mercredi 1 mai 2019

GILETS JAUNES : MACRON NE CÉDERA RIEN

https://youtu.be/_hMhSRviWA8

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Média, Politique, la fabrique du consentement (Michel Onfray)

.../...
«Dès lors, pour maintenir la tour d'ivoire, une poignée de décideurs active le fabuleux mécanisme, des journalistes serviles chantent soudain à l’unisson la même mélodie, de nouvelles idoles apparaissent, des mégaphones sont tendus à des minorités vagissantes et on néglige le bon sens en omettant d'inviter certains intervenants, on fait semblant (entre personnes fréquentables) de s’écharper sur les plateaux sur des sujets futiles, et on condamne fermement d’une seule voix la divergence de pensée…et durant ce temps, l’incendie qui embrase le pays continue inexorablement d’avancer.

Toutefois, depuis les trois derniers quinquennats, il y a eu comme un décrochage entre le système et la population, une sorte d’impression désagréable de n’avoir que des usurpateurs n'agissant plus pour le bien commun, mais plutôt pour des groupes d’intérêts privés.»
«Le mouvement des gilets jaunes ont amplifié cette défiance grandissante, fausses images diffusées, arguments fallacieux, on néglige, on triche, on manipule, on reconnait subtilement les mêmes techniques qui ont été utilisées pour légitimer les derniers conflits, mais contrairement à un adversaire situé à plusieurs milliers de km, les témoins sont eux sur place, voisins, amis, famille, via les réseau sociaux, la contradiction entre ce qui est relaté et le réel devient de plus en plus flagrante.

Bref, je vous invite à découvrir les entrailles de la bête avec cette vidéo commentée par Michel Onfray.»

Les 9 stratégies de manipulation des masses.
1- Distraire et détourner l'attention.
2- Créer des problèmes pour "offrir" des solutions.
3- Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion.
4- Remplacer la révolte par la culpabilité.
5- Différer les informations pour faire perdre en cohérence.
6- S'adresser au public comme des enfants en bas-âge.
7- Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise.
8- Encourager le public à se complaire dans la médiocrité.
9- Connaître les individus mieux que ce qu'ils se connaissent eux-mêmes.

https://mobile.agoravox.tv/actualites/societe/article/media-politique-la-fabrique-du-81486

Anonyme a dit…

Il a déjà cédé pas mal de choses ?

Anonyme a dit…

SUR LE TERRAIN

« On entend beaucoup que le mouvement s’affaiblit, je voulais montrer que, cette fois, je suis là»

Pour cette parisienne originaire du sud, l’appel à la mobilisation du 1er mai a été « un déclic » :

« Je travaille dans l’administration, je vois bien que les conditions de travail régressent, que l’on a de moins en moins d’effectifs, et de plus en plus de travail »


https://www.lemonde.fr/societe/live/2019/05/01/1er-mai-suivez-en-direct-les-manifestations-des-gilets-jaunes-syndicalistes-et-ecologistes_5456952_3224.html

Anonyme a dit…

Du flan tu veux dire 16h06?...

Anonyme a dit…

Content 16h06 que tu fasses partie de la charrette des exonérés fiscaux...
Pour ce qui est des "taxes fiscales" qui impactent le plus grand nombre, on est au point zéro. Quid des taxes sur le carburant qui est à la base de la révolte? On est revenu au point d'exaspération de novembre 2018.
Alors continuer à confondre "taxes" et "impôts" est bien une idéologie typique de droite. Le sieur Philippe ne s'y est pas trompé. Le tour de passe-passe est classique pour détourner l'attention et potentiellement séduire 5 millions d'électeurs supplémentaires en vue des prochaines échéances électorales...
Ceux qui rament le plus n'auront qu'à trouver du réconfort dans le rond-point le plus proche pour partager une grillade pour le XXVème acte, samedi 4 mai. Et sous couvert que le trio "Castaner-Nuñez-Lallement" ne décide de venir jouer les trouble-fêtes en imposant par exemple, une taxe carbone ou quelques prunes en guise de dessert...
La reprise des rond-points ne sera que le énième doigt d'honneur adressé par "ceux qui ne sont rien" à cette oligarchie à la tête du pays et au premier d'entre eux qui s'est vautré dans les grandes largeurs dans les restitutions.
Le vide de "ses" conclusions démontre qu'après "avoir écouté", le soap-opéra auquel il s'est livré il y a une semaine est une opération politicienne au logiciel faisandé.
À défaut d'avoir "retourné la table", il n'a fait que resservir des plats réchauffés; et à penser marcher sur les eaux, il n'a fait que s'enfouir la tête dans le sable. Il avait beau se sentir inspiré, il n'a fait qu'une resucée de 40 ans de dogme néolibéral. Il est temps de tourner la page.