vendredi 11 août 2017

JoutesCons.jpg

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Pour revendiquer sa «prétendue culture "d'homme de lettres", le monarque présidentiel Macron vient de décider d'offrir un pass de 500 euros à tout citoyen entrant dans sa majorité à partir de 2018.
Retour sur les erreurs, bourdes et contre-sens de ce petit homme d'État et de sa "grande" idée...

https://youtu.be/s0k8wvMR61w

Anonyme a dit…

«La bulle financière est le cancer de l'économie réelle.»
ainsi que
«La conflictualité créé de la conscience.»
Conférence et débat à l'ESCP (École Spéciale de Commerce de Paris) avec J-L MÉLENCHON.

https://youtu.be/6hVcTMe7PR8

Anonyme a dit…

"Interviewe" captée hier soir vers minuit sur LCI de Sébastien CHENU, soi-disant "étoile montante" au Front National car ayant l'oreille de la cheffe. Surprenant d'entendre le gonze parler de l'élection présidentielle et employer le terme «concours» pour évoquer le fait que la blonde avait franchi le 1er tour et s'était qualifiée pour le second... Incapable de prendre une position claire sur la sortie de l'Europe ou de l'euro, position qui divise le parti, il est resté le cul entre deux chaises face à la journaliste. Encore une position qu'il a laissé en suspens!
Puis vint la question de l'improbable alliance avec l'autre «extrême» que tout journaliste patenté se doit de poser pour rester dans les clous du métier et de la sacro-sainte confusion que l'on se doit d'entretenir pour maintenir la "qualité" de l'interview... Faudrait voir de maintenir les règles de la bienséance!
Voilà que le député FN ne trouve rien de mieux que de parler de "bordélisation" que provoquerai J-L MÉLENCHON à l'Assemblée Nationale. Tant qu'à faire, autant faire porter au président du groupe le poids de l'Insoumission des 17 élu(e)s!
"Bordélisation" est-ce le bon terme pour désigner des actions parlementaires visant à dézinguer les droits sociaux de ce pays ou à "moraliser une vie politique (ou publique)" sérieusement mise à mal depuis toutes ces années?
Allons, allons M. le député CHENU, faites attention que les mots qui vous sont familiers dans votre vie personnelle n'empiètent de trop dans votre activité parlementaire.
D'ailleurs, passé minuit votre impatience pourrait être satisfaite pleinement.
Votre esprit ouvert aux 4 vents devrait se réjouir autrement...

Anonyme a dit…

«Quand le MEDEF enterre les lois contre la pénibilité.
Les exigences patronales, satisfaites par la "gauche", ont embrouillé la réforme... Et GATTAZ s'en donne à coeur joie contre les «usines à gaz». Cherchez l'erreur!

La guerre de lobbying mené par le MEDEF porte ses fruits : sauf coup de théâtre, l'ordonnance sur la prévention de la pénibilité devrait mettre entre parenthèses les substances chimiques, les charges lourdes ainsi que les vibrations provoquées par les marteaux piqueurs et autres gros engins de chantier (Le Canard Enchaîné 17/07). Motif invoqué par Pierre GATTAZ (et gobé par Emmanuel MACRON) : la loi actuelle serait «une usine à gaz». Tel quel.
La saison 1 du long feuilleton pénibilité s'ouvre en 2003 avec la réforme des retraites décrétée par FILLON. CHÉRÈQUE rencontre secrètement le ministre en pleine nuit. Un compromis est trouvé. OK pour retarder les départs en retraite mais les salariés exerçant un métier pénible ou dangereux pourront partir plus tôt.
Saison 2 en 2010. FILLON 1er Minstre. Pas de date butoir aux palabres, le MEDEF ayant bloqué les discussions, FILLON fait voter une loi permettant à des experts médicaux le soin d'évaluer l'état de forme de chaque salarié. Hurlements de la CFDT.
Saison 3. En 2014, AYRAULT reprend le dossier et définit dix critères de pénibilité. Le Patronat exige un traitement individualisé. Matignon obtempère. Le piège se referme. GATTAZ invite les branches patronales à boycotter les négociations.
Saison 4. VALLS à Matignon. Le mec veut faire simple. La fiche de pénibilité est remplacée par une simple déclaration d'exposition.
Formalité mise en place par la Sécu depuis des années, le calque suffit. GATTAZ remet le couvert de "l'usine à gaz".[ ]
Au final le syndicat des tauliers a obtenu gain de cause. Il faut dire qu'Antoine FOUCHER, chargé auprès de Muriel PÉNICAUD de la négociation avec les partenaires sociaux, dirigeait auparavant la manœuvre, en tant que directeur des relations sociales du MEDEF, pour pilonner la loi AYRAULT-VALLS.
Le dialogue social est un sport qui se pratique à trois (gouvernement, patronat et syndicats).
Et à la fin, c'est GATTAZ qui remporte la manche! CQFD.
Le Canard Enchaîné 2/08/2017.

Anonyme a dit…

La bordélisation ne fait que commencer. Tant pis pour les trente trois pour cent satisfaits de Macron (pour l'instant) et qui devront revoir leur copie dans quelques mois. Laissons le cancer se nourrir encore un peu, puis nous verrons bien (hélas) !!!

Anonyme a dit…

Pourquoi "hélas" 18h35? Contre la "cancer", il faut agir rapidement!