jeudi 16 avril 2020

Le Média vient de mettre une vidéo en ligne


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COVID-19 : ENTRE NOS VIES ET LE PROFIT, MACRON A CHOISI
COVID-19 : ENTRE NOS VIES ET LE PROFIT, MACRON A CHOISI
Le Média

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Gala existe en papier blanchi en kiosque.
Pas évident de l'utiliser en P.Q.!


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/vacances-dete-christophe-castaner-donne-un-conseil-a-sa-famille_446721

Anonyme a dit…

Le Media ? Ca existe encore ? Regardons plutôt la situation des peuples qui se sont donnés à tous ces gouvernants populistes, genre Trump, Johnson, Bolsonaro, Poutine, ... sans compter ceux dont on ne parle plus, Maduro, Salvini ? Vraiment on est tous dans la "merde". Populistes, opportunistes, gauchistes ou droitistes, même combat et même résultat ! La mort au bout du chemin. Ma nature m'incline à penser qu'un dirigeant qui reconnait ses erreurs, qui fait preuve d'humilité sera toujours préférable à un fanfaron qui est sûr d'avoir raison et ne souffre d'aucune contradiction !

Anonyme a dit…

Et 19h22 qui se confiné à perpète dans ses pages de blog...
C'est quand que tu remets tes compteurs à jour ?

Anonyme a dit…

OPÉRATION DE COM' RATÉE !

Les soignants ne veulent pas de primes mais une réelle revalorisation des salaires !
En lieu et place de la prime de 500 à 1500 euros promise aux soignants au travers du « plan d’urgence économique », ces derniers revendiquent la revalorisation de leurs salaires !


"On veut la revalorisation des salaires infirmiers et pas l’aumône !
Lors de la présentation du « plan d’urgence économique » visant à « sauver l’économie » face à la crise sanitaire et économique qui se profile, le gouvernement a insisté sur le volet social pour tenter de masquer la réalité de leur politique. A savoir verser des milliards aux entreprises pour préserver les profits du patronat et donner des miettes aux travailleurs aujourd’hui en première ligne. Ainsi, au cœur de leurs annonces, une prime allant de 500 à 1500 euros qui sera versée au personnel hospitalier.

Derrière les effets d’annonces, cette prime est évidemment insuffisante et loin de répondre à l’une des revendications centrale pour laquelle le personnel hospitalier s’est battu pendant plus d’un an : une revalorisation nette de l’ensemble des salaires. C’est une « revalorisation du salaire infirmier et pas l’aumône » dont on a besoin, a déclaré Thierry Amoureux, porte-parole du syndicat national des professionnels infirmiers.

Si le gouvernement a tenté à travers ces annonces de calmer la gronde qui existe au sein du personnel soignant qui se retrouve, après des années de casse de l’hôpital public, dépourvu de moyens suffisants pour faire face à la pandémie, l’opération est un échec. Apporter comme seule réponse à la crise en cours une prime qui sera reversée de manière inégalitaire entre les soignants, est, et apparaît, aux yeux de tous comme largement insuffisant. En effet nombre de soignants, collectifs et syndicats, ont dénoncé l’insuffisance de ces mesures et le budget toujours aussi dérisoire alloué à la santé."
.../...


https://www.revolutionpermanente.fr/Les-soignants-ne-veulent-pas-de-primes-mais-une-reelle-revalorisation-des-salaires

Anonyme a dit…

#Coronavirus #Travail #Confinement

COVID-19 : PÉNICAUD SACRIFIE LES TRAVAILLEURS DU BÂTIMENT
Le Média


https://youtu.be/UU70AEcFXjg



L’épidémie du coronavirus continue de progresser, chaque jour en France. Et dans beaucoup de secteurs, l’activité à significativement ralenti. C’est le cas du bâtiment. Alors que la situation voudrait l’arrêt des activités « non-essentielles » pour ralentir la propagation du Covid-19, Muriel Pénicaud a pourtant demandé au secteur du BTP de reprendre le travail. Et le « guide des bonne pratique » publié par le ministère du travail n’apporte pas les garantis nécessaires à la bonne protection des salariés. A côté de ça, certains employeurs, ne se sentant pas tourmentés par les scrupules, n’hésitent pas à faire pression sur leurs salariés pour les faire revenir au travail. Allant jusqu’à leur faire signer une décharge de responsabilité.

Les petites et très petites entreprises aussi, se prennent l’épidémie du Covid-19 de plein fouet. C’est l’histoire que nous raconte Lionel Chelli, un électricien qui essaye tant bien que mal de développer sa petite entreprise de rénovation. Pour ce chef de petite entreprise, les injonctions de Muriel Pénicaud pour forcer le secteur à reprendre l’activité sont absurdes ; Car il était évident que l’activité allait diminuer drastiquement.