Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 13 novembre 2020
Il dénonce des "réflexes illibéraux" d'Emmanuel Macron
" [...] Il dénonce des "réflexes illibéraux" d'Emmanuel Macron et de ses ministres Jean-Michel Blanquer et Gérald Darmanin qui, selon lui, pourraient paver la voie aux dérives autoritaires de futurs dirigeants moins démocrates. "
Pour les riches:
https://www.lexpress.fr/actualite/politique/aurelien-tache-au-rythme-ou-l-on-va-un-guantanamo-a-la-francaise-verra-le-jour_2138440.html
Covid-19 : "Hold-up", le documentaire qui dénonce un "complot mondial", fait polémique
Evidement quand ça gène c'est qualifié de « complotiste » et là c'est « taisez vous y' a rien à voir »
Ecouter ce film jusqu' au bout , tout n'est peut être pas très juste …
Mais la notion de classe dirigeante supérieure intellectuellement et des autres « les inutiles » est très visible avec la gouvernance Macron
Les gilets jaunes balayés
Les premiers de cordée glorifiés
Les richesses dégoulinantes , les restes pour les autres
Les grandes écoles forment dans ce sens en particulier l' ENA
A l' ENA on n' apprend pas comment fonctionne la mécanique complexe de notre administration mais on leur serine qu'ils sont la pour réfléchir , ben voyons !
L' élite est là que pour penser agir non !
Les médias vendus se déchainent contre ce film en mettant en avant de fausses infos
Qui n'en sont pas mais font polémiques
Tout ça est bon signe !
Certains réseaux ont censuré ce film , si tout est faux pourquoi censurer , il suffit de prouver le contraire !
Les pertes de liberté votées presque en catimini , en particulier pour la presse libre sont très inquiétantes pour notre démocratie
Lien vers ce film (pas encore censuré) https://vimeo.com/477485900
jeudi 12 novembre 2020
55 organisations contre la « sécurité globale »
Contre la loi « sécurité globale », défendons la liberté de manifester
Nous nous opposons à la proposition de loi « sécurité globale ». Parmi les nombreuses propositions dangereuses de ce texte, trois articles risquent de limiter la liberté de manifester dans des proportions injustifiables, liberté déjà fortement restreinte sur le terrain et de nouveau remise en cause par le Schéma national du maintien de l'ordre.
L'article 21 concerne les caméras portables qui, selon les rapporteurs du texte, devraient équiper « toutes les patrouilles de police et de gendarmerie […] dès juillet 2021 ». S'il est voté, le texte autorisera donc la transmission des flux vidéo au centre de commandement en
temps réel. Cela permettra l'analyse automatisée des images, et notamment la reconnaissance faciale des manifestants et des passants, en lien avec les 8 millions de visages déjà enregistrés par la police dans ses divers fichiers.Ces nouveaux pouvoirs ne sont justifiés par aucun argument sérieux en matière de protection de la population et ne s'inscrivent aucunement dans une doctrine de gestion pacifiée des foules. L'effet principal sera de faciliter de façon considérable des pratiques constatées depuis plusieurs années en manifestation, visant à harceler des opposants politiques notamment par des placements en « garde à vue préventive », par l'interdiction de rejoindre le cortège ou par des interpellations arbitraires non suivies de poursuites. Ces pratiques illicites seront d'autant plus facilement généralisées que l'identification des militants et des militantes sera automatisée.
L'article 22 autoriserait la surveillance par drones qui, selon le Conseil d'État, est actuellement interdite. Ici encore, la police n'a produit aucun argument démontrant qu'une telle surveillance protégerait la population. Au contraire, nous avons pu constater en manifestation que les drones sont avant tout utilisés pour diriger des stratégies violentes contraires à la liberté de manifester : nassage, gaz et grenades lacrymogènes notamment. Comme pour les caméras mobiles, la reconnaissance faciale permettra ici aussi d'identifier des militantes et militants politiques.
En clair, le déploiement massif des caméras mobiles et des drones, couplés aux caméras fixes déjà existantes, entraînerait une capacité de surveillance généralisée de l'espace public, ne laissant plus aucune place à l'anonymat essentiel au respect du droit à la vie privée et ne pouvant avoir qu'un effet coercitif sur la liberté d'expression et de manifestation.
L'article 24 vise à empêcher la population et les journalistes de diffuser des images du visage
ou de tout autre élément d'identification de fonctionnaire de police ou militaire de gendarmerie. Autrement dit, les images des violences commises par les forces de l'ordre ne pourront dés lors plus être diffusées. Le seul effet d'une telle disposition sera d'accroître le sentiment d'impunité des policiers violents et, ainsi, de multiplier les violences commises illégalement contre les manifestantes et manifestants.Nous appelons les parlementaires à s'opposer à ces trois dispositions qui réduisent la liberté fondamentale de manifester dans le seul but de faire taire la population et de mieux la surveiller.
Signataires
- ACAT France
- Action Droits des Musulmans
- Alternatiba Marseille
- Antanak
- ANV-COP21 Marseille
- Association Dédale
- Assodev-Marsnet
- ATTAC
- Bee-home
- Canal-D
- CCPA – Collectif Climat Pays d'Aix
- CECIL
- Cliss 21
- CNNR
- COLL•E•C – Collectif d'Échanges Citoyens du Pays d'Aix
- CREIS-TERMINAL
- DONUT Infolab
- FAIbreizh
- FAImaison
- FDN
- FFDN
- Franciliens.net
- GISTI
- Globenet
- Hoga
- Illyse
- Indie Hosters
- INP-net
- L'Auberge des Migrants
- La Quadrature du Net
- Les-Tilleuls
- Ligue des droits de l'Homme
- Mailden
- Marseille révoltée
- Minga
- MODE 83
- Moutons Numériques
- Mouvement Écologiste Indépendant »
- Numericatous
- Observatoire des Libertés et du Numérique
- Parti Pirate
- Ploss Auvergne Rhone Alpes
- Rap Marseille
- ReAct
- RESINE média
- RevLibre
- ritimo
- Sherpa
- Solidaires Informatiques
- Syndicat de la Magistrature
- Syndicat des Avocats de France
- Toile-Libre
- Union syndicale Solidaires
- Vélorution Paris-Île-de-France
Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up.
"Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l'heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu'avec toutes celles et ceux venus témoigner, c'est avant tout d'avertir sinon d'alerter, d'interpeller, d'informer le plus grand nombre.
L'épidémie et son traitement ont tout d'une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l'état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu'un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d'expression ou d'information.
L'issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l'humanisme ou l'épopée d'un renouveau. Gageons qu'elle débouche sur le renouveau. D'autres y voient une dimension biblique.
C'est donc une question de choix, d'élan instinctif, d'appel ce qui m'a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu'il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c'est ce qui se passe sous nos yeux.»
C'est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l'ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l'intituler « Coup d'Etat »."
http://www.francesoir.fr/culture-cinema/hold-enfin-disponible-sortie-le-1111-11h
HOLD UP
Covid-19 : comment fonctionne le conseil de défense et de sécurité, qui se réunit à nouveau aujourd'hui ?
Des participants choisis par le chef de l'Etat...
Extrait :