dimanche 5 juin 2011

L’Association des Maires Ruraux du Gard dénonce un projet préfectoral de Schéma Départemental de la Coopération Intercommunale

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Madame, Monsieur,


L’Association des Maires Ruraux du Gard dénonce un projet préfectoral de Schéma Départemental de la Coopération Intercommunale rempli d’incohérences et de contradictions et qui semble plus dicté par le désir de satisfaire des notables locaux que par la volonté de mettre en œuvre une politique ambitieuse d’aménagement du territoire que nous revendiquons pour notre département.

Notre association est sollicitée par de nombreux élus qui refusent le projet préfectoral dans sa forme actuelle.

Nous souhaitons faire, avec vous, le tour des problèmes posés dans l'ensemble du département par ce document lors d'une

CONFERENCE DE PRESSE Mardi 7 juin 2011 à 14h à la brasserie "Au Bureau", 24 bd Amiral Courbet à Nîmes

Le matin même, le tribunal administratif de Nîmes, traitera d'une requête en référé à la demande du Préfet du Gard. Celui-ci demande la suspension d'une délibération de la commune de Massillargues Atuech décidant l'organisation d'une consultation citoyenne sur le projet de SDCI.

Aurélie Genolher, Maire de Massillargues Atuech, participera à 14h à la conférence de presse de l'AMR 30 et répondra à vos questions sur cette procédure.

Comptant sur votre participation.

Cordialement.

Alain BEAUD
Président de l'association des maires ruraux du Gard

7 commentaires:

Anonyme a dit…

2C2A VIVRA !

Anonyme a dit…

Tenez bon Madame le maire de Masillargues Atuech... avec vos conseillers et conseillères municipales, votre conseillere générale et votre président de la communauté de communes, président de l'association des maires ruraux !

Tenez bon et appuyez vous sur le projet de territoire pour ouvrir grand les yeux de ces messieurs qui gagneraient a comprendre l'intérêt d'oeuvrer AVEC les CITOYENS et non sans eux...

Vive la sociocratie ! Retenu professionnellement, Je serai de tout coeur avec vous ..

Joel Raimondi Cabinet FIDES CONSEILS

Anonyme a dit…

Merci Mr Raimondi de continuer de suivre nos pauvres préoccupations. Le travail de votre cabinet nous a rendu plus forts et plus soudés.
Les habitants de cette communauté de communes ne se laisseront pas faire parce qu'ils en savent bien plus que ce qu'on souhaiterait qu'ils sachent, et qu'en plus leur projet de territoire tient la route.
2C2A VIVRA!

Anonyme a dit…

Quel couillon ce DSK ! S'il avait troussé une princesse au lieu d'une soubrette ? C'est les gens de droite qui auraient été gênés aux entournures, pas vrai ? Mais c'est vrai que nous sommes tous (hommes ou femmes) très vertueux, surtout en France et à droite comme à gauche ! Nous messieurs on ne fornique pas, on reproduit l'espèce, pépères et bien pensants ! Bonjour l'hypocrisie et bonne nuit ...

Anonyme a dit…

Heu! 21:58
C'est la soupe qui n'est pas passée?
qu'est-ce que DSK vient faire là? je ne vois pas le fil rouge,éclaires nous...

Anonyme a dit…

T'inquiète 08:32, DSK n'a rien à voir avec ça, il n'y a pas de fil rouge. Mais où en parler ? C'était un coup de gueule face à l'hypocrisie ambiante ! Je veux la justice mais j'exècre la morale outrancière et faussement bien pensante. DSK est dans la m... et même si c'est de sa faute ? J'ai des doutes sur les offuscations exagérées, féminines comme masculines !

Anonyme a dit…

Tu sais bien, 21:58 que le sport favori des médias au service de l'audimat consiste en permanence à détourner notre attention. Donc méfiance! Ne nous laissons pas encore une fois avoir.
On parle de DSK mais personne ne veut prendre le risque de remettre sur le tapis la discussion qui doit s'engager sur la réforme territoriale et qui devrait être l'un des points d'orgue de cette campagne présidentielle car elle touche tous les français qui ne vivent pas encore dans les agglomérations et crois moi,ça fait beaucoup d'électeurs de gauche comme de droite qui ne veulent pas faire les frais de cette abomination.
Alors,les élucubrations sexuelles de ce connard de DSK m'en bouge une sans réveiller l'autre et pendant ce temps là,on ne parle pas des problèmes importants.