfinitions des échéances. La mise à jour du programme de réalisation de l’ouvrage a été formalisée par la France et l’Italie sur la base du dossier d’instruction constitué par TELT et partagé avec l’INEA lors d’une réunion technique le 11 février 2020 à Bruxelles. »

Interrogé de manière répétée depuis début mars par Reporterre, la Commission Transports de la Commission européenne a répondu de manière évasive. Ce n’est que le 17 avril, soit deux jours après le communiqué de TELT, un mel du porte-parole nous indiquait que la convention n’était pas signée : « Toute prolongation des subventions du FCE est précédée de discussions et de négociations assez longues entre les promoteurs du projet et l’INEA. Dans le cas présent, les contacts entre les deux parties sont en cours depuis la demande formelle de prolongation de la subvention présentée par l’Italie et la France le 30 septembre 2019. Cela prend simplement du temps car la Commission européenne et l’INEA doivent toutes deux s’assurer que la prolongation est justifiée et raisonnable et qu’elle est telle que les travaux seront réalisés conformément au nouveau calendrier et permettront donc la pleine consommation de la subvention par les bénéficiaires. Il n’y a donc aucun lien avec la pandémie de coronavirus. Et oui, la signature est imminente et nous vous informerons dès qu’elle aura été signée. »

Ce dont on peut conclure que, soit l’information de TELT (l’avenant de financement a été signé le 15 avril ou avant) est fausse, soit que la Commission ment à la presse."



https://reporterre.net/Le-financement-du-Lyon-Turin-relance-en-catimini-malgre-le-coronavirus

Anonyme a dit…

A la table des vestales, il veut rassembler une sacrée union de bordéliques....

Anonyme a dit…

Quand un bouffon usurpé l'identité du bouffon, "l'union nationale" devient une bouffonnerie générale !


« Alexandre Benalla est nommé directeur général de la sécurité extérieure »

"Habitué aux polémiques et dérapages en tout genre, le député s’est fait plaisir en tweetant, au nom du chef de l’Etat, des informations toutes aussi farfelues les unes que les autres. « Le meilleur des miens nous protégera dès demain : Alexandre Benalla est nommé directeur général de la sécurité extérieure. Tiens le cap, Alexandre ! », « J’ai décidé de nommer Christophe Castaner ambassadeur de France en Chine. Xie xie ! » ou encore « Je viens de parler avec Donald Trump. Nous sommes parfaitement d’accord. Il faut que les Chinois arrêtent de nous prendre pour des jambons avec leur histoire de pangolin », pouvait-on notamment lire."
(...)


https://www.20minutes.fr/high-tech/2763615-20200419-remaniement-gouvernemental-discussion-trump-joachim-forget-fait-passer-macron-twitter