lundi 5 mars 2018

EAU : Cash investigation mardi 13 mars à 21 heures


En France l'eau consommée par l'usager représente un énorme marché qui pèse 9 milliards d'euros par an. 
Un marché dominé par trois géants français Veolia, Suez et Saur. 
Avec "L'eau : scandale dans nos tuyaux", Cash Investigation a enquêté sur le monde opaque du business de l'eau.« 
A Nîmes, l'équipe d'Élise Lucet a eu un tuyau. 
Parmi les grandes villes françaises, la commune détient un record : celui des fuites d'eau. 
Près de 30% de l'eau que paient les habitants se perd avant d'arriver chez eux. 
Depuis près de 50 ans, les canalisations de Nîmes sont aux mains de
la même entreprise : la SAU 

Lire la suite :  http://www.eauxglacees.com/Toulouse-Etats-generaux-de-l-eau

Marc Laimé
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Association Causses-Cévennes d'action citoyenne
Avenue du Devois, Le Devois, Saint Sauveur Camprieu, 30750, tel 0467826111

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Pendant que chez nous, les groupes VEOLIA, SAUR et SUEZ se gavent sur le dos des usagers-consommateurs-payeurs, une sécheresse exceptionnelle sévit en Afrique du Sud....

https://www.goodplanet.info/actualite/2018/01/24/vent-de-panique-cap-menace-detre-prive-deau/

Anonyme a dit…

Quand l'usager paye deux fois le compteur.
À qui appartient notre compteur d'eau? À Marseille, cette question pèse 2,1 millions d'euros, de quoi construire au moins deux écoles primaires. La cour administrative d'appel, qui doit trancher, va prendre une décision qui pourrait avoir des conséquences partout en France.
L'affaire commence en 2013. À cette époque, la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (intégrée depuis dans la métropole d'Aix-Marseille-Provence), qui regroupe dix-sept communes autour de la deuxième ville de France, s'apprête à renégocier son contrat de gestion de l'eau. Elle décide d'indemniser la SEM (Société des Eaux de Marseille, filiale du groupe VEOLIA) pour certains compteurs d'eau installés depuis 2002, dont le coût n'aurait pas encore été amorti.
Avertis, élus écologistes et associations de défense des usagers bondissent : «On nous demande de payer les compteurs deux fois : leur coût avait déjà été inclus dans le prix du mètre cube d'eau facturé aux usagers!», dénonce Michèle PONCET-RAMADE, élue Europe Écologie-Les Verts à la communauté urbaine. Six élus saisissent la justice pour faire annuler la délibération. Ils s'appuient sur une décision du Conseil d'État, la plus haute juridiction pour les actes, qui affirme que les compteurs électriques, installés par un opérateur privé, reviennent gratuitement à la collectivité si le contrat n'a pas été interrompu avant terme.
En juin dernier, coup de tonnerre : le tribunal administratif de Marseille donne raison aux écologistes. Immédiatement, la SEM fait appel. Une riposte attendue car, si le jugement était confirmé, il donnerait des arguments à d'autres opposants dans des dossiers similaires, notamment à Avignon.
Encart signé Frédéric LEGRAND dans le dernier numéro du magazine pzpier"EBDO", semaine du vendredi 2 mars 2018, disponible en kiosque.
Enquête complète intitulée «La guerre des robinets», conduite par Mathieu LEHOT/ROCCO.

Anonyme a dit…

L'eau,enjeu majeur, indispensable à la vie est l'objet de convoitises de la part de grands groupes capitaliste français qui profitent de sa gratuité en tant que matière première, pour se faire de confortables marges sur le dos des utilisateurs.

Anonyme a dit…

La justice enquête sur les juteux marchés des eaux usées.

Invitation à de grands matchs de rugby, voyages dans les Caraïbes, subventions à des associations amies : rien n'est trop beau ni trop cher pour les industriels de l'eau quand il s'agit de contenter les élus avec qui ils font affaire. C'est ce qui ressort de l'enquête menée par la justice depuis 6 ans sur les très gros marchés du Syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne (Siaap). L'organisme intercommunal, tenu depuis cinquante ans par une alliance d'élus communistes et d'élus de droite, encaisse 1,2 Milliards d'euros par an pour nettoyer les eaux usées de neuf millions de Franciliens. Le pactole a permis à VEOLIA, SUEZ et SAUR d'avoir de grosses commissions.
L'enquête récupérée en 2017 par le juge Clément HERBO a permis de mettre au jour les bons offices des industriels en faveur de leur cher client. Patrick BARBALAT, ex-élu PCF aujourd'hui directeur général adjoint d'OTV (filiale de VEOLIA), a admis, en garde à vue en mai 2017, disposer d'un budget annuel de 800.000 euros pour divertir ceux qui leur passent commande.
De quoi financer notamment un week-end à la découverte des vignobles de Beaune à 50.000 euros offert par OTV en octobre 2011 à Maurice OUZOULIAS, ex-élu PCF et président du Siaap de 2001 à 2015, sa directrice de cabinet, Karina KELLNER, aussi élue PCF, ainsi que des directeurs du syndicat. Les conjoints étaient invités. Au programme : dégustation de grands crus et virée en montgolfière.
«On n'aurait pas dû accepter ce voyage», a reconnu en garde à vue Maurice OUZOULIAS, en plaidant qu'il ne «s'était pas vraiment posé la question».
Quatre mois plus tôt, OTV avait signé un juteux marché de 776,73 millions d'euros avec le Siaap.

Encart signé Mathieu LEHOT.
Enquête du magazine "EBDO", «La guerre des robinets», semaine du vendredi 2 mars 2018.

Anonyme a dit…

Au Royaume-Uni, ça fume grave aussi sur les "gérants" de la distribution d'eau...
Ils ont chopé la même épidémie que nous, les frogs?
Normal que les grenouilles s'inquiètent de leur approvisionnement en eau...

http://www.lemonde.fr/economie/article/2018/03/03/au-royaume-uni-la-privatisation-de-l-eau-sous-le-feu-des-critiques_5265205_3234.html