Envoyé par Elton
On ne rit pas, on ne se moque pas....
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
Avis de parution du 12 septembre 2017
Observation - Statistiques - Économie - Évaluation - Recherche - Innovation - Prospective
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE
Bilan physique et monétaire de l'électricité 2011-2015 - Les consommateurs d'électricité ont dépensé 52 Md€ en 2015 pour consommer 446 TWh. Les taxes ont représenté 27% de cette dépense, le coût d'acheminement 27% et celui de fourniture 46%. Le résidentiel est le principal secteur consommateur, représentant 35% des livraisons physiques. Compte tenu de coûts d'acheminement et de commercialisation plus élevés en moyenne pour les ménages que pour les entreprises, le résidentiel pèse davantage encore dans la dépense. À l'inverse, l'industrie représente 24% de la consommation physique mais seulement 15% de la dépense. La part du tertiaire est quant à elle de l'ordre d'un tiers, en unités physique ou monétaire.
Les énergies renouvelables en France en 2016 - La part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d'énergie en France s'élève à 15,7 % en 2016, d'après des estimations provisoires, en progression régulière depuis une dizaine d'années. La croissance importante des énergies renouvelables depuis 2005 est principalement due à l'essor des biocarburants, des pompes à chaleur et de la filière éolienne. Le développement du solaire photovoltaïque et de la biomasse solide pour le chauffage y contribue également, même si le recours à cette dernière est plus sensible aux aléas climatiques. Toutefois, le rythme global de développement des énergies renouvelables reste à accélérer pour atteindre l'objectif d'une part de 23 % dans la consommation finale brute à l'horizon 2020.
Motorisations des véhicules légers neufs. Émissions de CO2 et bonus écologique - En août 2017, la part des voitures diesel dans les immatriculations totales progresse alors que celle des voitures essence recule. Dans le même temps, la part des voitures à motorisations alternatives progresse et atteint un niveau record de 6 276 immatriculations en raison des hausses de la part des hybrides et des électriques. Les émissions moyennes de CO₂ des voitures baissent de 0,9 g/km à 110,7 g/km. La part des voitures affectées d'un malus recule pour la première fois depuis octobre 2016.
Évolution du transport léger dans les secteurs du transport routier de fret et de la messagerie entre 1995 et 2013 - Depuis 1995, le nombre de camionnettes utilisées dans le transport routier de fret et la messagerie a fortement augmenté. Dans le même temps, le nombre de poids lourds a diminué tandis que leur capacité s'est accrue. Le transport routier de fret de proximité utilise plus de la moitié des camionnettes du secteur du transport routier de fret et de la messagerie. Par ailleurs, la part du transport léger, c'est-à-dire des entreprises n'utilisant que des camionnettes, a crû tant en termes de chiffre d'affaires que d'effectif salarié. Le secteur de la messagerie se distingue par une part importante d'entreprises appartenant au transport léger. Les entreprises de transport léger de la messagerie et du transport routier de fret de proximité sont principalement situées dans les grandes aires urbaines, où elles utilisent plus de 80 % des camionnettes de leurs secteurs.
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