Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie : «Le rejet de la taxe Zucman est une preuve du pouvoir de l'oligarchie» ![]()
Faut-il taxer les ultrariches ? Dans un contexte de déficit budgétaire et dans la perspective de 2027, le sujet s'est imposé dans le débat politique. La gauche milite pour la taxe Zucman qui instaurerait un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des ultrariches et pourrait rapporter entre 10 et 20 milliards d'euros. Sa simple évocation fait hurler la droite et le patronat qui brandissent le risque d'un exil fiscal des plus riches. Des conséquences que minore le Conseil d'analyse économique. Dans sa déclaration de politique générale, Sébastien Lecornu a éludé le sujet et son projet de budget est très timide en ce qui concerne la taxation des plus grosses fortunes. Libération fait le point sur le débat.
Par Anne-Sophie Lechevallier
Démontant un à un les arguments avancés contre l'impôt plancher porté par la gauche, l'économiste américain décrit l'égalité fiscale et la taxation des ultrariches comme des conditions de «la démocratie et de la solidarité sociale». Lire plus
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 15 octobre 2025
Fwd: Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie : «Le rejet de la taxe Zucman est une preuve du pouvoir de l’oligarchie»
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)


1 commentaire:
IL Y A QUELQU'UN ???
"Emmanuel Macron n’a pas supporté cette une.
Le 7 octobre, « le Parisien » affiche en première page une photo de l’Elysée, comme figée dans le temps, avec cette question provocante en lettres capitales : « Il Y A QUELQU'UN ? » Comme si le chef de l’Etat avait abandonné la France aux affres de l’interminable crise politique déclenchée par sa dissolution de l’Assemblée nationale, en juin 2024. « Bernard Arnault voudrait faciliter l’arrivée de la gauche au pouvoir qu’il ne s’y prendrait pas autrement », râle le président de la République dans les couloirs du palais. Le propriétaire du quotidien, qui a longtemps affiché sa proximité avec lui, multipliant les visites à l’Elysée et les dîners en couple, l’aurait-il lâché ? Emmanuel Macron ne peut s’empêcher de manifester vertement son amertume au PDG de LVMH, par SMS. « La politique, c’est une affaire de clébards », soupire-t-il parfois pour qualifier ce que la vie publique charrie de rapports de force et de déloyauté."
(…)
https://www.nouvelobs.com/politique/20251015.OBS108802/emmanuel-macron-le-crepuscule-d-une-presidence-au-bout-de-dix-ans-a-me-voir-dans-le-poste-les-gens-ont-envie-d-autre-chose.html
Enregistrer un commentaire