jeudi 11 septembre 2025

Le traitement du 10 septembre par Léa Salamé au « 20 heures » de France 2 fait grincer des dents chez France Télévisions

https://www.huffingtonpost.fr/medias/article/le-traitement-du-10-septembre-par-lea-salame-au-20-heures-de-france-2-fait-grincer-des-dents-chez-france-televisions_254688.html



8 commentaires:

Anonyme a dit…

Les con(ne)s, ça ose tout.
C'est même à ça qu'on les reconnaît !

Anonyme a dit…

TIENS LÉA, COMMENCE À TE DÉVERROUILLER LE CERVEAU...

Taxer les ultra-riches : la taxe Zucman expliquée par son créateur
Quotidien


https://youtu.be/2zv1u8GUy0s?si=db5FvD1WOdhZF0dz


En ce mois de septembre, la taxe Zucman est de retour sur la table des débats politiques. Le PS propose de l’inclure dans le budget 2026, sur lequel le gouvernement promet de faire des compromis, alors qu’il se trouve sur la sellette à l’approche d’un vote de confiance le 8 septembre. Depuis plusieurs mois, la taxe Zucman s’est imposée dans le débat public, l’idée étant même défendue par 7 sept prix Nobel d’économie. À la clé de cette taxe, entre 15 et 25 milliards de recettes supplémentaires, selon Gabriel Zucman, l’économiste qui lui a donné son nom.

Gabriel Zucman est professeur d’économie à l’ENS et à l’université de Californie à Berkeley. Il est également directeur de l’Observatoire européen de la fiscalité. Ses travaux portent sur l’accumulation, la répartition et la préservation des richesses, dans une perspective mondiale et historique. Il est l’auteur de La Richesse cachée des nations. Enquête sur les paradis fiscaux, traduit dans dix-sept langues.

Anonyme a dit…

Lecornu : UN CLONE À MATIGNON, LA COLÈRE DANS LA RUE
Pure Politique


https://youtu.be/9AWxp3tE584?si=Nea3rNN3e4NC1PCd


Sébastien Lecornu nommé à Matignon et les cortèges du 10 septembre qui ont déjoué les pronostics du gouvernement. C’est le sommaire de ce Pol’Express numéro 152.

Journaliste : Serge Faubert
Images : Antoine Etcheto, Serge Faubert, Clément Lanot
Édition : Maxime Hector

Anonyme a dit…

Pierre Jacquemain résume assez bien la situation qui prévaut au lendemain de la nomination de Lecornu :


Le RN au centre du jeu démocratique?
par Pierre Jacquemain

"Avec la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, Emmanuel Macron parachève le glissement de son pouvoir vers une droite toujours plus dure, autoritaire et complaisante avec l’extrême droite.

Ce n’est pas une rupture : c’est une continuité brutale. La Macronie a fait son choix. Et ce choix n’est pas la gauche, mais l’ordre. L’autorité. La complaisance avec l’extrême droite – voire l’agenda du Rassemblement national.

Car derrière les promesses d’une « nouvelle méthode », il y a un homme façonné par la droite conservatrice, qui a toujours préféré parler sécurité plutôt que solidarité. Sébastien Lecornu n’est pas une erreur de casting : il est la suite logique du macronisme. Un pouvoir qui, depuis 2017, a systématiquement fracturé le pacte républicain : loi Séparatisme, criminalisation des mouvements sociaux, répression des gilets jaunes, passage en force sur les retraites. Le « en même temps » n’aura été qu’un vernis. Aujourd’hui, il ne reste qu’un bloc réactionnaire, prêt à gouverner avec la (ou à la place du) RN. C’est peut-être cela qu’il faut entendre lorsque le nouveau premier ministre parle de nécessité de « rupture ».

C’est là que le basculement s’opère. Sébastien Lecornu devient ainsi le symbole d’une nouvelle normalité politique où les digues sautent, une à une, entre la droite dite « républicaine » et l’extrême droite. Dans les régions, dans les communes, sur les plateaux télé, la convergence se fait à ciel ouvert. Emmanuel Macron l’accélère, espérant capter l’électorat lepéniste sans alliance formelle. Mais à force de banaliser l’extrême droite, on l’installe. À force d’épouser ses obsessions sécuritaires, identitaires, autoritaires, on en devient l’auxiliaire. Sébastien Lecornu n’est pas un rempart. Il est un pont.

Et c’est bien là l’enjeu de ce dossier : réfléchir à ce qu’est le RN aujourd’hui. Car son danger ne réside pas seulement dans ses scores électoraux. Il est dans sa capacité à contaminer l’ensemble du champ politique, à imposer ses thèmes, à se présenter comme un parti de gouvernement. Mais aussi dans son rapport aux mouvements sociaux. Le RN se nourrit des colères populaires, mais il les détourne. Il parle « peuple » mais méprise ses mobilisations. On l’a vu pendant les gilets jaunes : il a surfé sur la vague sans jamais l’assumer. On le voit avec les syndicats : il les accuse d’être des « minorités agissantes », tout en cherchant à incarner la colère sociale. C’est évident avec les blocages climatiques et syndicaux, dont il a la même peur viscérale que la Macronie. Le RN n’organise pas la révolte, il la canalise vers l’urne pour mieux la neutraliser. Son projet n’est pas l’émancipation collective, mais la mise au pas autoritaire de toute contestation. Sa vision de la démocratie est électorale, pas sociale. Et son rapport aux luttes, c’est de les instrumentaliser, jamais de les soutenir.

Et quand Jordan Bardella se présente en alternative, son programme dit tout : cent milliards d’euros d’économies sur le dos des plus fragiles, des pauvres, des étrangers. Bayrou fois deux, mais avec le glaive de l’austérité et le masque de l’autorité. Le tout en sacrifiant les politiques écologiques, comme si l’urgence climatique était une lubie de privilégiés. Derrière le vernis social, c’est une politique de classe, brutale, xénophobe et productiviste qui se dessine.

La véritable rupture, celle qui refuse ce scénario morbide, ne viendra ni de Matignon ni de l’Élysée. Elle viendra d’ailleurs, d’un projet anticapitaliste, écologiste, féministe, antifasciste. Bref, d’une gauche qui nomme le danger, qui combat le RN sans détour, et qui ose construire une alternative aux deux faces d’un même pouvoir : Macron et Le Pen."

Pierre Jacquemain

Anonyme a dit…

Jeudi 11 septembre à 19 : 46...

"Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé sur le réseau social X (anciennement Twitter) :
« Suite aux incursions de drones russes en Pologne, j’ai décidé de mobiliser trois chasseurs Rafale pour contribuer à la protection de l’espace aérien polonais et du Flanc Est de l’Europe avec nos alliés de l’OTAN. Je m’y étais engagé hier auprès du Premier ministre polonais. Je me suis également entretenu à ce sujet avec le Secrétaire général de l'OTAN, et le Premier ministre britannique, également impliqué dans la protection du Flanc Est. La sécurité du continent européen est notre priorité absolue. Nous ne céderons pas face aux intimidations croissantes de la Russie. »
Dans la nuit du 9 au 10 septembre, plusieurs drones russes ont pénétré le territoire polonais. En réponse, le premier ministre polonais a demandé au conseil de sécurité de l’ONU de se réunir, ce qui aura lieu aujourd’hui même, vendredi 12 septembre 2025.
Pourtant, hier, jeudi 11 septembre 2025, avant même ladite réunion, Emmanuel Macron a annoncé avoir envoyé 3 avions de chasse rafales français en Pologne après un entretien avec le premier ministre polonais.
Tout ceci est une nouvelle preuve de la marche à la guerre qui s’opère partout en Europe et dans le monde, et qui est, en France, dans la continuité de la note envoyée aux agences régionales de santé par l’ex-ministre de la Santé Catherine Vautrin, leur demandant de se tenir prêtes accueillir un nombre important de soldats blessés dans le cadre d’un engagement militaire majeur d’ici mars 2026.
Notons également que macron a nommé Sébastien Lecornu (ministre des Armées depuis le 20 mai 2022, soit pendant plus de 3 ans) premier ministre à la suite de la chute du gouvernement Bayrou dans un contexte ou le peuple subit de plein fouet les politiques néo-libérales austéritaires menées depuis plus de 8 ans par le « Mozart de la finance »
Le message est plus que clair : Macron le désavoué intensifie ses politiques de guerre sociale et de marche à la guerre. La solution est simple, il faut le dégager."

Anonyme a dit…

"Je m'en tamponne les bourses avec une louche"
Karine Dubernet


https://youtube.com/shorts/LPJt9k0LUiI?si=zKmT8ACb9ma-D8CB


2 CRS par manifestant...
Qui dit mieux ?

Anonyme a dit…

« Pointer ainsi nommément un journaliste (...), c’est très sérieux », a dénoncé dans un communiqué le SNJ, premier syndicat de journalistes, dont Thomas Lemahieu est délégué syndical.

Devenu milliardaire grâce aux coffrets cadeaux Smartbox, Pierre-Édouard Stérin se définit comme catholique, conservateur et libéral, et est partisan de l’union des droites. Il a pour cela fondé un projet baptisé Périclès, du nom du stratège athénien mais aussi acronyme de « Patriotes Enracinés Résistants Identitaires Chrétiens Libéraux Européens Souverainistes ».

En 2024, il avait échoué à racheter le magazine Marianne. La rédaction s’y était opposée après un article du Monde affirmant que le milliardaire avait des accointances politiques avec le RN."


https://www.huffingtonpost.fr/medias/article/pierre-edouard-sterin-renomme-sa-holding-du-nom-d-un-journaliste-de-l-humanite-qui-denonce-un-ciblage_254760.html

Anonyme a dit…

https://youtu.be/NQ8gCexgodo?si=HCA3FsMD1iNJihX7