mercredi 18 avril 2018

VIDEO. "Ne confondons pas écologie et anarchie", lance Nicolas Hulot aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes

VIDEO. "Ne confondons pas écologie et anarchie", lance Nicolas Hulot aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes

VIDEO. "Ne confondons pas écologie et anarchie", lance Nicolas Hulot aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes

Le ministre de la Transition écologique a encadré une réunion entre les zadistes et la préfète des Pays-de-la-Loire, Nicole Klein, mercredi.

Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot arrive à l\'Elysée, le 16 avril 2018.
Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot arrive à l'Elysée, le 16 avril 2018. (MUSTAFA YALCIN / ANADOLU AGENCY / AFP)

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Manque pas d'air le ministre...

Anonyme a dit…

Quand Marlène Schiappa préparait sa réaction aux accusations contre Nicolas Hulot.
Brut.

https://youtu.be/4zhiCu83J8E

Dans les bureaux de la Secrétaire d'État à l'Égalité Hommes Femmes à l'occasion d'un reportage d'Envoyé Spécial...
C'est vraiment "too much" de rendre service au ministre de la Transition Écologique et Solidaire.
C'est pas de l'anarchie, c'est un plan com'...

Anonyme a dit…

M. le ministre de la Transition Écologique et Solidaire, vous avez été très silencieux lors de l'évacuation de la ZAD...
Heureusement que la vaste zone a permis à des journalistes indépendantes de faire quelques images de cette guérilla bocagère en dehors des images "fournies" par la Gendarmerie nationale...
Peut-être étiez-vous tenu à l'écart du feu d'artifice offert sur place?

https://youtu.be/mkVX797bw7A

Bataille rangée le matin du 11 avril 2018 : les gendarmes reculent.
Par Street Politics.

11.000 grenades de toutes sortes employées sur 8 jours : un vrai théâtre d'entraînement pour les forces militaires...

Anonyme a dit…

La facture de la ZAD.
Gérard Collomb se garde bien de parler gros sous. Mais, ses services, eux, ont évalué à «au moins 400 000 euros par jour» le coût de l'évacuation de la «zone à défendre» (ZAD) de Notre-Dame-des-Landes.
Cette intervention mobilise nuit et jour 2 500 gendarmes mobiles, qu'il faut transporter, nourrir et héberger. La facture s'alourdit lorsqu'on additionne les primes de risque et de déplacement, les heures de vol de l'hélicoptère, etc...
«Le problème, c'est que c'est parti pour durer et que l'ardoise va sérieusement augmenter, dit un haut-fonctionnaire de l'Intérieur. Et encore, nous n'avons pas évalué les dépenses nécessaires pour prendre en charge les nombreux blessés du côté des forces de l'ordre (une soixantaine à ce jour).»
Sans parler du coût politique...

Le Canard Enchaîné, 18/04/2018.

Anonyme a dit…

Les leçons de Tarnac.

Ah, quel naufrage pour l'antiterrorisme, cette relaxe générale prononcée, le 12 avril, au procès dit «Tarnac»!
Comment qualifier autrement ces dix ans de procédure, de filatures plus ou moins légales, de mensonges policiers, d'errance et d'aveuglement judiciaires et politiques? Soupçonnés d'avoir saboté des caténaires de la SNCF, les prévenus avaient immédiatement été taxés de «dangereux groupe terroriste (d'ultra-gauche)» par Alliot-Marie, alors ministre de l'Intérieur.
Dès le début, «Le Canard», avait révélé les trouvailles des avocats de la défense, Claire Abello et Jérémie Assous, démontrant les failles, les erreurs ou les boniments des flics et du juge d'instruction. Autant d'arguments retenus par le tribunal, mené par la présidente Corinne Goetzman.
Dans le jugement de 314 pages, courent ces critiques contre les "stratagèmes" policiers. Du PV 104, base de l'accusation, il ne reste, sous sa main, rien ou presque. Bourré d'inexactitudes, fait de bric et de broc, de déclarations recueillies auprès des policiers couverts par le secret-défense. «Impossible», donc, aux juges d'en «vérifier la véracité». Le PV 104 devient «sans valeur probante». Le juge parle même de «déloyauté». C'est glorieux!
De ces dix ans d'une procédure désormais en lambeaux, il faudra retenir le coût énorme et inchiffrable. Il faudra surtout retenir ce jugement. Il dit aux magistrats que leur devoir est de contrôler les policiers, et non de se laisser «contrôler» par eux.
Il dit aux politiques de ne pas se mêler de justice, ce qu'a également martelé le procureur.
Et puis quoi, encore?

Article du Canard Enchaîné du 18/4, signé Dominique Simonot.

«L'ultra-gauche» vous salue bien bas Mme Michèle Alliot-Marie!

Anonyme a dit…
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