samedi 11 avril 2020

Sans une grosse faute…

… c'est mieux !!!!!

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Le ministre de la Santé et des Solidarités, Olivier Véran, avec une éloquence qui lui est propre est-il un "manager" comme les autres ?


Clément Viktorovitch : Réforme de l'hôpital et manipulation du langage - Clique à la Maison
Clique TV


https://youtu.be/T3PRPlRratg


Chaque jour, le professeur de rhétorique Clément Viktorovitch vient décrypter un fait d'actualité sur le plateau de Clique. Il vient mettre les points sur les i.


Le COPERMO, qu'es aco?

"L’efficience des établissements de santé repose sur la performance de son pilotage, son organisation et de ses processus, qu’il s’agisse des processus de soins, médicotechniques ou des fonctions support. Cette démarche répond à un triple objectif :

- Optimiser la qualité et la sécurité des soins
- Améliorer les conditions de travail pour les professionnels
- Favoriser l’efficience opérationnelle et économique

La performance des acteurs de l’offre de soins ainsi recherchée suppose l’activation de différents « leviers d’efficience ». A cette fin, la direction générale de l’offre de soins (DGOS) a élaboré un ensemble de fiches méthodologiques à destination des établissements et des ARS, se basant en particulier sur le retour d’expérience du COPERMO, pour apprécier la pertinence des projets d’investissement et la soutenabilité des trajectoires financières des établissements de santé."
(...)


https://solidarites-sante.gouv.fr/professionnels/gerer-un-etablissement-de-sante-medico-social/performance-des-etablissements-de-sante/efficience-des-etablissement-de-sante/efficience-hospitaliere

Anonyme a dit…

Alors que certaines reprennent du service, d'autres se confinent dans leur résidence secondaire dans le Lubéron...


https://www.lepoint.fr/societe/confine-dans-sa-residence-secondaire-un-depute-insulte-et-menace-11-04-2020-2371033_23.php#

Anonyme a dit…

Coronavirus : dans l'Argentine des pauvres, les rues sont vides, les ventres aussi

« Avant je ne recevais que les enfants de la favela. Maintenant, il y a des travailleurs au chômage technique. » En Argentine, Carina tient une cantine populaire et voit de ses yeux ce que le confinement fait aux plus démunis, qui se débrouillent comme ils peuvent, entre solidarité et maigre aide de l’État.
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"Avant je ne recevais que les enfants de la favela, qui s’y ravitaillent en lait avant de retourner jouer dans la rue toute la journée, jusqu’au moment de rentrer chez eux avec un dîner chaud pour la famille. Là il y a des travailleurs au chômage technique qui n’étaient jamais venus, avec lesquels il faut se battre par amis interposés pour leur faire accepter un petit quelque chose, parce que ça leur fait tellement honte, ils ont leur orgueil, leur dignité, ils ne réclameraient rien avant d’en être à se manger la langue… »

Carina s’inquiète surtout de la crise économique, elle n’en dort plus la nuit. Et de l’enfer de ces trois familles entassées à vingt dans l’un de ces petits cubes de briques et de tôle sans fenêtres et sans internet, à l’image des 300.000 foyers précaires d’Argentine sans eau ni gaz, et souvent sans toilettes reliées aux égouts, avec des familles de quatre à six enfants entassés sur dix mètres carrés de béton sur boue. Dans ces quartiers-là, aux ruelles en coupe-gorge si étroites qu’on peut y faire passer un cercueil mais pas une ambulance, on est quand même un peu mieux dehors qu’à l’intérieur, au moins tant qu’il fait jour. Et en fin de compte, rien n’est plus surprenant, dans la crise actuelle, que de voir la quarantaine presque aussi bien respectée dans les quartiers durs qu’à la capitale… Sauf bien sûr par les accros au crack et les sans-abri du monde entier, pour qui « Restez chez vous ! » reste d’une perturbante ironie."



https://reporterre.net/Coronavirus-dans-l-Argentine-des-pauvres-les-rues-sont-vides-les-ventres-aussi