Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
samedi 15 octobre 2022
Dimanche 16 octobre, toutes et tous à la Marche
Dimanche 16 octobre, tou·tes à la Marche
Cette semaine, la mobilisation sociale s'intensifie. La grève dans les raffineries est en train de s'étendre aux autres secteurs de l'économie. Les syndicats appellent à une grande mobilisation ce mardi. Tou·tes demandent l'augmentation des salaires face à la vie chère, alors que les grandes entreprises engrangent des super profits et que les actionnairs profitent de la crise sociale. Il est urgent de partager les richesses.
Dans ce contexte, la Marche du 16 octobre dévient un point d'appui évident pour faire plier Macron. Celles et ceux qui veulent l'augmentation des salaires et le blocage des prix de l'énergie et des produits de première nécessité ; celles et ceux qui refusent la destruction de l'État, de l'assurance-chômage, de notre système de retraites ; celles et ceux qui souhaitent que nous engagions la bifurcation écologique... Toutes ces personnes ont un rendez-vous : dimanche 16 octobre à 14h place de la Nation à Paris en direction de la Bastille.
Aider à faire connaître la Marche en organisant vos dernières actions et en en parlant sur les réseaux sociaux avec le hashtag #Marche16Octobre
N'hésitez pas à venir avec vos drapeaux, vos pancartes, vos banderoles, vos ami·es, votre famille et vos voisins·es !
Douze organisations de jeunesse appellent à la Marche contre la vie chère
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Les vidéos de la semaine
Le point politique important c’est que sur des questions touchant à des dogmes du macronisme (le ruissellement, l’attractivité, pas touche aux riches) des membres de la majorité se mettent à douter.
Semaine sociale et politique chargée, rythmée par la guerre de communication que le pouvoir mène contre la grève dans les raffineries. Mais l'enjeu est hautement politique, car ces grèves concentrent une grande partie des sujets les plus brûlants du moment : inflation, énergies, salaires, superprofits. La situation économique et sociale devient intenable. Parallèlement, dans le monde politique, des secousses se ressentent, et ça bouge un peu sur ces questions y compris dans les rangs de la majorité présidentielle.
Après le FMI, la Commission européenne, l'Espagne, le Royaume-Uni ou l'Italie, le gouvernement français a enfin reconnu que taxer certains super profits pour financer un bouclier énergétique n'était peut-être pas une idée absurde. Il a intégré à son projet de Budget 2023 un amendement proposant une taxation (au rabais) de ce qu'ils préfèrent appeler des "rentes excessives". En réalité, la mesure ne rapporterait que 200 millions.
C'est dans ce contexte que se produisent des petites brèches politiques au sein des Playmobils de la majorité, notamment lors de votes d'amendement au projet de Budget 2023. Le point politique important c'est que sur des questions touchant à des dogmes du macronisme (le ruissellement, l'attractivité, pas touche aux riches) des membres de la majorité se mettent à douter.
vendredi 14 octobre 2022
Ce traitement journalistique n’est pas neutre : il contribue à installer dans l’opinion l’idée que la gauche parlementaire, au sein de laquelle la formation de Jean-Luc Mélenchon est majoritaire, serait violente.
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "DIRECT. Grève : après la CGT, plusieurs autres syndicats appellent à une journée de mobilisation interprofessionnelle mardi 18 octobre" :
E. MACRON : LA VIOLENCE SOCIALE PERMANENTE
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/XCSWdR1mFqs
"La semaine dernière, Jean-Luc Mélenchon a évoqué cette manifestation dans un tweet. La presse a, sans surprise, donné un large écho à ces réactions outragées. La liberté d'expression, d'accord, mais à condition de ne pas faire référence à la Révolution française. Ce traitement journalistique n'est pas neutre : il contribue à installer dans l'opinion l'idée que la gauche parlementaire, au sein de laquelle la formation de Jean-Luc Mélenchon est majoritaire, serait violente.
Plus précisément : cela impose l'idée que dans la France d'Emmanuel Macron, la violence serait du côté de cette gauche. C'est bien sûr complètement faux. Dans la France d'aujourd'hui, la violence, et principalement la violence sociale qui n'est pas ce que prétend monsieur Véran, est du côté de la droite. Et plus particulièrement du côté de la droite gouvernementale."
Nouvelle chronique de Sébastien Fontenelle sur Blast, sur la réalité de la violence sociale en France, et des personnes qui en sont vraiment responsables !
Journaliste : Sébastien Fontenelle
Montage : Alexandre Cassier
Images : Ameyes Aït-Oufella
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Directeur du développement : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaisse
jeudi 13 octobre 2022
DIRECT. Grève : après la CGT, plusieurs autres syndicats appellent à une journée de mobilisation interprofessionnelle mardi 18 octobre
Les fastueux dîners de Laurent Wauquiez aux frais de la Région | Mediapart
Extrait réboussier
Le 30 août dernier, lors d’une intervention à l’université d’été du Medef, Laurent Wauquiez, qui s’autoproclame patron de « la région la mieux gérée de France », expliquait doctement qu’il n’y a « aucune fatalité au gaspillage de l’argent public » et que les « sources d’économie » se trouvent « partout ».