Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 24 octobre 2014
les pieds dans l'herbe récidivent fin octobre
- Disponible dans quelques jours -les éditions les pieds dans l'herbe sont sur : http://piedsdanslherbe.blogspot.fr et sur facebookClémence Aldebert
De la relecture à l'impression,
composer avec vous votre livre
http://correctionpro.jimdo.com
04 66 60 35 20
jeudi 23 octobre 2014
Les 4 règles fondamentales du management
On apprend en s'amusant !4 leçons sur : - la Communication
- les Procédures
- la Hiérarchie
- la Gestion des affaires1/ Communication :
Un homme entre dans la douche au moment précis où sa femme en sort, lorsque la sonnette retentit .
La femme s'enroule dans une serviette de toilette, descend les escaliers en courant et va ouvrir la porte d'entrée.
C'est Laurent, le voisin. Avant qu'elle n'ait pu dire un mot, il lui lance :
- Je te donne 800 EUR immédiatement si tu laisses tomber la serviette qui te couvre !
Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette. Il l'admire à loisir, puis lui tend 800 EUR.
Un peu éberluée, mais contente de la petite fortune qu'elle vient de se faire en un clin d'œil,
elle remonte dans la salle de bain.
Son mari, encore sous la douche, lui demande :
- C'était qui ?
- C'était Laurent.
- Super, il t'a rendu les 800 EUR qu'il me devait ?
Morale n°1 :
Si vous travaillez en équipe,
partagez rapidement les informations concernant les dossiers communs,
vous éviterez ainsi bien des malentendus désagréables.
2/ Procédures:
Au volant de la 2 CV, un prêtre raccompagne une nonne au couvent.
Le prêtre ne peut s'empêcher de regarder ses superbes jambes croisées.
Il pose subitement la main droite sur la cuisse de la nonne.
Elle le regarde et lui dit :
- Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ?
Penaud, le prêtre retire sa main et se confond en excuses.
Un peu plus loin, rongé par la tentation, il profite d'un changement de vitesse
pour laisser sa main effleurer la cuisse de la nonne, qui lui redemande :
- Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ?
Il rougit une fois de plus et retire sa main, balbutiant une excuse.
Les voilà arrivés au couvent.
La nonne descend de la voiture sans dire un mot.
Le prêtre pris de remords pour son geste déplacé se précipite sur la Bible , à la recherche du Psaume 129.
Psaume 129: "Allez de l'avant, cherchez toujours plus haut, vous trouverez la gloire"
Morale n°2 :
Au travail, une bonne connaissance des procédures est recommandée pour atteindre les objectifs...
3/ Hiérarchie :
Un représentant, une employée de bureau et un directeur du personnel
sortent du bureau à midi et marchent vers un petit restaurant,
lorsqu'ils trouvent sur un banc, une vieille lampe à huile.
Ils la frottent et un génie s'en échappe :
- D'habitude, j'accorde trois souhaits, mais comme vous êtes trois, vous n'en aurez qu'un chacun.
L'employée de bureau bouscule les deux autres en gesticulant :
- A moi, à moi ! Je veux être sur une plage immaculée des Bahamas,
en vacances perpétuelles, sans aucun souci qui pourraient m'empêcher de profiter de la vie !
Et pouf, l'employée de bureau disparaît. Le représentant s'avance à son tour :
- A moi, à moi ! Je veux siroter une Pina Colada sur une plage de Tahiti avec la femme de mes rêves !
Et pouf, le représentant disparaît.
- C'est à toi" dit le génie en regardant le directeur du personnel.
- Je veux que ces deux là soient de retour au bureau après la pause déjeuner...
Morale n°3 :
En règle générale, laissez toujours les chefs s'exprimer en premier,
et méfiez vous du Directeur des ressources humaines...
4/ Gestion des affaires :
A la ferme, le cheval est malade. Le vétérinaire dit au paysan :
- Je lui injecte un remède, si dans trois jours il n'est pas remis, il faudra l'abattre.
Le cochon qui a tout entendu, dit au cheval:
- Lève-toi !
Mais le cheval est trop fatigué. Le deuxième jour le cochon dit :
- Lève-toi vite !
Le cheval est toujours aussi fatigué. Le troisième jour le cochon dit :
- Lève-toi sinon ils vont t'abattre !
Alors dans un dernier effort, le cheval se lève. Heureux, le paysan dit :
- Faut fêter ça : on tue le cochon !
Morale n°4 :
Toujours s'occuper de ses affaires et fermer sa gueule !!
mercredi 22 octobre 2014
Qui a dit ? et combien sommes-nous à le dire ?????
Qui a dit ? et combien sommes-nous à le dire ?????
«Et la menace de la République, c'est la préparation tout droit, comme on s'y prépare pour 2017, d'un immense désastre démocratique», soit «non seulement l'arrivée au second tour de la présidentielle de Marine Le Pen sans coup férir, mais en plus la menace que demain, elle dirige le pays».
mardi 21 octobre 2014
L’assiette au beurre
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lagazettefr a publié:"Rien n'a changé depuis la IVème République. On comparait, alors, les radicaux aux radis : « Rouges à l'extérieur, blancs à l'intérieur et tout près de l'assiette au beurre. » Leur chef actuel, Jean-Michel Baylet possède toujours un solide appétit. Il l'a "
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L'assiette au beurre
by lagazettefrRien n'a changé depuis la IVème République. On comparait, alors, les radicaux aux radis : « Rouges à l'extérieur, blancs à l'intérieur et tout près de l'assiette au beurre. » Leur chef actuel, Jean-Michel Baylet possède toujours un solide appétit. Il l'a prouvé, en obtenant, le 17 octobre, la préservation de la moitié des conseils généraux en l'échange du maintien des radicaux de gauche au Gouvernement.
L'histoire repasse les plats. Pouvoir exécutif faible, marchandage entre partis et politiques publiques réduites aux apparences : tous les ingrédients de la IVème République sont de retour. L'affaire de la vraie-fausse suppression du conseil général le démontre pleinement.
Tout démarre au printemps. François Hollande tranche dans le vif. « Le conseil général a vécu. » Sa formule fait florès. L'institution bicentenaire, en conclut-on, sera effacée de la Constitution. Il n'y aura plus de scrutin cantonal. Paris tient, enfin, sa réforme de structure. Bruxelles et Berlin relâchent un peu la bride.
Patatras, un mois plus tard... Dans une tribune publiée dans la presse quotidienne régionale, le Président fait machine arrière. Plus question de couper tout de suite la tête des élus départementaux. « L'objectif doit être une révision constitutionnelle prévoyant la suppression du conseil général en 2020. » François Hollande repousse son grand dessein à l'après-présidentielle de 2017. Autant dire aux calendes grecques.
Réforme virtuelle - L'instauration des super-régions mise à part, sa réforme territoriale devient surtout virtuelle. Le régime des faux-semblants peut triompher. Et, avec lui, l'un de ses virtuoses, le président du parti radical de gauche (PRG), Jean-Michel Baylet. Surgie des tréfonds de la IVème République, sa formation entre dans la mêlée. Malgré son score microscopique à la primaire citoyenne de 2011 (0,64 %), son chef a de solides arguments à faire valoir. Il dispose d'un groupe à l'Assemblée et au Sénat. Le patron de La Dépêche du Midi colle au discours social-libéral de Manuel Valls. Il est le dernier allié du PS.
Après avoir, en vain, fait des pieds et des mains pour décrocher un gros maroquin lors du remaniement de fin août, Jean-Michel Baylet change de registre. Il menace, début octobre, de faire démissionner ses trois représentants au Gouvernement s'il n'obtient le maintien de la majorité des conseils généraux.
Entre ces deux dates, un drame national. Malgré sa mainmise sur l'unique quotidien local et le conseil général du Tarn-et-Garonne, Jean-Michel Baylet ne parvient pas à conserver son fauteuil de sénateur. Un revers cuisant pour l'héritier radical-cassoulet, dont la famille règne sur le département depuis près d'un siècle. Le chef a été défait dans son fief ! Avec la complicité, s'insurge-t-il, des socialistes. Sur le mode « Arrêtez moi, ou je fais un malheur ! », Jean-Michel Baylet fait les gros yeux. Certains observateurs parlent de comique de répétition. Ce n'est pas la première fois, relèvent-ils, que le leader radical menace de retirer ses représentants du conseil des ministres.
Troc politicien - Au siège du plus vieux parti de France, on jure que l'heure est grave. Jean-Michel Baylet doit absolument se refaire une santé. Plus que jamais, il se pose en champion des conseils généraux. Ceux-ci, faut-il le rappeler, ne sont pas menacés avant 2020. L'objectif présidentiel d'une suppression à cet horizon a même été abandonné. Fin août, Manuel Valls a indiqué qu'ils seraient supprimés uniquement sur le territoire des métropoles. Ailleurs, ils seraient transformés en fédérations d'intercommunalités. Et là, où cela ne serait pas possible, les conseils généraux seraient maintenus en l'état.
Un cas de figure, qui, selon les exégètes de Matignon, concernerait 10 à 15 départements. Le Tarn-et-Garonne ferait-il partie du lot ? Au secrétariat d'Etat à la réforme territoriale, on réfléchit à des critères pour le faire entrer dans cette case.
Mais Jean-Michel Baylet possède un plus gros appétit. Rien n'a changé depuis la IVème République. On comparait, à l'époque, les radicaux aux radis : « Rouges à l'extérieur, blancs à l'intérieur et tout près de l'assiette au beurre. » Dans son « projet de protocole d'accord de gouvernement entre le Parti radical de gauche et le Parti socialiste », le PRG réclame que « les conseils départementaux soient conservés dans les 54 départements dans lesquels plus de la moitié des communes ont une densité de population inférieure à 40 habitants au km2 au sens du commissariat général à l'égalité des territoires. »
Le 17 octobre, Manuel Valls répond à cette requête dans une longue lettre de sept pages. Entre la promesse d'une loi sur la fin de vie, la mise à l'étude d'une mission interministérielle sur la laïcité et la commande d'un rapport consacré à la retenue à la source de l'impôt, le Premier ministre s'attaque au plat de résistance. Oui, il s'engage à « pérenniser au moins la moitié des actuels conseils départementaux ». Résultat : après des journées d'insoutenable suspense, les radicaux restent au gouvernement. Certains diront, qu'avec ce troc, Manuel Valls s'est vendu pour un plat de lentilles. A moins que, finalement, sa promesse ne mange pas de pain…
Jean-Baptiste Forray
lagazettefr | 21 octobre 2014 à 14:20 | Tags: élections, Baylet, départements, Sénat, Valls | Catégories: Chronique | URL: http://wp.me/pJcie-eB
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