Même José Bové avait « allumé » la mèche en soulignant en début de journée que « la sacralisation de l'élu est un handicap pour l'évolution des territoires ». Yves Krattinger semblait avoir entendu, assurant, en fin de journée, qu'il fallait renforcer le droit des citoyens de mettre des questions à l'ordre du jour des débats dans les collectivités.
En revanche, pas un mot ne fut avancé sur une éventuelle répartition plus efficace des richesses entre les territoires, ou sur la fiscalité locale. Pour les uns, la journée était trop courte, pour les autres, les métropoles n'accepteront pas de mettre à l'ordre du jour une remise à plat de la fiscalité locale.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire