Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 10 octobre 2018
L’ électricité énergie secondaire est un moyen de transport d’une…
L' électricité énergie secondaire est un moyen de transport d'une énergie primaire
Une évidence, mais quelque part il faut produire cette énergie secondaire par :
Le solaire , l 'éolien, hydroélectrique, les énergies fossiles, le nucléaire, la géothermie etc…
L 'électricité n'est qu'un moyen intermédiaire permettant d' utiliser ces énergies
(Mais on pollue chez les autres)
Les véhicules électriques à l' honneur aujourd'hui, credo des politiques et des médias, utilisent toutes ces énergies primaires
Que de transformations et d' infrastructures, avant de faire rouler ces véhicules !
En additionnant tous les pertes de ces étapes intermédiaires , oú est
l' économie ?
Autre problème ! Il faudra les alimenter en électricité,
Avec tout ça que devient « le bilan carbone » ? On peut douter de l'efficacité du respect de notre planète
Le pire, il faudra alimenter tout ce parc électrique de véhicules avions, voitures, camions, bateaux etc
Je n ai pas les chiffres mais notre production actuelle en électricité est très insuffisante
Va t-on doubler, tripler, quadrupler, décupler ou plus notre production ?
Avec quel type de centrale électrique ?
Comment distribuer cette production
Notre réseau est largement sous dimensionné et inadapté
La propagande éhontée sur l 'utilisation de l ' électricité , ne répond pas à toutes ces questions .
Il faudrait calculer un coefficient, par moyen de transport par exemple :
bilan carbone sur distance parcourue,
á affiner bien sur et recyclage compris
Des surprises certainement nous aurions …!
Une évidence, mais quelque part il faut produire cette énergie secondaire par :
Le solaire , l 'éolien, hydroélectrique, les énergies fossiles, le nucléaire, la géothermie etc…
L 'électricité n'est qu'un moyen intermédiaire permettant d' utiliser ces énergies
(Mais on pollue chez les autres)
Les véhicules électriques à l' honneur aujourd'hui, credo des politiques et des médias, utilisent toutes ces énergies primaires
Que de transformations et d' infrastructures, avant de faire rouler ces véhicules !
En additionnant tous les pertes de ces étapes intermédiaires , oú est
l' économie ?
Autre problème ! Il faudra les alimenter en électricité,
Avec tout ça que devient « le bilan carbone » ? On peut douter de l'efficacité du respect de notre planète
Le pire, il faudra alimenter tout ce parc électrique de véhicules avions, voitures, camions, bateaux etc
Je n ai pas les chiffres mais notre production actuelle en électricité est très insuffisante
Va t-on doubler, tripler, quadrupler, décupler ou plus notre production ?
Avec quel type de centrale électrique ?
Comment distribuer cette production
Notre réseau est largement sous dimensionné et inadapté
La propagande éhontée sur l 'utilisation de l ' électricité , ne répond pas à toutes ces questions .
Il faudrait calculer un coefficient, par moyen de transport par exemple :
bilan carbone sur distance parcourue,
á affiner bien sur et recyclage compris
Des surprises certainement nous aurions …!
mardi 9 octobre 2018
lundi 8 octobre 2018
dimanche 7 octobre 2018
Nouveau commentaire sur Aéroports de Paris et Française des jeux: feu vert....
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Aéroports de Paris et Française des jeux: feu vert..." :
«Une absence de stratégie industrielle qui dans un pays comme la France, où le rôle de l'État dans le développement des grands groupes qui soutiennent singulièrement son économie constitue un réel problème. «L'État français a toujours fait ça, depuis Colbert qui avait créé Saint-Gobain à l'occasion de la construction de la galerie des Glaces à Versailles,» souligne l'économiste.
«Le problème, c'est que cela veut dire que c'est une politique industrielle, j'ai envie de dire, à la godille, c'est-à-dire qui concrètement n'a pas de cap,» ajoute notre intervenant.
Pour lui, chercher des connivences entre le gouvernement et certains capitaines d'industrie serait aller trop loin. Selon l'économiste, c'est bien ce manque de vision à long terme en matière d'industrie qui est le centre du problème, un manque de stratégie «en amont» qui rend aujourd'hui les décideurs politiques influençables dès lors qu'un problème survient et non pas une volonté de faire d'éventuels «cadeaux» à qui que ce soit.
«Depuis quelques années, pas uniquement depuis Macron, on a l'impression qu'il n'y a plus du tout de vision à long terme. On est victime des pressions des uns et des autres, on sait que dans l'affaire Alstom, il y a aussi les pressions de la justice américaine et on fonctionne finalement un peu par des réseaux d'amitié.»
Pour David Cayla, les racines de cette «régression absolue» du leadership français en matière industrielle puisent dans les traités européens tels que l'Acte unique de 1986. Ce dernier fixe pour objectif l'achèvement du marché intérieur impliquant, à travers la liberté de circulation des marchandises et des services (l'une des quatre libertés), l'ouverture des marchés publics.»
David Cayla, économiste, auteur de «L'Économie du réel : quand les signaux sont trompeurs.»
Ce n'est pas cette majorité qui fonctionne "à la godille" emmenée par un ministre de l'Économie Bruno Le Maire, sans projet industriel, que va s'inverser la tendance...
Un héritage qui date de... 1986! Plus de 30 années de «régression absolue»...
Dire que Le Maire, lors des "primaires" de la droite, avait un programme de 1000 (mille) pages : sûrement un ramassis de textes de "l'Économie pour les nuls", lui qui "brille d'intelligence" et emploi moult subterfuges pour se faire "mousser"...
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