mercredi 15 mai 2019

Isabelle, enseignante, a été placée en garde à vue lors de l'acte 26 des Gilets Jaunes pour avoir arboré une pancarte visant Macron et Castaner.




Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Le Molière du déshonneur incontestablement et à l'..." :

GILETS JAUNES : EN GARDE À VUE POUR UNE PANCARTE.
Le Média.

https://youtu.be/ozDBFCDGijQ

"Deux policiers en civil se sont présentés à moi. Ils m'ont dit que je ne pouvais pas exhiber une pancarte, qu'elle était interdite par le préfet de police."

Isabelle, enseignante, a été placée en garde à vue lors de l'acte 26 des Gilets Jaunes pour avoir arboré une pancarte visant Macron et Castaner.
Le Média s'est rendu à un rassemblement en son soutien devant le commissariat du 12ème arrondissement de Paris, lundi 13 mai.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Deux juges et l’IGPN saisis

«Geneviève Legay a eu plusieurs côtes cassées et des fractures au crâne, après avoir été poussée par un policier qui dispersait avec ses collègues un rassemblement interdit à Nice le 23 mars, seul week-end où les manifestations de « gilets jaunes » étaient interdites en raison de la venue du président chinois et de la crainte des casseurs. C’est aussi le seul week-end où il y a eu des heurts à Nice. Le samedi suivant, la mairie avait obtenu une nouvelle interdiction pour préserver l’attractivité commerciale et touristique de la ville.
Deux juges d’instruction ont été désignés pour enquêter et la police des polices (IGPN) a été saisie. Attac France est « toujours en attente de la demande de dépaysement du dossier et de la démission du procureur » de Nice, a rappelé Raphaël Pradeau.» (...)

https://www.20minutes.fr/nice/2518647-20190515-gilets-jaunes-nice-genevieve-legay-blessee-lors-manifestation-sortie-hopital

Anonyme a dit…

En garde à vue pour une pancarte ? Non ce n'est pas pour la pancarte qu'elle est en garde à vue mais pour ce qu'elle y a écrit dessus ! La liberté d'expression ce n'est pas la liberté d'injurier les autres qui ne partagent pas votre avis ! Dans quel monde vivent ces pseudo démocrates haineux, vindicatifs et faussement de gauche ? Ras le bol de tous ces totalitaires outranciers et mal dans leur peau ! En d'autres temps on aurait dit des "mal baisés" aujourd'hui c'est des c... mais chut ! … Ils ne le savent pas… encore !

Anonyme a dit…

20h09, au vu du précédent lien tu aurais pu lire ceci...

«Reste que, même s'il a bien brandi un panneau clamant "Castaner, le Goebbels de Macron", cela peut-il justifier une arrestation ? "Il faut faire l'exégèse de la formule, plaide l'avocat au barreau de Paris Anthony Bem. Le nom n'est pas employé de manière fortuite mais dans une volonté de donner du sens. Il est utilisé pour dire que l'un est à la botte de l'autre et que les dirigeants en place sont des nazis."

Pour autant, la formule est-elle susceptible de poursuites judiciaires ? "L'emploi de cette pancarte s'inscrit dans le cadre de la liberté de manifester. Celle-ci n'est consacrée par aucun texte, mais elle comporte deux libertés fondamentales avec lesquelles on ne peut transiger : la liberté d'opinion et la liberté d'expression." Cette liberté s'exerce toutefois dans la limite de l'injure et de la diffamation, pointe le spécialiste du droit. Mais, argumente l'expert, la comparaison avec Joseph Goebbels "est une opinion, certes critiquable, mais qui entre dans les limites de la liberté d'expression et qui n'est donc pas susceptible de plainte." Ni pour injure ni pour diffamation, selon lui. Une analyse partagée par une source judiciaire, contactée par le Monde, qui "confirme l’irrégularité du placement en garde à vue"»

Au vu de la tournure de ton commentaire, ne soit pas étonné.e d'être pris.e pour un trou du c..

Anonyme a dit…

Ainsi va la justice de ce pays...

«Seize affaires dans l'après-midi, dix condamnations (prison avec sursis surtout), mais aussi quatre relaxes, une nullité. Une avocate s'agace de ces procédures dues à des fiches d'interpellation où "on coche un peu toutes les cases: rébellion, violence, outrage, etc, en se disant qu'on verra bien ce qui tiendra face au juge ou avec les caméras vidéo...".

Autour des manifestations, "c'est un peu la pêche à l'épuisette au bord de l'eau", ironise un autre avocat. "On lance l'épuisette où l'on sait qu'il y a du poisson, mais on n'arrive pas à avoir le poisson qu'on voulait".»

https://actu.orange.fr/france/gilets-jaunes-pendant-l-essoufflement-les-condamnations-continuent-CNT000001fKWDL.html

Anonyme a dit…

Tu as raison 21:44 si je dis que tu es un con ça ne mérite pas une arrestation mais si je dis que tu es un criminel notoire nommément cité, ça mérite quand même un examen judiciaire, non ? Si je dis que tu es un trou du c... pas de problème !