vendredi 10 octobre 2025

Le culot des politiques surtout de droite

https://www.facebook.com/landuzen.bio/videos/2128111697701387/?fs=e&d=n&fs=e



4 commentaires:

Anonyme a dit…

😤😤😤

Anonyme a dit…

QUAND LE MOINE-SOLDAT REMPILE, C'EST À DROITE TOUTE...!

EXÉCUTIF - "On reprend le même et on recommence ? De manière assez surprenante compte tenu de sa démission fracassante il y a quelques jours, c’est Sébastien Lecornu qui a été (re)nommé à Matignon ce vendredi 10 octobre peu avant 22 heures après une longue journée de négociations.

Quelques heures après avoir reçu les chefs de parti (hors LFI et RN) à l’Élysée et après une attente beaucoup plus longue que prévu, Emmanuel Macron a écarté une dissolution et confirmé en début de soirée son choix de s’entourer de l’un de ses plus fidèles, présent dans tous ses gouvernements depuis 2017.

Sébastien Lecornu a dit aussitôt avoir accepté « par devoir » sa reconduction à Matignon. Charge à lui de nommer un nouveau gouvernement, probablement dans les prochaines heures (en tout cas avant lundi pour présenter un budget), en mesure de durer plus longtemps que le dernier, démissionnaire moins de quinze heures après sa nomination. Cette équipe « devra incarner le renouvellement et la diversité des compétences », précise le Premier ministre ajoutant que « celles et ceux qui entreront au gouvernement devront s’engager à se déconnecter des ambitions présidentielles pour 2027 ».

L’Elysée précise qu’Emmanuel Macron a « donné carte blanche » à son Premier ministre. Mais la question se pose de savoir comment il peut réussir là où il a échoué la dernière fois. D’autant que sur le plateau du journal de 20 h de France 2, où il était invité le 8 octobre, l’ex-ministre des Armées avait plusieurs fois martelé : « Ma mission est terminée ». Assurant toutefois qu’il était un « moine-soldat », sous-entendant qu’il ne refuserait pas une nouvelle mission. Celle-ci a encore l’air impossible.

Surtout après les premières réactions : sans surprise, le Rassemblement national promet (par la voix de son président Jordan Bardella) « une censure immédiate de cet attelage sans aucun avenir » quand la France insoumise y voit « un nouveau bras d’honneur aux Français ». Quant au PS qui a désormais l’avenir de ce gouvernement entre ses mains, il assure n’avoir « aucun deal » avec le Premier ministre. A la sortie de l’Elysée, son Premier secrétaire Olivier Faure prévenait qu’il n’avait « aucune garantie de non-censure »."


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/sebastien-lecornu-renomme-premier-ministre-par-emmanuel-macron-la-crise-n-est-pas-terminee_255831.html

Anonyme a dit…

UN VILLIERS ET DEUX TEMESTA(s) AU DERRIÈRE ...!

"Il est l’homme dont les droites reviennent baiser la chevalière, guettant du coin de l’œil le réveil de ses ambitions. A 76 ans, Philippe de Villiers n’est plus seulement l’écrivain nostalgique et islamophobe qui, depuis dix ans, accumule les succès d’édition. Le Vendéen est devenu le favori de Vincent Bolloré, qui a mis la force de frappe de son groupe au service du souverainiste. L’homme aux deux mésaventures présidentielles (4,74 % des voix en 1995, 2,23 % en 2007) connaît un regain de notoriété inattendu, supplantant Eric Zemmour dans le rôle du prophète de malheur dont raffole la France inquiète d’un supposé « grand remplacement ».

La maison d’édition du groupe Bolloré, Fayard, a publié mercredi 8 octobre son dernier brûlot mélancolique (Populicide, Fayard, 418 pages, 21,90 euros). Sorti un an plus tôt, Mémoricide (Fayard) s’est écoulé à plus de 230 000 exemplaires. Chaque vendredi, sur CNews, son émission rameute plus de 800 000 téléspectateurs, jusqu’à 7 % de part d’audience : le tube de la chaîne, rediffusé le lendemain sur Europe 1. En septembre, sa pétition pour un référendum contre l’immigration, organisée par les équipes du Journal du dimanche (JDD), a recueilli près de deux millions de signatures. Un chiffre aisément manipulable, mais témoignant incontestablement de la force de la marque De Villiers… et qui lui a permis de récolter autant d’adresses e-mail. Un fichier d’une ampleur inédite qui suffirait à collecter suffisamment de dons pour amorcer une campagne électorale, relève Alexandre Pesey, président de l’Institut de formation politique rompu aux levées de fonds."
(…)


https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/10/12/philippe-de-villiers-l-aiguillon-de-vincent-bollore-en-vue-de-2027_6645890_823448.html

Anonyme a dit…

VAUDEVILLE ET DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS FONT BON MÉNAGE AU RN...

"Le verrou de la respectabilité a sauté sous les applaudissements des cadres réunis à la hâte dans une annexe de l’Assemblée nationale : le Rassemblement national (RN) – et ses dociles alliés ciottistes – censurerait désormais tout gouvernement, quels qu’en soient le chef et les membres, jusqu’à obtenir une nouvelle dissolution de l’Hémicycle. « La farce a assez duré », a tranché Marine Le Pen. La même qui longtemps a jugé que ce type de menace a priori « décrédibilis[ait] » ses auteurs.

La députée du Pas-de-Calais n’aurait pu rêver meilleure semaine pour remiser ses habits d’honorabilité, étrennés depuis 2017. Le vaudeville politique de cinq jours, conclu vendredi 10 octobre par la reconduction du bail précaire de Sébastien Lecornu à Matignon, a lesté de quelques gags la « plaisanterie » qu’elle promet d’abréger. L’organisation même de ces tractations lui a offert un contraste rêvé pour incarner le « peuple » contre le « système ».
(…)


https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/10/12/au-rn-le-pari-populiste-de-marine-le-pen-pour-obtenir-la-dissolution-de-l-assemblee-nationale_6645971_823448.html