Eh oui M. Bres ! Votre commune ne compte plus, n'a plus rien à dire face à l'intérêt majoritaire de la grande ville ! On pourrait vous dire, il fallait y penser avant ? Mais on compatit et c'est tout à votre honneur de reconnaître votre erreur et d'exprimer vos regrets ! Puisse votre témoignage faire réfléchir ceux qui succombent aujourd'hui à des tentations dangereuses ! Après il sera trop tard... comme pour Soustelle aujourd'hui.
Quand le sage montre la lune, le singe regarde le doigt. Oui la plupart des élus de nos communes rurales sont des bénévoles.
Cette interwiew d'un ancien maire qui, convaincu par quelques promesses, a conduit sa commune au Grand Alès, malgré une forte opposition dans son conseil est poignante. Ce Monsieur qui n'est plus élu aujourd'hui a retrouvée sa liberté de parole, il nous explique à quel point cette décision à été une erreur.
Pour 20:49 - Non tu ne rêves pas, mais tu fais de mauvais rêves... Ramené au taux horaire de travail les indemnités des élus (sauf celles des grands cumulards) ne font pas grand chose, sans doute même pas le smic.
Dans l'absolu, les communes limitrophes peuvent réorienter leurs décisions. Faut trouver des sous pour se desangager. Soyons rêveurs, de proche en proche ce sont des zones entières qui pourront recréer des groupements. Autre version c'est de faire des groupements d'intérêt à l'intérieur des grosses structures. Bref, si on nous incorpore de force il nous faudra être inventifs, trouver des alliés...
Et dire que les partisans de l'agglo nous rabachent que "tous les maires du grand alès sont satisfaits d'appartenir à l'agglo". En fait, ils sont muselés et avec le système Roustan gare à celui qui ose critiquer la CAGA. Dès qu'ils retrouvent leur liberté, nous entendons un autre son de cloche. Ce témoignage est poignant et très important dans le débat qui nous occupe aujourd'hui. Merci Monsieur Brès.
9 commentaires:
Eh oui M. Bres ! Votre commune ne compte plus, n'a plus rien à dire face à l'intérêt majoritaire de la grande ville ! On pourrait vous dire, il fallait y penser avant ? Mais on compatit et c'est tout à votre honneur de reconnaître votre erreur et d'exprimer vos regrets ! Puisse votre témoignage faire réfléchir ceux qui succombent aujourd'hui à des tentations dangereuses ! Après il sera trop tard... comme pour Soustelle aujourd'hui.
il me semble que j attend la voie d un élu de la 2c2a qui parle de bénévolat !! je rêve
Quand le sage montre la lune, le singe regarde le doigt. Oui la plupart des élus de nos communes rurales sont des bénévoles.
Cette interwiew d'un ancien maire qui, convaincu par quelques promesses, a conduit sa commune au Grand Alès, malgré une forte opposition dans son conseil est poignante. Ce Monsieur qui n'est plus élu aujourd'hui a retrouvée sa liberté de parole, il nous explique à quel point cette décision à été une erreur.
Pour 20:49 - Non tu ne rêves pas, mais tu fais de mauvais rêves... Ramené au taux horaire de travail les indemnités des élus (sauf celles des grands cumulards) ne font pas grand chose, sans doute même pas le smic.
Dans l'absolu, les communes limitrophes peuvent réorienter leurs décisions. Faut trouver des sous pour se desangager.
Soyons rêveurs, de proche en proche ce sont des zones entières qui pourront recréer des groupements.
Autre version c'est de faire des
groupements d'intérêt à l'intérieur des grosses structures.
Bref, si on nous incorpore de force il nous faudra être inventifs, trouver des alliés...
Bravo, 09:14, bien parlé !Et je suis SÛR que beaucoup de maires actuellement "détenus" ne demanderaient pas mieux que de s'évader !
Et dire que les partisans de l'agglo nous rabachent que "tous les maires du grand alès sont satisfaits d'appartenir à l'agglo".
En fait, ils sont muselés et avec le système Roustan gare à celui qui ose critiquer la CAGA.
Dès qu'ils retrouvent leur liberté, nous entendons un autre son de cloche.
Ce témoignage est poignant et très important dans le débat qui nous occupe aujourd'hui.
Merci Monsieur Brès.
20h49 est dans "l'attente d'une voie" ou "entend une voix", dans l'un ou l'autre des cas, une consultation s'impose!...
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