La semaine de Chez Pol
L'actu politique ne s'arrête jamais, même le week-end. Mais nous, oui. Alors pour ne pas trop vous manquer d'ici à lundi, voici une sélection de ce qu'il ne fallait vraiment pas manquer cette semaine.
Bonne lecture et bon week-end !
L'équipe Chez Pol
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3 commentaires:
D'UN PAYS À L'AUTRE SUR L'ÉCHIQUIER EUROPÉEN...!
Catherine Connolly est la nouvelle présidente de la République irlandaise. Sa seule rivale, la centriste Heather Humphreys, a reconnu sa défaite. L’universitaire Alexandra Maclennan analyse l’élection de cette présidente pro-Palestine, partisane de la réunification de l’île et parlant le gaélique.
"La candidate indépendante de gauche Catherine Collonny a remporté, samedi 25 octobre, l’élection présidentielle irlandaise face à la seule autre candidate en lice, la centriste Heather Humphreys. Même si les résultats définitifs n’étaient pas encore connus samedi en fin d’après-midi, les résultats provisoires publiés par la BBC indiquaient une large victoire, avec 64 % des voix."
(…)
https://www.mediapart.fr/journal/international/251025/en-irlande-la-candidate-de-gauche-elue-presidente-incarne-les-aspirations-de-la-societe
ORBI ET (H)ORBAN...!
"Dans les rues de Budapest, des dizaines de milliers de Hongrois se sont rassemblés pour participer à deux manifestations concurrentes, jeudi 23 octobre, jour anniversaire de la révolution de 1956. L'une a été organisée par le gouvernement de Viktor Orban, l'autre par son rival aux prochaines élections législatives, Péter Magyar.
Tandis que Viktor Orban fustigeait l'Union européenne qu'il accuse "d'entrer en guerre" avec la Russie, son opposant a choisi de rendre hommage aux victimes de la Révolution et a exhorté les Hongrois à choisir eux-mêmes leur avenir. À six mois des législatives, tous les sondages indiquent que le choix de la majorité se porterait sur Péter Magyar. "
(…)
https://www.rtl.fr/actu/international/manifestations-baisse-dans-les-sondages-la-chute-de-viktor-orban-en-hongrie-est-elle-proche-7900558148
MONMACHIN FAIT LES COMPTES...
"Au sein de la gauche, plusieurs amendements avaient été déposés en ce sens. Celui des Écologistes dénonçait notamment la « double peine » du parent gardien : « la pension alimentaire étant à la fois prise en compte dans l’assiette de calcul de l’impôt sur le revenu et dans les barèmes des prestations sociales ». Quand, à l’inverse, le parent non-gardien, à plus de 90 % le père, peut déduire fiscalement la pension alimentaire. Avec cet amendement, cela ne sera plus possible.
« Rappelons qu’un divorce est à l’origine d’une perte moyenne de niveau de vie de 19 % pour les femmes contre seulement 2,5 % pour les hommes », ont défendu les Écologistes. Selon eux, cette mesure permettrait de faire rentrer 450 millions d’euros par an dans les caisses de l’État puisque « le taux d’imposition des pères est souvent plus élevé en raison de revenus plus importants ».
La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, était plus circonspecte, rappelant ce samedi que les juges vont désormais tenir compte de cette mesure, puisque les « pères qui versaient 800 euros non fiscalisés vont désormais verser 800 euros fiscalisés ». Sous-entendu : la mesure risque d’entraîner une baisse des pensions alimentaires versées.
Lors des explications de vote, le député socialiste Philippe Brun a, lui, rappelé que le texte ne « fiscalise pas le père sans contrepartie » puisque le parent « verseur » peut bénéficier d’une demi-part fiscale pour chaque enfant. Le gouvernement entend notamment demander que l’amendement soit remanié pendant la navette parlementaire. Laquelle s’annonce corsée. L’année dernière, une mesure similaire avait été adoptée à l’Assemblée avant d’être retoquée au Sénat."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/budget-2026-a-l-assemblee-cette-defiscalisation-votee-par-les-deputes-va-surtout-beneficier-aux-meres-separees_256397.html
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