mercredi 11 mars 2020

Surprise ! Vrais ou faux ?

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Ben oui bien sûr ! Tapons sur Danone ! C'est français ! Tous les industriels sont des pollueurs, tous les consommateurs aussi, tout le monde pollue ! C'est bien pour ça que chacun s'interroge et peut agir ! Ramener uniquement la vertu écologique à la France et aux industriels français n'a aucun sens ! C'est stérile, inutile et ... ça fait plaisir aux chinois, américains, russes, ...
Ecologiques oui ! Anti-français ? Pour moi ... c'est con et absurde !

Anonyme a dit…

Oui Reb’ c.est vrai !
Et ça troue le cul !
Et tout aussi intéressant , elle est la fille de Lionel Stoleru ancien ministre de Giscard
On reste entre amis ....

Anonyme a dit…

Oui Reb’ c.est vrai !
Et ça troue le cul !
Et tout aussi intéressant , elle est la fille de Lionel Stoleru ancien ministre de Giscard
On reste entre amis ....

Anonyme a dit…

Oh,oh 20h00, quand le sage te montre la lune, ne te contente pas de regarder le doigt !


Le mari d’une Secrétaire d’Etat parmi les trolls anti-homéopathie

"C’est ce qu’on appelle un mélange des genres pour le moins embarrassant. A l’heure où le gouvernement doit trancher la question du déremboursement des traitements homéopathiques, un des meneurs du mouvement anti-homéopathie n’est autre que Mathias Wargon, médecin urgentiste et mari de la Secrétaire d’Etat à l’Ecologie, Emmanuelle Wargon. De quoi poser des questions sur l’impartialité gouvernementale dans ce dossier ultra-sensible."
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"Ce collectif [FakeMed] n’a ni chef, ni leader visible. C’est une armée virtuelle de trolls scientistes. Pourtant, à y regarder de plus près, on peut identifier parmi eux des personnalités aux profils déroutants. C’est notamment le cas de Mathias Wargon, que les journalistes ont identifié comme le créateur du hashtag #monharibomonchoix, l’un des plus utilisés par les Fakemed pour ridiculiser l’homéopathie.

A l’image de Mathias Wargon, ces jeunes médecins, très sûrs d’eux, mélangent allègrement clashs sur les réseaux sociaux et débats scientifiques. Pas l’idéal pour un dialogue constructif et approfondi, mais des méthodes qui sont hélas celles de notre époque. En revanche, le fait que le mouvement Fakemed soit co-piloté par le mari d’une ministre pose des problèmes éthiques d’un tout autre ordre."
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"Emmanuelle Wargon, Secrétaire d’Etat à l’Ecologie, ne se pose-t-elle pas de son côté quelques questions sur la nocivité et la toxicité des médicaments conventionnels, dont l’impact catastrophique sur l’environnement a pourtant suffisamment été démontré ? Ne faudrait-il pas suggérer à son mari de changer de slogan et de se ranger franchement derrière le hashtag #monlabomonchoix ? Quitte à défendre une industrie qui fait de la santé un business, autant y aller jusqu’au bout…"


https://safe-med.fr/2019/07/03/le-mari-dune-secretaire-detat-parmi-les-trolls-anti-homeopathie/

Anonyme a dit…

Au marché de Sucy-en-Brie (Val de Marne), dame Wargon se démène pour inciter les électeurs à faire la transition vers les urnes...


http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/municipales-emmanuelle-wargon-appelle-les-electeurs-a-aller-voter-11-03-2020-8277840.php

Anonyme a dit…

Coup d’oeil sur le contexte électoral

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"On devine ce qui se dessine. Le coronavirus va amplifier l’abstention prévisible pour les municipales. En pleine pagaille épidémique, on peut craindre un conservatisme spontané et une méfiance à l’égard du changement. Mais on peut penser aussi que les plus anciens se déplaçant moins par peur des contagions une certaine volatilité trouve son chemin. Et ainsi de suite. L’avenir est plus flou que jamais, la vue des possibles se dérobe. Tout est bavardage. Il faut donc regarder autrement. C’est-à-dire penser les municipales pas seulement du point de vue des résultats politiciens qui seront annoncés et disputés sur les plateaux de télé le soir des élections. Il faut le faire en considérant l’impact de long terme sur les représentations politiques des individus dans leur rapport à la société.

La tendance aujourd’hui est à s’obséder des premiers sans tenir compte des seconds. J’invite les Insoumis à se préoccuper d’abord de ce qui va changer dans les têtes autour d’eux. C’est le terreau pour la suite de notre enracinement. Car pour le reste nous sommes au sec. Ni la pluie ni la foudre ne nous tomberont dessus cette fois ci. Présents dans 550 communes dans les configurations les plus diverses, les Insoumis sont assurés d’être présents dans plus de deux cents communes pour la bataille de second tour. Partout les nôtres apprennent et se déploient. Nos thèmes, nos mots d’ordre, notre vocabulaire continuent d’imprégner en profondeur tous azimuts le discours politique. Je suis parfois surpris de retrouver nos mots dans des bouches inattendues. Mais c’est ainsi que l’on gagne les batailles de longue durée, celles qui reformatent les mentalités."
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"La déroute morale que nous avons infligée aux macronistes dans la bataille parlementaire sur les retraites n’est pas une anecdote momentanée. L’empreinte sera durable. L’heure de la débandade approche pour eux. Et comme cette fraction d’aventuriers est celle qui dirige l’État et qui l’a, pour une bonne partie, soumis à ses normes, la crise de la macronie sera celle du régime lui-même. Dans ce contexte il va de soi que bien des bras de fer locaux prennent une signification et une portée imprévue au début de ces élections. Je ne citerai que l’exemple de la municipale au Havre. Le Premier ministre candidat à la mairie plonge de 10 points dans les sondages après le dépôt du 49.3 sur la réforme des retraites. Son principal adversaire est un communiste, le député Jean-Paul Lecoq, soutenu par les gilets jaunes, les Insoumis et beaucoup de syndicalistes. La victoire d’une telle coalition serait davantage qu’une simple défaite locale pour l’attelage que forme cette liste. Elle est faite de « marcheurs », de membres des « républicains » et des autres composantes de la droite. Quoi que décide ensuite Macron, il est certain que la défaite municipale du Premier ministre serait aussi celle de son projet de réforme des retraites. On peut compter sur l’obstination du Président de la République pour aggraver encore plus profondément le discrédit qui entoure son action, après cela."
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"Les thèmes et les programmes que nos équipes ont instillés sur le terrain dans la construction des listes aux municipales nous offrent à présent une base de masse et un encadrement militant que nous n’avions ni au moment de l’élection présidentielle ni à celui des élections européennes. Pour moi, ces élections locales seront une étape décisive dans la construction de la force politique pérenne dont notre collectivisme a besoin au XXIe siècle pour notre pays. C’est cela qui sera surtout acquis. En plus bien sur des bonnes surprises qui ne manqueront pas de se produire au fil des deux tours des élections municipales.
Joyeuses élections les amis !"


https://melenchon.fr/2020/03/11/coup-doeil-sur-le-contexte-electoral/