dimanche 21 juillet 2019

Une première, pour mettre la situation dans les quartiers et les violences policières au centre, en portant le combat plus général contre ce gouvernement qui précarise autant qu’il matraque.»



Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Montpellier : de la casse lors du défilé des "gile..." :

«Allant de la Reynerie jusqu'au centre-ville, cette marche a réuni des centaines de personnes, et le cortège a reçu un accueil chaleureux par les habitants de la ville et les automobilistes tout au long du parcours. Tout au long de la manifestation, les Gilets jaunes scandaient « Où est Steve ? » et exigeaient vérité et justice pour Adama, mais aussi pour toutes les autres victimes de violences policières. Peu avant d'arriver au Palais de Justice, où les manifestants ont été accueillis par un dispositif policier impressionnant, un autre cortège de Gilets jaunes, parti du centre-ville, a rallié celui qui venait de la Reynerie.

Au total, malgré une chaleur étouffante, ce sont des centaines de personnes qui ont manifesté dans les rues de Toulouse ce samedi. Une première, pour mettre la situation dans les quartiers et les violences policières au centre, en portant le combat plus général contre ce gouvernement qui précarise autant qu'il matraque.»

https://www.revolutionpermanente.fr/Ce-samedi-a-Toulouse-les-Gilets-jaunes-exigeaient-verite-et-justice-pour-Adama-et-Steve

1 commentaire:

Anonyme a dit…

«On oublie trop souvent que l'autoritarisme est la maladie infantile du macronisme, en raison de la faiblesse intrinsèque du courant politique représenté par LREM. Si l'élite s'est trouvé un nouveau champion, un mixte incertain de Juppé et de Rocard, le président de la République n'en conserve pas moins une base électorale friable et une base populaire quasi inexistante. Seule l'absence de relève envisageable le sauve de l'angoisse du lendemain politique. Mais, pour gouverner un pays en crise où la contestation guette à chaque coin de rue, c'est un peu juste. D'où le recours immodéré au bâton et au bâillon.»
(...)
« [...] Montesquieu disait : «C'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser.» Quand ce pouvoir est chancelant, il en abuse encore plus.»

https://www.marianne.net/debattons/editos/steve-genevieve-legay-zineb-redouane-le-recours-au-baton-maladie-infantile-du