Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 12 juillet 2022
Ramassage des encombrants - Ales.fr
On remarquera que TORNAC est exclu
Quelle solution pour les encombrants de Tornac ?
Motion de censure : Olivier Faure avait tellement de choses à dire qu'il s'est fait couper le micro | Le HuffPost
Note réboussière :
Ce vote a permis de compter les voix de la véritable opposition…
Le RN en plus de son racisme de souche est dans l' esprit de la droite profonde malgré sont apparence
Quelle arnaque ! Pour ceux qui le soutienne
lundi 11 juillet 2022
Quand Bayrou était lucide sur Macron - L'affaire UBER n'est qu'une confirmation de plus.
Pour info ou rappel. Propos de Bayrou juste avant son ralliement intéressé au candidat des "forces de l'argent" à l'automne 2016. Son plat de lentilles à lui : quelques dizaines de députés et un poste de ministre.... pour lui.François Bayrou étrille Macron, le candidat des «forces de l'argent»Par Marc de Boni
Publié le 07/09/2016 à 10:28, mis à jour le 07/09/2016 à 13:06
LE SCAN POLITIQUE - Le fondateur du MoDem estime que la candidature d'Emmanuel Macron s'inscrit dans la lignée de celle de Nicolas Sarkozy en 2007 et de Dominique Strauss-Kahn en 2012, et entend bien faire barrage.
Il n'y a pas que les soutiens de François Hollande qui voient l'émancipation d'Emmanuel Macron en vue de la présidentielle d'un mauvais œil, il y a aussi François Bayrou. Mais ce n'est «pas du tout» parce que l'ancien ministre de l'économie pourrait occuper le même terrain politique que celui préempté par le MoDem ou par Alain Juppé, assure le maire de Pau, interrogé sur BFM TV. S'il est très offensif contre le fondateur de En Marche, c'est surtout parce que François Bayrou veut faire barrage «aux puissances de l'argent» qui orchestrent selon lui en sous-main la montée en puissance de l'ancien employé de banque Rothschild.
Bas du formulaire
«Je suis absolument sceptique sur cette affaire, et quand je dis sceptique, c'est le mot le plus modéré que je puisse choisir. Ça ne marchera pas, parce que les Français vont voir ce que cette démarche signifie, ce qu'il y a derrière tout ça, derrière cet hologramme», croit savoir François Bayrou. «D'ailleurs c'est très simple: posez-vous la question du pourquoi ces heures et ces heures de télévision en direct? Pourquoi ces couvertures de magazines, pourquoi ces pages et ces pages autours de photographies ou d'histoires assez vides?», s'interroge-t-il, en référence aux diverses publications estivales concernant Emmanuel Macron et son épouse. «Il y a là une tentative qui a déjà été faite plusieurs fois par plusieurs grands intérêts financiers et autres, qui ne se contentent pas d'avoir le pouvoir économique, mais qui veulent avoir le pouvoir politique», affirme le troisième homme de la présidentielle de 2007.
L'opération de com' de Macron au milieu de son «été de réflexion»
LE SCAN POLITIQUE - Dans Paris Match, le ministre de l'Économie n'hésite pas à se prêter au jeu des photos à la ...
«On a déjà essayé plusieurs fois… On a déjà essayé en 2007 avec Nicolas Sarkozy, et ça n'a pas très bien marché. On a essayé en 2012 avec Dominique Strauss-Kahn… Et ce sont les mêmes forces qui veulent réussir avec Macron ce qu'elles ont raté avec Strauss-Kahn», poursuit l'ancien ministre de l'éducation nationale. Ces forces de l'ombre devront compter avec la détermination de François Bayrou à leur barrer la route de nouveau. «Je me suis toujours opposé au mélange des genres entre la décision politique, qui doit être d'ordre civique, et le monde des grands intérêts et celui de l'argent». Et le fervent catholique de poursuivre: «Il y a la séparation de l'Église et de l'État. Moi je suis pour la séparation de l'État et de l'argent (…) Je ne suis pas pour que le pouvoir de l'argent prenne le pas en politique. Il faut en tenir compte, il faut le savoir il faut le connaître, il faut favoriser quand on peut l'activité et la création de richesses. Mais il ne faut pas que l'un ait le pas sur l'autre».
« Il y a la séparation de l'Église et de l'État, moi je suis pour la séparation de l'État et de l'argent »
François Bayrou, fondateur du MoDem sur BFM TV
dimanche 10 juillet 2022
ENQUÊTE. Uber Files : comment Emmanuel Macron s'est impliqué lors de l'arrivée du géant du VTC en France
Au début
Au début
samedi 9 juillet 2022
De LREM au RN, le soutien quasi unanime de la classe politique à Eric Coquerel
Avec les soutiens de G. Darmanin (LR/LREM) et de S. Chenu (RN), faut se méfier des avertissements déguisés ...
Une plaignante, Sophie Tissier, soutenue par Philippot ou Nicolas Dupont Aignan dans la séquence Gilets jaunes et qui glane 1,45% des voix aux législatives dans une circonscription la plus à droite de Paris représente une arme de dissuasion !
De LREM au RN, le soutien quasi unanime de la classe politique à Eric Coquerel
LeHuffPost
https://youtu.be/XwfCfK8H4OM
Ce sont des soutiens inattendus. Du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin au député Rassemblement national Sébastien Chenu, les adversaires d'Eric Coquerel se rangent derrière lui. Après la circulation de rumeurs sur les réseaux sociaux, une plainte pour harcèlement sexuel a été déposée à son encontre par la militante LFI Sophie Tissier.
Chez la France insoumise, on se justifie d'avoir demandé la démission du ministre Damien Abad, visé par une plainte pour tentative de viol, mais pas celle du député LFI. "Toutes celles et ceux qui essaient de mettre sur le même plan ces deux cas de figure sont d'une mauvaise foi criante et totale", a assuré le député LFI Manuel Bompard sur Europe 1.
"Je suis très attaché à la présomption d'innocence, ça vaut pour tout le monde, y compris pour M. Coquerel", a déclaré le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin mercredi sur cBFMTV. "La présomption d'innocence c'est quand même quelque chose d'intéressant, c'est le fondement d'une démocratie", a ajouté le ministre de l'Intérieur, également visé par une plainte pour viol, classée sans suite dans un premier temps puis relancée et pour laquelle le parquet a requis un non-lieu début 2022.
Du côte du Rassemblement national, même son de cloche. "On a des principes, et ils sont valables pour nos adversaires politiques, a indiqué le député Sébastien Chenu sur Public Sénat. Je considère qu'il a une présomption d'innocence".
Le député Éric Coquerel conteste les accusations qui lui sont faites. "Je n'ai jamais eu de ma vie quelque chose qui pourrait s'apparenter à un comportement de harcèlement, d'agression ou de viol," a-t-il martelé dimanche 3 juillet.