vendredi 10 octobre 2025

Ils se mordent la queue, un passe temps comme un autre …

Ils se mordent la queue, un passe temps comme un autre …

L' assassin d' Israël soutient « son soutien inconditionnel »
Pour le Nobel de la paix
La nature humaine est surprenante



2 commentaires:

Anonyme a dit…

La fronde anti-Bad Bunny

"Et pour cause, Bad Bunny était un soutien actif de Kamala Harris lors de la campagne présidentielle, après que Donald Trump a qualifié Porto Rico d’« île flottante d’ordures ». Le chanteur n’a jamais caché ses convictions politiques, et s’exprime souvent, en chansons ou publiquement, pour les droits des personnes LGBT +, contre la transphobie, le racisme ou la politique anti-immigration du gouvernement.

Les soutiens de Trump avaient immédiatement agité une menace après l’annonce de son nom, affirmant que l’ICE serait présente pendant le Super-Bowl pour y arrêter les immigrés illégaux. Bad Bunny chantera quoiqu’il en soit le 8 février prochain à Santa Clara lors de la mi-temps du Super Bowl. Sur le plateau du Saturday Night Live le 4 octobre, il a même avec humour répondu aux attaques des trumpistes sur sa présence en disant en espagnol « C’est plus qu’une victoire pour moi, c’est une victoire pour nous tous. Notre empreinte et notre contribution dans ce pays, personne ne pourra jamais les effacer », avant de préciser en anglais « si vous n’avez pas compris ce que je viens de dire, vous avez quatre mois pour apprendre ».

L’association à but non lucratif Turning Point USA, fondée en 2012 par Charlie Kirk n’a encore annoncé pour ce concert aucun nom, même si certains circulent déjà comme Jason Aldean, Kid Rock, John Rich, Lee Greenwood, Chris Stapleton, Creed ou encore Carrie Underwood. Elle n’a pas non plus communiqué sur un éventuel lieu où pourrait se tenir ce concert géant."


https://www.huffingtonpost.fr/culture/article/pour-contrer-le-super-bowl-de-bad-bunny-l-asso-de-charlie-kirk-veut-un-spectacle-100-americain_255835.html

Anonyme a dit…

Un problème qui inquiète les démocrates et la gauche américaine. Dans un éditorial publié sur Fox News lundi, Bernie Sanders a déclaré que « l’intelligence artificielle et la robotique développées aujourd’hui par ces multimilliardaires permettront aux entreprises américaines de supprimer des dizaines de millions d’emplois décemment rémunérés, de réduire les coûts de main-d’œuvre et d’augmenter les profits ».

Le rapport met en avant des emplois déjà menacés comme celui des conducteurs par des camions remplacés par des logiciels de conduite automatique chez FedEx ou Walmart.

Et l’automatisation se voit déjà dans les chiffres. Amazon a annoncé avoir supprimé des centaines d’emplois dans sa division cloud quand Walmart a fermé 1 500 postes en 2025, une partie liée à l’automatisation par l’IA.

Mais la rapidité avec lequel le monde va se passer des travailleurs humains fait encore débat. Une étude publiée début octobre par des chercheurs de l’université de Yale estime, en effet, que l’automatisation réelle, engendrée par le développement de l’IA, est encore très minimale.

Passer à la semaine de 32 heures

Reste que pour Bernie Sanders, les États-Unis doivent agir pour protéger leur population du chômage de masse. Le sénateur a donc tout bonnement proposé de passer à la semaine de 32 heures sans perte de salaire. Une proposition choc dans ce pays où travailler 40 heures par semaine est une norme culturelle.

Et la figure emblématique de la gauche américaine ne s’est pas arrêtée là. Il propose d’obliger les grandes entreprises à ce que leurs travailleurs puissent élire au moins 45 % de leur conseil d’administration. Ce, pour être en mesure d’influer sur le développement des technologies. Enfin, Bernie Sanders souhaite la création d’une « taxe sur les robots » aux grandes entreprises, dont les fonds serviraient à « améliorer les conditions de vie des travailleurs lésés »."


https://www.latribune.fr/article/tech/intelligence-artificielle/18889949045870/l-intelligence-artificielle-pourrait-supprimer-100-millions-d-emplois-aux-etats-unis