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Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 7 mars 2023
Tweeté par Marcel sur Twitter
Je vous espère tous en grève
Je vous espère tous en grève
Comment pouvez vous admettre la suffisance des compensations distribuées par nos dirigeants ?
Celle du « dégoulinage » des plus riches
Un cheque parci-parlà
Une petit remise après une augmentation colossale
Mais encore :
Si c’est trop cher on va vous expliquer comment vous en passer !
Comme le pense les plus riches :
« Donnons notre obole à nos pauvres»
Mais nous avons nos pauvres « monsieur » voyons !!!
Voyez vous chers amis
Toutes ces « mesurettes » sont bien un sparadrap sur les plaies putrides du système basé sur l’ économie dite LIBERALE
lundi 6 mars 2023
ENQUETE FRANCEINFO. Carte vitale, vignette Crit'air, livraison de colis... Derrière les arnaques par SMS, des escroqueries en kit montées par des voleurs parfois adolescents
dimanche 5 mars 2023
NOTRE JUPITER
Notre Jupiter
Il se prend pour Jupiter
Il a pensé convaincre Poutine pour arrêter le conflit Ukrainien
Il pense convertir l’ Afrique
Qui nous jette lamentablement
Au profit de la Russie et de la Chine
Ce voyage africain est un désastre
Il obtient les mêmes résultats qu’ avec Poutine… c’est à dire moins que rien !
Notre Jupiter n’est qu’un petit croissant de Lune blafard
Face aux pesticides qui « tuent », des scientifiques se mobilisent | Mediapart
Retraites : Michel-Edouard Leclerc assure ne pas "se reconnaître" dans cette réforme et propose de "faire payer les robots"
Insolite. Une Renault 4L humilie un Dacia Duster sur la neige
samedi 4 mars 2023
Je repenserai à cette terre qui ne nous lâche pas, aux étables et aux villes, aux fermes et aux immeubles, aux paysans et aux passants.
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Tweeté par Marcel sur Twitter" :
« Une confrontation pour l'avenir du monde agricole »
"C'est à ce moment que l'importance du Salon commença à apparaître : ce n'était pas seulement un décor de théâtre ou une comédie politique, mais le lieu d'une confrontation, pour l'avenir du monde agricole. J'en étais à ces réflexions, quand on me proposa d'aller manger le repas de midi au Cniel (l'Interprofession laitière), avec les collègues en élevage laitier de la Confédération paysanne. C'est en écoutant les histoires, les combats mais aussi les désaccords, c'est en enchaînant les verres de rouge que la réalité du Salon se dévoila.
Dans ce lieu, pendant quelques jours, nous étions des rois. Les journalistes réclamaient notre parole, les politiques mendiaient quelques photos avec nous, et les grandes écoles d'hôtellerie nous servaient comme si nous étions issues de la haute bourgeoisie parisienne, nous les « bouseux ». Alors nous buvions des canons, grisés par notre nombre, comme si la France comptait encore des millions de paysans.
Quand les effets de l'alcool retombèrent, je vis à nouveau les allées, le bitume et le béton. Je vis les visages fatigués des paysans et des visiteurs. Je pris le métro, puis un train pour revenir dans la Drôme. De retour chez moi, je poserai ma joue sur l'herbe, j'écouterai le merle percer le jour, je reprendrai mes outils. Et je repenserai à ce repas au Cniel, aux allées du Salon et à cette rame de métro. Je repenserai à cette terre qui ne nous lâche pas, aux étables et aux villes, aux fermes et aux immeubles, aux paysans et aux passants.
Égarés ensemble dans les trajectoires du progrès, nous avions un commun : quelque chose en nous qui veut vivre."
https://reporterre.net/Au-Salon-de-l-agriculture-les-paysans-sont-des-rois-muets