| ||||||||||||||||||||||||
Note réboussiere :
L’ expérience « gilets jaunes » pour nos dirigeants a été très riche et bénéfique (pour eux là, je redonde!))
En dénigrant les participants
En montrant leurs muscles grâce au forces du désordre
En muselant les organes de communication propriété des plus riches
Aujourd’hui toutes les manifs contre notre système sont au mieux étouffées
Ou au pire massacrées
La recette pour rester au pouvoir est bien rodée et ce, sur le plan mondial
Nos libertés reculent
J ‘ai conscience de l’ inutilité de ces quelques mots !
Je me défoule …
3 commentaires:
À QUAND UN MINISTÈRE DU "CAPITAL HUMAIN" (SIC!) EN FRANCE ?
Une loi anti-manif en préparation, les aides sociales des protestataires également dans le viseur
"Le dispositif avait été supervisé personnellement depuis le siège de la police fédérale par le président et sa ministre de la Sécurité, l’ex-candidate de la droite à la présidentielle, Patricia Bullrich. «La force utilisée sera le minimum nécessaire, mais proportionnelle à la résistance», avait-elle indiqué la semaine dernière, ajoutant alors que «la facture de ce dispositif sera envoyée aux organisations ou individus responsables. L’Etat ne paiera pas pour cet usage de la force de sécurité.» L’Argentine, le grand Buenos Aires notamment, sont le théâtre de centaines de manifestations avec coupures d’axes de circulation chaque année. Particulièrement en décembre, mois associé dans la mémoire des Argentins aux grandes manifestations de 2001, qui avaient fait 39 morts et un demi-millier de blessés lors de la crise de la dette publique.
Patricia Bullrich, qui retrouve son poste déjà occupé entre 2015 et 2019 sous la présidence du libéral Mauricio Macri, a annoncé une loi pour empêcher les «coupures, piquets, barrages», qui affectent l’activité et «empêchent les Argentins de vivre en paix». Le nouveau protocole prévoit d’augmenter le rayon d’action des forces de l’ordre, qui interviendraient contre tout blocage de rue afin de libérer les zones de circulation. «Plus qu’une limitation de l’usage de la force policière, il s’agit d’une autorisation d’exercer la violence contre les manifestants» dès lors «criminalisés», avait dénoncé le Centre d’études sociales et juridiques (CELS) le 14 décembre, à l’annonce de ce nouveau protocole de sécurité.
Quant à sa collègue Sandra Pettovello, ministre du Capital humain, elle a averti en début de semaine dans un bref message diffusé sur son compte X (anciennement Twitter) que «ceux qui coupent les rues ne seront pas payés», ciblant nommément «les bénéficiaires des plans sociaux». Autrement dit, pas d’aides sociales pour les manifestants. Selon l’Observatoire social de l’université catholique d’Argentine, 40,1 % de la population du pays est pauvre, tandis qu’un habitant sur deux reçoit une forme d’aide de l’Etat, soit directement, soit par l’intermédiaire d’une organisation."
https://www.liberation.fr/international/amerique/en-argentine-javier-milei-reclame-60-millions-de-pesos-a-ceux-qui-ont-manifeste-contre-lui-20231223_NNYAWL2BR5CHNMRNFODS6YJY6A/
#RDLS168 : Comprendre l'absurdité et la cruauté de la loi immigration
JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/_doQPdSrLyg?si=b-gll9dFwrpII5qm
Dans ce 168e numéro se la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur la loi immigration.
Il commence par critiquer le contournement du processus démocratique par l'utilisation du 49.3 par le gouvernement. Il s'inquiète de la banalisation de cette pratique. Il souligne le fait que la loi de finances a été adoptée deux années de suite sans être votée, ce qui crée une ambiance particulière à la fin de l'année parlementaire.
Jean-Luc Mélenchon exprime ensuite sa déception quant à l'échec de la proposition de loi insoumise pour bloquer les prix, et critique le rejet des députés insoumis de commissions d'enquête parlementaires qu’ils avaient pourtant proposés, notamment celles sur les crèches publiques de William Martinet et celle de Jean-Philippe Nilor sur les conditions dans lesquelles l’Etat agit face au dérèglement climatique.
Enfin, il revient sur la nouvelle loi immigration, la jugeant absurde et cruelle. Il remet en question l'existence d'une prétendue "vague migratoire" et souligne que la nationalité ne devrait pas être définie par la couleur de peau, la langue ou la religion. Il termine en détaillant les différentes mesures absurdes de la loi immigration.
"Certains préfets ont-ils le contrat d’engagement républicain honteux ? Le « CER », cette mesure phare de la loi séparatisme d’août 2021 censée engager les associations à respecter les valeurs de la République au risque de se voir retirer leurs subventions, est devenu pour certains représentants de l’État un outil dont l’utilisation pose question."
(…)
https://www.mediapart.fr/journal/france/261223/la-prefecture-du-rhone-s-attaque-son-tour-la-desobeissance-civile
Enregistrer un commentaire