mercredi 30 janvier 2019

Extrait facebook « la révolte « 

4 commentaires:

Anonyme a dit…

#RDLS 84 : DÉRIVE AUTORITAIRE, RÉPRESSION DES GILETS JAUNES, 5 FÉVRIER, CONSTITUANTE.
Jean-Luc Mélenchon.

https://youtu.be/tTlhPG-t2nY

Dans ce 84ème numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon comment fonctionne la dérive autoritaire du gouvernement d'Emmanuel Macron. Il détaille en particulier les moyens utilisés par la Macronie pour détourner l'attention des sujets de fond portés par les Gilets Jaunes.
Il rappelle aussi pourquoi la France Insoumise demande la démission de Christophe Castaner.

Anonyme a dit…

«Une excellente prestation télévisuelle de François Bégaudeau. En face de lui, la médiocrité journalistique se révèle dans sa splendeur, notamment par l’intermédiaire d’Anne-Élisabeth Lemoine qui cherche le regard de ses collègues lorsqu’elle parle comme pour avoir leur approbation, et de Patrick Cohen qui est apparu encore plus bête qu’il ne l’est en tentant pitoyablement de détourner le sens du propos pourtant clair de François Bégaudeau. Ce dernier a été obligé d’abréger sa démonstration sur l’usage de la violence en politique car il a vite senti qu’elle allait embrouiller ses interlocuteurs qui étaient dans l’incapacité de la saisir.»

https://www.anti-k.org/2019/01/30/francois-begaudeau-explique-qui-sont-les-gilets-jaunes/

Anonyme a dit…

(...) Les sociétés démocratiques ont toujours connu des conflits sociaux, mais ces conflits dégénèrent rarement en révolution tant qu'un compromis entre l'intérêt général et l'intérêt catégoriel demeure possible. En revanche, le risque révolutionnaire surgit quand les échelles qui relient le haut et le bas de la société ont été retirées et que les classes dirigeantes donnent le sentiment qu'elles défendent leur intérêt catégoriel. «C'est un moment de rupture historique entre un monde d'en haut, intellectuels, politiques, showbiz… qui a peur de son propre peuple. Ils ne veulent plus faire société avec un peuple qu'ils méprisent» explique encore Christophe Guilluy.
Alors bien sûr, la haine anti-Macron ne pousse pas à la recherche d'un compromis. Mais elle ne doit pas servir de prétexte. Les «gilets jaunes» n'ont pas déclenché la guerre. Ils la subissent en silence depuis très longtemps.»

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2019/01/30/31003-20190130ARTFIG00241-pourquoi-les-gilets-jaunes-haissent-a-ce-point-emmanuel-macron.php

Anonyme a dit…

https://mobile.francetvinfo.fr/replay-radio/8h30-fauvelle-dely/gilets-jaunes-on-peut-rentrer-dans-un-processus-revolutionnaire-pour-ugo-bernalicis_3148143.html#xtref=acc_dir