samedi 1 novembre 2025

Lionnel Astier et le Musée du Désert

https://www.instagram.com/reel/DQgoZZLAL-j/?igsh=ZWtxbzNqbGVyNTlh



2 commentaires:

Anonyme a dit…

Le débroussaillage de la voie est à refaire

"Le coût du projet de réouverture de la ligne ferroviaire Alès-Bessèges ne semble pas évoluer. La facture globale avoisinerait toujours les quelque 68 M€, avec 40 M€ consacrés à la partie Alès-Saint-Ambroix et 20 M€ pour celle comprise entre Saint-Ambroix et Bessèges. Pour mémoire, des rails de réemploi sont stockés depuis plusieurs années sur le site de la gare alésienne. Quant à la réalisation des pôles d’échanges multimodaux, au nombre de quatre, ils restent toujours d’actualité. En revanche, tout est à recommencer en ce qui concerne le débroussaillement des 32 km de voie. Une première opération avait été menée il y a trois ans, suivie d’une seconde quelques mois plus tard, mais, depuis, la nature a évidemment repris ses droits. "SNCF Réseau doit être relancé pour le refaire", concède Jean-Luc Gibelin. À terme, les trains seront appelés à desservir, outre Alès et Bessèges, Alès-Lycée, Salindres, Saint-Julien-de-Cassagnas, Les Fumades, Saint-Ambroix, Molières-sur-Cèze, Gammal et Robiac-Rochessadoule.

Pour autant, le vice-président d’Occitanie semble avoir amer que l’on mette sur la table la défense de chauve-souris découvertes dans un tunnel, en réclamant pour elles "des lieux de compensation", alors qu’elles étaient déjà probablement là lorsque les trains circulaient jadis. Ou que surgisse la protection d’une biodiversité apparue dans des retenues d’eau créées artificiellement depuis la fermeture de la voie. "C’est quoi la normalité ? Celle durant laquelle la vie circulait durant cent ans avec le passage des trains ou durant les vingt ans de suspension du trafic ?", s’interroge-t-il, d’un point de vue peut-être également philosophique. "Bien sûr, il n’est pas question pour la Région de ne pas être protectrice de la nature. Quand nous voulons rouvrir Alès-Bessèges, nous sommes facilitateurs de la biodiversité en général." L’élu sollicite alors "une simplification", un sujet qui a d’ailleurs été préconisé par le président Emmanuel Macron lui-même. "Si la réglementation n’évolue pas, il y aura toujours des gens qui diront que nous ne la respectons pas. Nous faisons du train ; il y a vraiment besoin de cette simplification…"
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https://www.midilibre.fr/2025/11/01/quand-nous-voulons-rouvrir-ales-besseges-nous-sommes-facilitateurs-de-la-biodiversite-en-general-un-projet-face-aux-embuches-reglementaires-13026441.php

Anonyme a dit…

De plus en plus de chercheurs, ingénieurs, cadres et étudiants des grandes écoles choisissent de quitter des carrières toutes tracées pour refuser de servir un système destructeur.

"Ancienne élève de l’école Polytechnique (et de l’Université Technique du Danemark en 2019), Jeanne Mermet a choisi de renoncer à une carrière prestigieuse pour s’interroger sur le système élitiste et ses dérives.

Dans son ouvrage Désertons (éditions Wild project/Les Liens qui libèrent) elle lance un appel à la désertion collective « C’est à quel sujet ? La désertion. La désertion de qui, de quoi. La désertion comme acte politique, philosophique, poétique, pratique ? Déserter, c’est quitter quelque chose. C’est pas juste quitter, c’est refuser. Je veux pas faire la guerre, surtout pas la vôtre. Mais la guerre est toujours là. Nous ne voulons pas de ce monde-là. Mais les mondes sont toujours là. Je veux pas travailler comme ça. T’as pas le choix. Je veux pas travailler pour ça. Et tu vas faire quoi ? Changer le monde ? Ouais, on peut ? Non. On peut au moins y réfléchir ? »
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https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-lundi-03-novembre-2025-1600650