La Convention de la France insoumise pour les élections municipales 2026 aura lieu dimanche 23 novembre 2025 à Paris. Bloquez d'ores et déjà cette date dans votre agenda ! Cet événement lancera la campagne municipale où nous présenterons et soutiendrons des listes dans un très grand nombre de communes en France pour défendre un programme de rupture et notre vision du communalisme. En s'appuyant sur une démarche d'union populaire, nous avons l'ambition de conquérir de nombreuses communes pour commencer la révolution citoyenne, fortifier l'entraide, instaurer la planification écologique et construire la Nouvelle France à l'échelle municipale. Durant cette journée, vous pourrez vous former sur les grandes mesures du programme municipal, participer à des ateliers pour mener campagne, rencontrer nos candidat·es et assister au meeting de lancement de campagne. La Convention pour les élections municipales sera ouverte à tout·es les insoumis·es sur inscription. Le formulaire d'inscription vous sera envoyé d'ici quelques jours et des moyens de transport pour venir participer à l'événement vous seront proposés au départ de plusieurs villes de France. Surveillez vos e-mails pour réserver votre place et ne pas manquer ce grand événement ! Amitiés,
La France insoumise
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2 commentaires:
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« Ça ne tient plus ! » : tel était pourtant le mot d’ordre des actions du 11 octobre.
Et par ricochets, dans la chronique d’une casse annoncée, « ça veut dire qu’onva aggraver la fracture sociale, pour parler comme Chirac », se navre MichelMiaille, le président de la Ligue de l’enseignement de l’Hérault.
Les associations sont autant « de véritables figures de cohésion quand la sociétése fragmente et les discours de haine se banalisent », pouvait-on lire dans ledossier de présentation des manifestations du 11 octobre.
« Dans un contexte social où le lien social se délite, où il y aurait besoin derencontres, où l’extrême droite joue sur les peurs, les associations, ça a toujoursété du “faire ensemble” », insiste le président régional du Mouvement associatif,Hervé Guégan.
« L’Occitanie compte 160 000 associations, poursuit-il. Beaucoup n’ont aucunsalarié, mais l’ensemble représente quand même 170 000 emplois, dont unepartie va être détruite par des licenciements économiques, des départs nonremplacés. Imaginez qu’il y ait 10 000 emplois supprimés chez Airbus, le bruitque ça ferait. Nous, c’est plus insidieux, moins visible. »
Silence dans les rangs
À l’échelle de la France, le milieu associatif recoupe 1,8 million d’emplois etconcerne 20 millions de bénévoles.
« Notre maison brûle et nous regardons ailleurs », lançait Jacques Chirac,encore lui, au quatrième sommet de la Terre, en 2002. Il en va du climat commedu monde associatif : c’est la surchauffe.
Et s’il ne regarde pas ailleurs, l’État, dans le tumulte, se fait soudain très
silencieux : sollicitées par Midi Libre, ni la préfecture de la Lozère, sur le cas dela Ligue de l’enseignement départementale, ni la préfecture de région Occitanie,sur un plan plus général, n’ont souhaité réagir à l’interpellation.
MJC, clubs sportifs, colonies, animation culturelle, insertion sociale ouprofessionnelle : les coupes budgétaires mettent dans le rouge bon nombre destructures.
Tour d’horizon en Occitanie.
Arnaud Boucomont
aboucomont@midilibre.com
coupes Le Mouvement associatif dénonce dans un communiqué de nouvellescoupes budgétaires de l’État dans le projet de loi de finances 2026 tel qu’il a étéprésenté cette semaine par le gouvernement : baisse de 26 % des crédits duprogramme “Jeunesse et vie associative” avec 40 000 services civiques enmoins et suppression du dispositif “Colos apprenantes” ; 541 M€ en moins pourl‘insertion par l’activité économique ; – 60 % des autorisations d’engagements enfaveur de la promotion du sport pour tous ; amputation de 40 % du budgetalloué à l’économie sociale et solidaire ; nouvelle baisse de 700 M€ sur lebudget de la solidarité internationale, déjà à un niveau historiquement bas (- 40% entre 2024 et 2025) ; réduction de 16 M€ du Fonds de Soutien à l’expressionradiophonique (FSER), ramenant son enveloppe de 35 à 19 M€, soit une baissede 44 % par rapport à 2025."
Mardi 21 octobre 2025https://kiosque.midilibre.fr/reader/0bbb3c24-15b6-4c1a-b71f-400ee23...
Tactiques parlementaires en vue
"En réaction, deux députés du groupe macroniste favorables au texte, Nicolas Metzdorf (Nouvelle-Calédonie) et Vincent Caure, ont déposé des amendements pour supprimer ses trois articles, tout comme des indépendants du groupe Liot.
Si la manœuvre peut surprendre, elle permettrait de contourner le mur d’amendements insoumis, et de forcer la poursuite de la navette parlementaire en envoyant la proposition de loi en commission mixte paritaire, réunissant sept députés et sept sénateurs. Dans cette instance, où la gauche n’est pas majoritaire, le projet de loi voulu par le gouvernement a plus de chances d’être adopté. « On fait ce choix par défaut, parce qu’on a un enjeu d’avoir une adoption conforme et rapide. On veut pouvoir obtenir le report (des élections) dans le respect de la volonté des Calédoniens et de l’état de droit », argue Vincent Caure auprès de l’AFP.
Des députés favorables au texte pourraient aussi tenter de soutenir une motion de rejet stratégique, pour interrompre les débats avant même l’examen des amendements. Ces pistes impliquent toutefois une bonne mobilisation, alors que le Rassemblement national et la majorité de la gauche sont opposés à la proposition de loi. Les socialistes la soutiennent mais rien ne garantit qu’ils aideraient pour autant à contourner les amendements. En parallèle, le gouvernement dispose aussi d’outils pour accélérer les discussions. Mais le sujet n’en demeure pas moins un premier caillou dans la chaussure de Sébastien Lecornu, qui avait fait du dossier une de ses « priorités »."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/nouvelle-caledonie-lfi-promet-un-barrage-parlementaire-sur-ce-projet-de-loi-dont-l-examen-s-annonce-houleux_256277.html
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