🔴 "Les députés du Parti socialiste applaudissent vivement Sébastien Lecornu pour se féliciter du sauvetage du gouvernement et d'Emmanuel Macron
Le Premier ministre illégitime et minoritaire vient d'annoncer la suspension de la réforme des retraites. Une arnaque totale. Le Parti socialiste valide le discours du Premier ministre et son budget austéritaire qui va racketter les malades chroniques, supprimer des postes de fonctionnaires et diviser par deux les contributions des grandes fortunes et des grandes entreprises.
Pour rappel, la réforme des retraites à 64 ans avait été imposée contre l'avis de 93 % des actifs du pays. Les députés du PS ont été élus sur le programme du NFP qui faisait de l'abrogation de ce vol de deux ans de vie une priorité. De facto, ils sont complices de la Macronie." (…)
😲" Le mois dernier, la France a failli interdire le chiffrement. Une loi obligeant les applications de messagerie à intégrer une porte dérobée pour permettre à la police d’accéder aux messages privés a été adoptée par le Sénat. Heureusement, elle a été rejetée par l’Assemblée nationale. Pourtant, il y a 3 jours, le préfet de police de Paris a de nouveau plaidé en sa faveur. 🤦♂️
Les membres de l’Assemblée nationale ont eu raison de rejeter une loi qui aurait fait de la France le premier pays au monde à priver ses citoyens de leur droit à la vie privée. Même des pays que beaucoup d’Européens considèrent comme peu libres n’ont jamais interdit le chiffrement. Pourquoi ?
Parce qu’il est techniquement impossible de garantir que seule la police puisse accéder à une porte dérobée. Une fois introduite, une porte dérobée peut être exploitée par d’autres parties — des agents étrangers aux hackers. En conséquence, les messages privés de tous les citoyens respectueux des lois peuvent être compromis.
Destinée à lutter contre le trafic de drogue, la loi n’aurait de toute façon pas aidé à combattre la criminalité. Même si les applications de chiffrement grand public avaient été affaiblies par une porte dérobée, les criminels pourraient toujours communiquer en toute sécurité via des dizaines d’applications plus petites — et devenir encore plus difficiles à tracer grâce aux VPN.
C’est pourquoi, comme je l’ai déjà dit, Telegram préfère quitter un marché plutôt que de compromettre le chiffrement avec des portes dérobées et de violer les droits humains fondamentaux. Contrairement à certains de nos concurrents, nous ne troquons pas la vie privée contre des parts de marché.
En 12 ans d’existence, Telegram n’a jamais divulgué un seul octet de messages privés. Conformément à la loi européenne sur les services numériques, si une ordonnance judiciaire valide est fournie, Telegram ne divulguerait que les adresses IP et numéros de téléphone des suspects criminels — pas les messages.
Le mois dernier, la liberté a prévalu. Mais cela a rappelé : nous devons continuer à expliquer aux législateurs que le chiffrement n’est pas conçu pour protéger les criminels — il protège la vie privée et la sécurité des gens ordinaires. Perdre cette protection serait tragique.
Le combat est loin d’être terminé. Ce mois-ci, la Commission européenne a proposé une initiative similaire pour ajouter des portes dérobées aux applications de messagerie. Aucun pays n’est à l’abri de l’érosion lente des libertés. Chaque jour, ces libertés sont attaquées — et chaque jour, nous devons les défendre." 🛡
En automne, les feuilles mortes se ramassent à la pelle... Et les déchets s'évacuent à la fosse !
Darmanin fustige les « aventures prématurées » pour 2027 (après avoir tenté de lancer la sienne)
"Deuxième raison donnée pour justifier son départ : « les aventures individuelles et prématurées à l’élection présidentielle (qui) ne pourront mener qu’à l’élimination collective, dès le premier tour. » Cette fois, l’ancien Garde des Sceaux vise autant Edouard Philippe, candidat déclaré, que Gabriel Attal, non déclaré mais dont les échappées ne laissent pas de place au doute, y compris chez Renaissance.
S’il les fustige aujourd’hui, Gérald Darmanin faisait partie il n’y a pas si longtemps de ceux qui affichaient leurs ambitions élyséennes. Il y a tout d’abord eu la création en 2024 de son parti Populaire. Puis en avril 2025, il s’est publiquement épanché sur une éventuelle candidature. « Est-ce que j’en ai envie ? Oui. Est-ce que j’ai le projet ? J’y travaille », assumait-il. Une presque déclaration uniquement suspendue au tableau de départ : « Ma responsabilité, c’est de me dire “j’espère être ce candidat, mais s’il y a mieux placé que moi pour gouverner le pays, je le soutiendrai” ».
Six mois plus tard, la promesse a changé. Gérald Darmanin a dit « fermer la porte des activités partisanes pour me concentrer sur l’intérêt général » et a mis en sommeil son parti. « Je n’adhère plus aujourd’hui à un parti politique, parce que je crois qu’on a failli, et je prends ma part de responsabilité, à montrer qu’ils avaient comme conscience l’intérêt général et pas des petits intérêts partisans », explique-t-il. Une façon de prendre de la hauteur… pour mieux rebondir d’ici quelques mois ? En politique, il ne faut jamais dire jamais."
"Même constat auprès de 20 Minutes pour Frédéric Volle, secrétaire général du Syndicat national unifié des directeurs, instituteurs et professeurs des écoles de l’enseignement public FO (Snudi-FO) qui ne voit là que « la continuité de la politique de suppressions de postes d’Emmanuel Macron, de la mise en œuvre du "toujours plus de management" dans l’école publique et de la militarisation de l’école en général [si le SNU a été abandonné, les « classes défense », partenariat entre le ministère des Armées et celui de l’Education nationale, se multiplient] ».
Cette nomination est un véritable « bras d’honneur aux personnels et enseignants » de l’Education nationale selon Frédéric Volle, confirmé par l’annonce par Sébastien Lecornu de la suppression de 3.000 postes de fonctionnaires en 2026 ce mardi matin : « Il y a peu de chances que l’Education nationale soit épargnée… ». « On devient fous ! Même battu à chaque élection, Emmanuel Macron continue vaille que vaille de mettre en place sa politique. Malgré la colère des enseignants qui voient leurs conditions se dégrader, des AESH qui ne sont toujours pas fonctionnaires et le plus souvent vivent sous le seuil de pauvreté, des parents qui voient les classes se fermer et les élèves en situation de handicap qui ne sont plus pris en charge… »
Des conditions qui pourraient pousser encore les parents à se mobiliser selon le syndicaliste qui confie n’avoir jamais vu les parents aussi impliqués et alertés sur les conditions de travail des enseignants et d’éducation pour leurs enfants." (…)
"Ce même phénomène s’observe par ailleurs au sein de la droite hors-LR. À l’image de la présidente Horizons de la région Pays-de-la-Loire Christelle Morançais. « Si j’étais députée, je voterais, évidemment, la censure du gouvernement, qui brade l’avenir des Français sur l’autel d’intérêts partisans. Suspendre la réforme des retraites est une folie : notre pays est au bord du gouffre financier, et nous continuons de creuser notre tombe ! Totalement irresponsable… », a-t-elle écrit sur X, souhaitant donc la chute d’un gouvernement auquel participent trois membres de son parti : Naïma Moutchou (Outre-mer), Anne Le Hénanff (Intelligence artificielle) et Charlotte Parmentier-Lecocq (autonomie des personnes handicapées).
Reste que la pression ne cesse de s’alourdir sur les épaules de Bruno Retailleau, condamné à une forme d’ambiguïté consistant à dézinguer le gouvernement, mais sans appeler clairement à la censure pour ne pas voir ses troupes à l’Assemblée nationale lui échapper au profit de Laurent Wauquiez, cet adversaire interne que la conquête du parti n’a pas suffi à terrasser. En parallèle, les partisans de l’union avec l’extrême droite essaient de tirer profit de ce qui s’apparente à un début de dislocation chez LR.
« Otages du Parti socialiste, les députés LR signent un pacte avec le diable. Je propose à Bruno Retailleau une rencontre pour poser les bases d’un renversement d’alliance à droite avec le RN », a opportunément réagi Éric Ciotti, prenant un malin plaisir à reprendre les mots du Vendéen pour montrer qu’il partageait son diagnostic. Officiellement, le président des Républicains n’a pas donné suite. Pour l’instant."
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🔴 "Les députés du Parti socialiste applaudissent vivement Sébastien Lecornu pour se féliciter du sauvetage du gouvernement et d'Emmanuel Macron
Le Premier ministre illégitime et minoritaire vient d'annoncer la suspension de la réforme des retraites. Une arnaque totale. Le Parti socialiste valide le discours du Premier ministre et son budget austéritaire qui va racketter les malades chroniques, supprimer des postes de fonctionnaires et diviser par deux les contributions des grandes fortunes et des grandes entreprises.
Pour rappel, la réforme des retraites à 64 ans avait été imposée contre l'avis de 93 % des actifs du pays. Les députés du PS ont été élus sur le programme du NFP qui faisait de l'abrogation de ce vol de deux ans de vie une priorité. De facto, ils sont complices de la Macronie."
(…)
https://x.com/L_insoumission/status/1978091458876899752
MESSAGE DE PAVEL DUROV, FONDATEUR DE TELEGRAM
😲" Le mois dernier, la France a failli interdire le chiffrement. Une loi obligeant les applications de messagerie à intégrer une porte dérobée pour permettre à la police d’accéder aux messages privés a été adoptée par le Sénat. Heureusement, elle a été rejetée par l’Assemblée nationale. Pourtant, il y a 3 jours, le préfet de police de Paris a de nouveau plaidé en sa faveur. 🤦♂️
Les membres de l’Assemblée nationale ont eu raison de rejeter une loi qui aurait fait de la France le premier pays au monde à priver ses citoyens de leur droit à la vie privée. Même des pays que beaucoup d’Européens considèrent comme peu libres n’ont jamais interdit le chiffrement. Pourquoi ?
Parce qu’il est techniquement impossible de garantir que seule la police puisse accéder à une porte dérobée. Une fois introduite, une porte dérobée peut être exploitée par d’autres parties — des agents étrangers aux hackers. En conséquence, les messages privés de tous les citoyens respectueux des lois peuvent être compromis.
Destinée à lutter contre le trafic de drogue, la loi n’aurait de toute façon pas aidé à combattre la criminalité. Même si les applications de chiffrement grand public avaient été affaiblies par une porte dérobée, les criminels pourraient toujours communiquer en toute sécurité via des dizaines d’applications plus petites — et devenir encore plus difficiles à tracer grâce aux VPN.
C’est pourquoi, comme je l’ai déjà dit, Telegram préfère quitter un marché plutôt que de compromettre le chiffrement avec des portes dérobées et de violer les droits humains fondamentaux. Contrairement à certains de nos concurrents, nous ne troquons pas la vie privée contre des parts de marché.
En 12 ans d’existence, Telegram n’a jamais divulgué un seul octet de messages privés. Conformément à la loi européenne sur les services numériques, si une ordonnance judiciaire valide est fournie, Telegram ne divulguerait que les adresses IP et numéros de téléphone des suspects criminels — pas les messages.
Le mois dernier, la liberté a prévalu. Mais cela a rappelé : nous devons continuer à expliquer aux législateurs que le chiffrement n’est pas conçu pour protéger les criminels — il protège la vie privée et la sécurité des gens ordinaires. Perdre cette protection serait tragique.
Le combat est loin d’être terminé. Ce mois-ci, la Commission européenne a proposé une initiative similaire pour ajouter des portes dérobées aux applications de messagerie. Aucun pays n’est à l’abri de l’érosion lente des libertés. Chaque jour, ces libertés sont attaquées — et chaque jour, nous devons les défendre." 🛡
En automne, les feuilles mortes se ramassent à la pelle...
Et les déchets s'évacuent à la fosse !
Darmanin fustige les « aventures prématurées » pour 2027 (après avoir tenté de lancer la sienne)
"Deuxième raison donnée pour justifier son départ : « les aventures individuelles et prématurées à l’élection présidentielle (qui) ne pourront mener qu’à l’élimination collective, dès le premier tour. » Cette fois, l’ancien Garde des Sceaux vise autant Edouard Philippe, candidat déclaré, que Gabriel Attal, non déclaré mais dont les échappées ne laissent pas de place au doute, y compris chez Renaissance.
S’il les fustige aujourd’hui, Gérald Darmanin faisait partie il n’y a pas si longtemps de ceux qui affichaient leurs ambitions élyséennes. Il y a tout d’abord eu la création en 2024 de son parti Populaire. Puis en avril 2025, il s’est publiquement épanché sur une éventuelle candidature. « Est-ce que j’en ai envie ? Oui. Est-ce que j’ai le projet ? J’y travaille », assumait-il. Une presque déclaration uniquement suspendue au tableau de départ : « Ma responsabilité, c’est de me dire “j’espère être ce candidat, mais s’il y a mieux placé que moi pour gouverner le pays, je le soutiendrai” ».
Six mois plus tard, la promesse a changé. Gérald Darmanin a dit « fermer la porte des activités partisanes pour me concentrer sur l’intérêt général » et a mis en sommeil son parti. « Je n’adhère plus aujourd’hui à un parti politique, parce que je crois qu’on a failli, et je prends ma part de responsabilité, à montrer qu’ils avaient comme conscience l’intérêt général et pas des petits intérêts partisans », explique-t-il. Une façon de prendre de la hauteur… pour mieux rebondir d’ici quelques mois ? En politique, il ne faut jamais dire jamais."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/gerald-darmanin-quitte-renaissance-et-charge-gabriel-attal_256026.html
« On devient fous ! »
"Même constat auprès de 20 Minutes pour Frédéric Volle, secrétaire général du Syndicat national unifié des directeurs, instituteurs et professeurs des écoles de l’enseignement public FO (Snudi-FO) qui ne voit là que « la continuité de la politique de suppressions de postes d’Emmanuel Macron, de la mise en œuvre du "toujours plus de management" dans l’école publique et de la militarisation de l’école en général [si le SNU a été abandonné, les « classes défense », partenariat entre le ministère des Armées et celui de l’Education nationale, se multiplient] ».
Cette nomination est un véritable « bras d’honneur aux personnels et enseignants » de l’Education nationale selon Frédéric Volle, confirmé par l’annonce par Sébastien Lecornu de la suppression de 3.000 postes de fonctionnaires en 2026 ce mardi matin : « Il y a peu de chances que l’Education nationale soit épargnée… ». « On devient fous ! Même battu à chaque élection, Emmanuel Macron continue vaille que vaille de mettre en place sa politique. Malgré la colère des enseignants qui voient leurs conditions se dégrader, des AESH qui ne sont toujours pas fonctionnaires et le plus souvent vivent sous le seuil de pauvreté, des parents qui voient les classes se fermer et les élèves en situation de handicap qui ne sont plus pris en charge… »
Des conditions qui pourraient pousser encore les parents à se mobiliser selon le syndicaliste qui confie n’avoir jamais vu les parents aussi impliqués et alertés sur les conditions de travail des enseignants et d’éducation pour leurs enfants."
(…)
https://www.20minutes.fr/politique/4179257-20251015-gouvernement-lecornu-ii-edouard-geffray-nouveau-ministre-education-bras-honneur-selon-syndicats
Retailleau sous pression
"Ce même phénomène s’observe par ailleurs au sein de la droite hors-LR. À l’image de la présidente Horizons de la région Pays-de-la-Loire Christelle Morançais. « Si j’étais députée, je voterais, évidemment, la censure du gouvernement, qui brade l’avenir des Français sur l’autel d’intérêts partisans. Suspendre la réforme des retraites est une folie : notre pays est au bord du gouffre financier, et nous continuons de creuser notre tombe ! Totalement irresponsable… », a-t-elle écrit sur X, souhaitant donc la chute d’un gouvernement auquel participent trois membres de son parti : Naïma Moutchou (Outre-mer), Anne Le Hénanff (Intelligence artificielle) et Charlotte Parmentier-Lecocq (autonomie des personnes handicapées).
Reste que la pression ne cesse de s’alourdir sur les épaules de Bruno Retailleau, condamné à une forme d’ambiguïté consistant à dézinguer le gouvernement, mais sans appeler clairement à la censure pour ne pas voir ses troupes à l’Assemblée nationale lui échapper au profit de Laurent Wauquiez, cet adversaire interne que la conquête du parti n’a pas suffi à terrasser. En parallèle, les partisans de l’union avec l’extrême droite essaient de tirer profit de ce qui s’apparente à un début de dislocation chez LR.
« Otages du Parti socialiste, les députés LR signent un pacte avec le diable. Je propose à Bruno Retailleau une rencontre pour poser les bases d’un renversement d’alliance à droite avec le RN », a opportunément réagi Éric Ciotti, prenant un malin plaisir à reprendre les mots du Vendéen pour montrer qu’il partageait son diagnostic. Officiellement, le président des Républicains n’a pas donné suite. Pour l’instant."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/apres-le-discours-de-sebastien-lecornu-les-republicains-ne-savent-vraiment-plus-ou-ils-habitent_256020.html
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