samedi 5 janvier 2019

Nous sommes en début de guerre civile contre nos dirigeants, quelques…

Nous sommes en début de guerre civile contre nos dirigeants, quelques moutons irréductibles et la puissance de l 'argent
Ce n'est plus un mécontentement,
Ce ne sont pas non plus des manif. même violentes
C'est un rejet complet des élus , des partis, des syndicats, des institutions , la tendance est mondiale
C' est la conséquence d' une dérive du système capitaliste qui ignore le petit peuple
Il n'y a plus de contre-pouvoir crédible

Constatons aussi que les plus riches ne dégoulinent pas !

Le pouvoir a enfin compris que les citoyens veulent sa peau ,

Que peut faire le pouvoir en place ?
Riposter par la violence policière
Déclarer la guerre au peuple
Ce gouvernement vient d' entrer dans une phase de répression qui ne pourra
aller qu' en s'amplifiant

Quel sera notre avenir ?
Quelles actions ?


1 commentaire:

Anonyme a dit…

(...)
L’IRRUPTION DES PASSIONS DANS L’HISTOIRE

Dès les premiers temps de son déferlement, la Révolution ne se conçoit pas autrement que comme l’ébauche d’un monde nouveau. La contestation fiscale des débuts s’enveloppe dans l’organisation que les révolutionnaires entendent donner à la société nouvelle ; aristocrates, clercs, vagabonds, bourgeois et paysans s’effacent derrière le nom de citoyen. De la constitution du tiers état en Assemblée nationale le 17 juin 1789 jusqu’à la proclamation de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen le 26 août, est affirmée cette ambition de façonner un homme nouveau.

La Révolution de 1789 s’annonce dès l’abord comme l’irruption des masses sur la grande scène de l’histoire. La chose publique est désencastrée des couloirs de Versailles et se discute désormais autour de la rédaction des cahiers de doléances, dans les tavernes, dans la rue et bientôt dans les clubs et les assemblées populaires. La politique n’est plus cette chose policée réservée à l’usage de quelques-uns, elle est l’affaire de tous et est immédiatement investie des sentiments les plus extrêmes. « Il faut de l’exaltation pour fonder des républiques » notait Danton.» (...)

https://lvsl.fr/les-emotions-dans-la-revolution-1789-1795