samedi 18 octobre 2025

Fwd: [LE REBOUSSIER] Nouveau commentaire sur Fwd: Hadrien Mathoux : « Pourquoi la crise politique est loin d'être finie ».


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Fwd: Hadrien Mathoux : « Pourquoi la crise politique est loin d'être finie »" :

D'UN FOURNIER À L'AUTRE....
LES BODIN'S N'ONT PAS ÉTÉ RETENUS DANS LE CASTING !!!

"La France est un pays formidable où les gouvernements se font «sur proposition du Premier ministre» sans que les intéressés ne soient forcément prévenus en amont.

Le nouveau ministre de la Ruralité, Michel Fournier, raconte ainsi à BFM TV avoir appris sa nomination «dimanche soir à la télé». Il précise avoir discuté avec Lecornu «deux jours avant» sa nomination, mais rien n'était sûr. «Comment j'ai réagi ? Bah pfff voilà», résume-t-il avec un sens de la synthèse assez poussé.ç

Quant à sa femme, elle semble également n'en avoir pas eu grand-chose à faire puisqu'elle «regardait un film sur une autre télévision». Encore heureux que Fournier n'était pas devant ce choc du Top 14 entre Toulouse et Bordeaux-Bègles (53 à 16 quand même) ou ce chef-d'œuvre du cinéma diffusé par W9, les Bodin's en Thaïlande. Le plus vieux ministre nommé sous la Ve République aurait pu rater sa nomination. Ce qui aurait été fâcheux."


https://www.liberation.fr/politique/le-nouveau-ministre-de-la-ruralite-michel-fournier-raconte-avoir-appris-sa-nomination-a-la-tele-20251016_VTTTFCCVTVAOPL4OMWF5KWOQQU/

6 commentaires:

Anonyme a dit…

En tant que rural, il regardait Zitrone à la télé tandis que Madame Fournier zieutait Maria et fiston à la ferme des BODIN'S...
Inénarrable comédie d'un casting bricolé sur un bout d' étable...!
(comme dirait Christian)

Anonyme a dit…

Et que revive le microbiote !

Une bière par jour pour un microbiote en meilleure santé ?

"Des chercheurs portugais ont observé que la bière, consommée avec modération, pourrait avoir des effets positifs sur la flore intestinale. Publiée en juin 2022 dans le Journal of Agriculture and Food Chemistry, leur étude a suivi 22 hommes en bonne santé pendant quatre semaines. Chaque participant a bu quotidiennement une bouteille de 33 cl, certains avec alcool, d’autres sans. Résultat : tous ont vu leur microbiote intestinal se diversifier, signe d’un meilleur équilibre digestif. Aucune variation de poids ou de masse grasse n’a été constatée, un constat qui intrigue les chercheurs.

Ces effets seraient liés aux polyphénols, des antioxydants naturellement présents dans le malt et le houblon, capables de protéger l’organisme contre certaines inflammations et d’améliorer la santé cardiovasculaire. Si la bière reste la boisson alcoolisée la plus consommée au monde, cette étude ne l’érige pas pour autant en remède."
(…)


https://www.20minutes.fr/tempo/food/4180124-20251018-bienfaits-biere

Anonyme a dit…

AU NOM DU PÈRE

"Aura-t-on droit au grand soir du XVIe arrondissement, mardi 21 octobre au petit matin ? Des foules en colère agitant leurs carrés Hermès et leurs Rolex, du Vianney à pleine balle dans les amplis, des street-vendeurs de homard ? Les pantalons framboise remplaçant les gilets jaunes ? Il faudra voir si l’appel de Louis Sarkozy à un rassemblement en soutien à son père, le jour de son incarcération à la prison de la Santé, parviendra à soulever les masses prêtes à en découdre pour l’honneur de leur champion, condamné à cinq ans de prison ferme pour «association de malfaiteurs» dans l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007."
(…)


https://www.liberation.fr/politique/debout-le-xvie-louis-sarkozy-veut-organiser-une-manif-le-jour-de-lincarceration-de-lancien-president-20251018_KTHRIANZIBFBZPGC7AI2G3MBVU/

Anonyme a dit…

Chronique

LE RETOUR DE GEORGES ORWELL

Le citoyen ressemble de plus en plus à un pantin.


"Pourquoi faire confiance au Devoir ?
À Port-au-Prince, on nous avait prévenus : surtout, ne pas aller se balader dans les rues, éviter de sortir de l’hôtel, même en plein jour. Trop dangereux. Des disparitions. Des enlèvements. Une jungle. Et dans une jungle, à moins d’être un gros chat de 300 kilos ou un serpent de 8 mètres, mieux vaut s’abstenir de se promener.

J’étais sorti quand même. Avenue Christophe, je tombe sur la Bibliothèque Monique-Calixte. J’entre. Le monde des livres est toujours fascinant. Comme un cimetière, il nourrit la mémoire des vivants. L’auditorium est archiplein. Je me suis planté dans un coin. Devant, sur le podium, un homme parle. Il donne tout de suite une impression de hauteur. Avec des gestes larges, il s’anime. Il a de l’aplomb. De la prestance. Il possède une fine connaissance de l’histoire. Il parle de classes sociales, des luttes ouvrières. Son propos demande des efforts, mais captive.

Après, je suis allé le voir. « Je m’appelle Raoul Peck », m’a-t-il dit en me tendant la main. « Je suis cinéaste. » J’appris qu’il avait été ministre de la Culture. Il me donna rendez-vous pour me faire visiter les mornes, là où vivent les grandes familles fortunées surplombant une société qui tombe en ruine."
(…)

"Le citoyen ressemble de plus en plus à un pantin, aussi désarticulé que dépolitisé. On lui répète que dans la jungle, tous les animaux sont égaux, qu’il n’a pas à y craindre pour sa peau, tant qu’il laisse tranquilles ses maîtres là-haut.

Dans ce monde étouffant, les formules vidées de leur sens se multiplient, jusqu’à masquer le réel. Les « profits admirables » cachent les bas salaires. La « croissance verte » évite de remettre en cause la croissance tout court. Les « réorganisations internes » constituent des congédiements. L’« austérité » cache le pillage du bien public. Les « frappes chirurgicales » ne soignent personne, elles tuent. Les « opérations de pacification » désignent la guerre et la répression. La « neutralisation de cibles » recouvre des exécutions et assassinats. Et qualifier de « terrorisme » l’antifascisme revient à normaliser le fascisme. Le film de Raoul Peck rappelle que l’ignorance est désormais tenue pour une force.

À une population volontairement désorientée et atomisée, on vend plus facilement des idées simples : la peur de l’autre, la stigmatisation des minorités, les fables ultranationalistes. Mais on tait les inégalités. Depuis quatre décennies, rappelle l’IRIS, les 90 % les moins riches du Canada ont perdu environ 3,8 billions de dollars au profit des 10 % les plus fortunés. Depuis Margaret Thatcher, dont on célèbre ces jours-ci le centième anniversaire de naissance, l’écart n’a cessé de s’aggraver. Les élites fabriquent de l’injustice puis la sacralisent, comme si c’était l’ordre naturel du monde.

Mais oubliez tout cela, puisqu’on vous dit que la faute revient aux immigrants, aux musulmans, à la perte des valeurs, à votre manque de fierté… Apprenez que 2 et 2 font 5. Vous pourrez alors croire gaiement qu’une « constitution », bricolée sur le bureau d’un quelconque ministre de la Justice, suffira à conjurer les malheurs collectifs.

Dans le film de Peck, Trump éructe que tout ira si bien que bientôt plus personne n’aura même envie de voter. Et nous, perdus dans cette jungle, avons-nous renoncé à la vertu la plus élémentaire de la décence ordinaire, bêlant en chœur, tout en nous dirigeant vers l’abattoir ?"


https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/924744/chronique-retour-george-orwell

Anonyme a dit…

LOCALE
Crise viticole dans le Gard : lʼappel à lʼaide des vignerons Modef

Le millésime 2025 restera dans les mémoires des vignerons gardois comme l’un des plus éprouvants. « C’est une situation compliquée qui touche l’ensemble de la viticulture en France », relève Didier Gadéa, président héraultais du syndicat agricole Modef. Entre sécheresse prolongée,effondrement des prix et politiques agricoles jugées incohérentes, les vignerons
tirent la sonnette d’alarme.

Le plan dʼarrachage vivement contesté

« On a subi un gros coup de chaud à la mi-août », explique le viticulteur. Et lesconséquences sont lourdes : « Sur ma cave coopérative, nous avons baissé laproduction de 40 % en 2 ans ». Les trésoreries sont à sec selon Didier qui estimequ’il ne « fait pas du blé. Nous faisons de l’agriculture à long terme ».
Qui dit sécheresse dit incendie, comme récemment dans l’Aude. « Là où les feuxont démarré, c’était dans des friches : des vignes arrachées ou abandonnées »,énonce Xavier Fabre, président du Modef Gard.
L’arrachage des vignes représente pour eux le point le plus important. « Lesvignes sont un coupe-feu naturel, rappelle Didier, si on continue de les arracher,ce qui est arrivé dans l’Aude s’étendra à tout le bassin méditerranéen », alerte-t-il. En effet, les mesures gouvernementales déplaisent : « Proposer l’arrachage
c’est tuer la viticulture », lance Xavier. Leur position est sans équivoque : « On nedoit plus arracher un seul hectare de vignes ». Les vignerons soumettent unemétaphore : « Quand on va chez le médecin, il nous soigne. Il ne compte pas
nous euthanasier. Pour les vignes, c’est la même chose ».

Quelle voie pour lʼavenir ?

Au-delà du climat, le marché s’effondre. « Le vin rouge se vend mal, les prix ne
sont pas au rendez-vous », déplore Xavier Fabre. Leur revendication principaleest claire, « l’encadrement des marges ». Les trois vignerons appellent égalementà repenser le modèle : soutenir le bio, miser sur les cépages résistants, redonner
du sens à la production. Ils rappellent également que, sans vignerons, « il n’yaurait pas d’œnotourisme, plus de paysages, plus de vie dans nos villages ».
Pour rappel, l’Occitanie est la première région viticole de France."

Léa Cavanihac

Dimanche 19 octobre 2025https://kiosque.midilibre.fr/reader/4352ebeb-8dad-4eff-9e4e-0fdfe9ee6...

Anonyme a dit…

PAPY FOURNIER S'EN BAT LES STEAKS

"C’est une expression que tous les grands-parents connaissent : "les chicoufs". "Chic, ils arrivent ! Ouf, ils repartent ! ", sourit Serge, papy de trois petits-enfants. "C’est vrai qu’il y a un peu de vrai là-dedans. On les attend toujours avec impatience, on est ravis de les avoir, mais à la fin de la journée, on est parfois un peu fatigués. Ce n’est pas un ouf parce qu’on en a marre, non, c’est un ouf de fatigue, comme après une bonne séance de sport !" Même refrain pour Michèle, qui s’apprête à accueillir ses petits-enfants : "c’est du sport ! Quand ils sont tous les trois ensemble, c’est très fatigant. Il y a un âge pour tout, c’est chic de les avoir, et ouf quand ils s’en vont"."
(…)


https://www.francebleu.fr/infos/societe/lozere-ces-grands-parents-chicoufs-qui-accueillent-leurs-petits-enfants-pendant-les-vacances-8581871