Un bon gars ce Mathieu Madénian... Toujours prêt à secourir son prochain dans les emmerdes. Jupiter nous fait subir les pires conneries. Le gamin, il faut le carboniser au plus tôt ! Habemus papam
*****
"A l’opéra, on appelle ça une prise de rôle. Pour le cardinal Melville, jadis candidat malheureux au conservatoire d’art dramatique, on dira « élection pontificale ». Et, comme un baryton qui, s’apprêtant à chanter Don Giovanni, découvre qu’il manque quelques tons à son registre, le cardinal est saisi d’une étrange paralysie. Nous avons un pape, mais le pape ne se possède plus. A peine élu, sans même avoir pris la peine de choisir son nom pontifical, Melville (Michel Piccoli) saute les murs de la cité du Vatican et se perd dans la Rome séculière." (…)
"La prochaine « niche » parlementaire de La France insoumise, journée au cours de laquelle un groupe fixe l’ordre du jour à l’Assemblée, sera le 27 novembre. La loi Duplomb destinée à lever les contraintes pesant sur le métier d’agriculteur, adoptée au Parlement début juillet avec le soutien des macronistes, des Républicains et de l’extrême droite, a fait l’objet d’un vaste mouvement de protestation, y compris au sein du monde scientifique.
Une pétition réclamant son abrogation a réuni plus de 2,1 millions de signatures sur le site de l’Assemblée nationale, du jamais vu, permettant la tenue d’un futur débat, essentiellement symbolique, à l’Assemblée. Le 7 août, le Conseil constitutionnel a censuré la disposition la plus contestée de la loi Duplomb, qui prévoyait la réintroduction sous conditions d’un pesticide interdit de la famille des néonicotinoïdes. La semaine suivante, Emmanuel Macron a promulgué la loi, en écartant la possibilité de demander une nouvelle délibération du Parlement."
"Une semaine après notre appel à une session extraordinaire, le Premier Ministre annonce un vote de confiance le 8 septembre.
C’est déjà une première victoire de la puissance de la mobilisation qui se prépare pour le 10 septembre. Il faut l’amplifier encore pour tourner définitivement la page du macronisme.
Désormais, chacun est au pied du mur et doit prendre position clairement. Les parlementaires insoumis voteront le 8 septembre pour faire tomber le gouvernement. Dernière modification : 4:49 PM · 25 août 2025"
"Dans l’éventualité où le gouvernement de François Bayrou tomberait le 8 septembre - et c’est à ce jour arithmétiquement l’hypothèse la plus probable - Emmanuel Macron prendra nécessairement la parole pour acter devant les Français la chute du quatrième gouvernement depuis sa réélection en 2022.
Comme c’était le cas en juin 2024, après la claque des élections européennes, l’allocution présidentielle pourrait même avoir lieu dans la soirée du 8 septembre. En cas d’annonce de dissolution, l’Élysée fera paraître au Journal officiel du lendemain le décret de dissolution ainsi que les dates des deux tours des législatives.Selon la Constitution, « les élections générales ont lieu vingt jours au moins et quarante jours au plus après la dissolution ».
En cas de décret de dissolution publié le 9 septembre, le premier tour des élections législatives anticipées pourrait donc avoir lieu dès le week-end du 4 et 5 octobre, et le second sur le week-end du 11 et 12 octobre. La nouvelle Assemblée pourrait alors se réunir de « plein droit », le deuxième jeudi qui suit son élection, soit le 23 octobre donc.
En l’état, il s’agit d’un scénario parmi d’autres. Si l’exécutif démissionne après avoir échoué à obtenir la confiance des députés, Emmanuel Macron pourrait tout aussi bien décider de nommer un nouveau Premier ministre. Et pourquoi pas Sébastien Lecornu, actuel ministre des Armées, et dont le nom est revenu régulièrement à chaque remaniement. Ou, plus étonnant au regard des précédents en la matière, un chef de gouvernement issu de la gauche. Quoi qu’il en soit, toutes les hypothèses sont sur la table. Y compris celle d’un retour aux urnes."
6 commentaires:
Un bon gars ce Mathieu Madénian...
Toujours prêt à secourir son prochain dans les emmerdes.
Jupiter nous fait subir les pires conneries. Le gamin, il faut le carboniser au plus tôt !
Habemus papam
*****
"A l’opéra, on appelle ça une prise de rôle. Pour le cardinal Melville, jadis candidat malheureux au conservatoire d’art dramatique, on dira « élection pontificale ». Et, comme un baryton qui, s’apprêtant à chanter Don Giovanni, découvre qu’il manque quelques tons à son registre, le cardinal est saisi d’une étrange paralysie. Nous avons un pape, mais le pape ne se possède plus. A peine élu, sans même avoir pris la peine de choisir son nom pontifical, Melville (Michel Piccoli) saute les murs de la cité du Vatican et se perd dans la Rome séculière."
(…)
https://www.lemonde.fr/culture/article/2024/10/16/habemus-papam-sur-arte-la-curie-d-un-pape-et-la-diablerie-ludique-d-un-cineaste_6353621_3246.html
Jean-Luc Mélenchon invité du 13h de TF1
JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/04nJJn_v-X0?si=pOmT-DVcr7gqn0cz
Jean-Luc Mélenchon est intervenu dans le 13h de TF1, le 23 août 2025.
Le tacle final sur les journalistes assassinés à Gaza. 🫶
Un débat relancé
"La prochaine « niche » parlementaire de La France insoumise, journée au cours de laquelle un groupe fixe l’ordre du jour à l’Assemblée, sera le 27 novembre. La loi Duplomb destinée à lever les contraintes pesant sur le métier d’agriculteur, adoptée au Parlement début juillet avec le soutien des macronistes, des Républicains et de l’extrême droite, a fait l’objet d’un vaste mouvement de protestation, y compris au sein du monde scientifique.
Une pétition réclamant son abrogation a réuni plus de 2,1 millions de signatures sur le site de l’Assemblée nationale, du jamais vu, permettant la tenue d’un futur débat, essentiellement symbolique, à l’Assemblée. Le 7 août, le Conseil constitutionnel a censuré la disposition la plus contestée de la loi Duplomb, qui prévoyait la réintroduction sous conditions d’un pesticide interdit de la famille des néonicotinoïdes. La semaine suivante, Emmanuel Macron a promulgué la loi, en écartant la possibilité de demander une nouvelle délibération du Parlement."
https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/08/24/lfi-veut-abroger-l-ensemble-de-la-loi-duplomb-en-deposant-un-texte-dans-sa-prochaine-niche-parlementaire_6634487_823448.html
Croire en soi Fernand RAYNAUD interprète le sketch "Les lacets"
DEALEUSE DE LIVRES, DIS-LEUR DE LIRE DLDL
https://youtu.be/uXyCICuxWA8?si=UpO0zO9HLq4Psjt-
Version applicable à beaucoup de nos politic(h)iens ...!
Manuel Bompard
@mbompard
"Une semaine après notre appel à une session extraordinaire, le Premier Ministre annonce un vote de confiance le 8 septembre.
C’est déjà une première victoire de la puissance de la mobilisation qui se prépare pour le 10 septembre. Il faut l’amplifier encore pour tourner définitivement la page du macronisme.
Désormais, chacun est au pied du mur et doit prendre position clairement. Les parlementaires insoumis voteront le 8 septembre pour faire tomber le gouvernement.
Dernière modification :
4:49 PM · 25 août 2025"
https://x.com/mbompard/status/1959991647707488492
"Dans l’éventualité où le gouvernement de François Bayrou tomberait le 8 septembre - et c’est à ce jour arithmétiquement l’hypothèse la plus probable - Emmanuel Macron prendra nécessairement la parole pour acter devant les Français la chute du quatrième gouvernement depuis sa réélection en 2022.
Comme c’était le cas en juin 2024, après la claque des élections européennes, l’allocution présidentielle pourrait même avoir lieu dans la soirée du 8 septembre. En cas d’annonce de dissolution, l’Élysée fera paraître au Journal officiel du lendemain le décret de dissolution ainsi que les dates des deux tours des législatives.Selon la Constitution, « les élections générales ont lieu vingt jours au moins et quarante jours au plus après la dissolution ».
En cas de décret de dissolution publié le 9 septembre, le premier tour des élections législatives anticipées pourrait donc avoir lieu dès le week-end du 4 et 5 octobre, et le second sur le week-end du 11 et 12 octobre. La nouvelle Assemblée pourrait alors se réunir de « plein droit », le deuxième jeudi qui suit son élection, soit le 23 octobre donc.
En l’état, il s’agit d’un scénario parmi d’autres. Si l’exécutif démissionne après avoir échoué à obtenir la confiance des députés, Emmanuel Macron pourrait tout aussi bien décider de nommer un nouveau Premier ministre. Et pourquoi pas Sébastien Lecornu, actuel ministre des Armées, et dont le nom est revenu régulièrement à chaque remaniement. Ou, plus étonnant au regard des précédents en la matière, un chef de gouvernement issu de la gauche. Quoi qu’il en soit, toutes les hypothèses sont sur la table. Y compris celle d’un retour aux urnes."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/une-dissolution-de-l-assemblee-apres-la-chute-de-francois-bayrou-voici-les-dates-possibles-des-elections-legislatives_254005.html
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