vendredi 10 juin 2011

Monsieur le préfet n'etes vous pas en train de mettre le feu aux poudres ?


Envoyé par NF

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Belle victoire en effet ! Mais c'est le genre de victoire dont on ne sort pas grandi !

Anonyme a dit…

C'est toujours le même problème du pot de terre contre le pot de fer...!
Mais quand allons-nous ressortir les fourches contre cette bande d'oppresseurs qui nous asservit en toute impunité?
RAVACHOL.

Anonyme a dit…

Si c'est une victoire ? C'est que c'est une défaite de la démocratie et des habitants de la commune ! Bravo monsieur le préfet !

Anonyme a dit…

une victoire peu glorieuse ? brandissant les menaces de la PEUR ... du professeuir faisant donner des coups de règles au surveillant disant "je ne veux pas le savoir"

Qu'est ce qui empeche une association soutenue par la commune de Massilargues d'organiser un débat populaire avec expression des habitants ? Le préfet ne trouverait rien a y redire si ?

Anonyme a dit…

LA justice c est pour tout le monde la loi c est la loi....
meme pour m le maire de massillargue il n y a pas de raison qu elle fasse ce qu elle veut a ce moment la tout le monde pourrait en faire autant
et c est la debandade
RESPECTEZ NOUS S.V.P NOUS LES HABITANTS.....

Anonyme a dit…

Ah bon 10:43 ! Si c'est ça respecter les habitants ? Pas de consultation et hop tout le monde du même avis ! Celui du préfet (et du 10:43 ?) qui dit qu'il propose (la loi aussi) mais qui veut imposer !

Anonyme a dit…

Allez radotons avec ce dicton africain "si tu fais quelque chose pour moi et que tu le fais sans moi, tu le fais contre moi" Le préfet est un bon porte parole du "moi je sais ce qui est bon pour vous"

Anonyme a dit…

Elle n'a pas perdu 10h43.

Elle a bien démontré que le préfet leur dit de consulter leur population et dans le même temps empêche cette consultation.

On ne peut en aucun cas se fier à ce qu'il dit.
La preuve est faite que lorsque le préfet dit "cette fusion est dans l'intérêt des communes" c'est faux.
Nous sommes sacrifiés dans l'intérêt de leur projet.

Par contre qu'il nous y mette de force dans son agglo, il ne sera pas déçu. Nous y mettrons le temps mais nous exigerons de savoir où va l'argent qu'on nous estourbit.
A force d'injustice ils ont réussi à réveiller la conscience citoyenne. Et quand on se met à être têtus dans le coin, on est pas des cadeaux.

Anonyme a dit…

Moi je constate simplement que les arguments pour ne pas y aller l'emportent largement ! On sait ce que vont perdre nos petites communes, ce que va perdre la démocratie, mais à part quelques arguments fallacieux genre "au grand Alès, ceux qui y sont n'ont pas l'air malheureux" ? Manquerait plus que ça ! C'est faible comme argumentation face à la réalité des faits et des chiffres ! Et puis le grand Alès d'aujourd'hui n'est pas celui de demain et ses communes excentrées devraient aussi se poser des questions ? Je ne suis pas sûr qu'il y aura des "primes" à l'ancienneté ?

Anonyme a dit…

Le préfet a attaqué Massillargues sous prétexte du non respect des délais imposés par les textes.

Je pense, qu'en fait, il craint surtout l'expression de la volonté citoyenne.

La secrétaire générale de la préfecture a répété aux journalistes que si les délais avaient été respecté la consultation n'aurait pas posé de problèmes.

Certaines communes ont entrepris la même démarche que Massillargues en respectant les délais quitte à convoquer les électeurs au beau milieu de l'été.

Le préfet, grand défenseur du droit et donneur de leçon sur la démocratie devrait donc féliciter ces communes qui ne font que suivre ses conseils.

Réactions à suivre.

La Gueux a dit…

D'accord avec Ravachol ! Sortons les fourches et "manchons les faux à rebours", comme le disait le Cévenol Jean-Pierre Chabrol !
Alès et menacée sur son flanc sud : donnons l'assaut !
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