mardi 4 septembre 2012

Un pétard mouillé
M le Préfet du Gard Hugues Bousigues

Un pétard mouillé

14h 30 conférence de presse du préfet Hugues Bousigues à Nîmes
Le Reboussier n ' était pas convié , évidemment les combattants d' arrière garde n ' intéressent personne , combat d' arrière garde du moins c' est ce qu ' en pense notre bien aimé préfet

Sans doute que les infos annoncées sur ce Blog et dans la gazette de Nîmes , l' ont chatouillé
Et quand ça chatouille on se gratte !
Marylise Lebranchu demandant au préfet de revoir sa copie , ça ne se laisse pas passer , ça gratouille quelque part

Cet après midi donc ce préfet a voulu se justifier, en public , vos médias présents vous en feront part sous peu

Peu de communes ont à ce jour délibéré ...Le préfet prend-il les devants , est il inquiet ?

Cette conf de presse nous laissait présager une annonce plus percutante , et pourquoi pas une remise en cause du schéma préfectoral
Mais non ce ne fut qu' un pétard mouillé
Monsieur le préfet persiste et signe !
Mais Ça remue c ' est bon signe,
LA 2C2A vivra

Le reboussierquinetaitphysiquementpasla


3 commentaires:

Anonyme a dit…

A entendre le préfet, ce ne serait même pas la peine de demander l'avis de tous les élus concernés. Peut-être qu'un car de CRS sur Anduze serait suffisant ? Vive la démocratie. L'"arrière garde" a des arguments M. le Préfet mais de votre "avant garde" on les attends toujours ? Je ne parle pas des avantages financiers conséquents que vont récolter quelques élus mais simplement de l'intérêt pour nous simples citoyens ? Mais vous réunissez la presse pour leur annoncer crânement que rien n'est changé ? Que nous sommes des "ringards" ? C'est de la provocation ? Vous voulez attiser les braises qui, reconnaissons le, en période estivale, s'étaient un peu assoupies ?
2C2A VIVRA

Anonyme a dit…

Réunir la presse pour dire "circulez, y-a rien à voir" ? Le Président est attentif, la ministre s'interroge, mais "je ne change rien". Etrange, non ?

Anonyme a dit…

Un préfet qui convoque la presse pour tenter de se justifier, ça commence effectivement à sentir le roussi.