Après les CUM-CUM de Lombard, la valse des Milliards balancés par les fenêtres...!
211 MILLIARDS ! CE RAPPORT EXPLOSIF QUI RÉVÈLE COMMENT LA MACRONIE GAVE LES ENTREPRISES Le Média
https://youtu.be/Y6KgPPr7Hcs?si=XWUuQbCgAd5gz6ev
211 milliards d’euros par an, un des plus gros budget de l’État, impossible de revenir dessus… mais quel service public est-il si gigantesque ? Ces 211 milliards d’euros par an représentent les aides aux entreprises ! C’est le résultat de la commission d’enquête sur les aides publiques aux entreprises au Sénat. Les sénateurs se sont d’abord confrontés à une grosse opacité autour des aides aux entreprises : “la lobbyiste Agnès Verdier-Molinié a avancé au doigt mouillé l’estimation de 28 milliards d’euros, le ministre de l’Économie, Éric Lombard, lançait lui 150 milliards”, raconte l’Humanité. Au final, elles englobent les aides budgétaires, fiscales, et les exonérations de cotisations patronales. Le groupe CRCE-K au Sénat revendique que les aides soient transparentes et surtout que “l’argent public ne soit pas reversé aux actionnaires”, c’est à dire que les aides servent à l’investissement et aux emplois plutôt qu’à faire fructifier une entreprise déjà rentable, qui ensuite va délocaliser ; on connaît bien le schéma ici. Le groupe CRCE-K propose que les aides soient évaluées pour savoir comment elles sont utilisées. Le problème ce ne sont pas les aides mais à qui et à quoi elles servent, analysent Thomas Porcher et Lisa Lap. En effet, quand d’un côté l’État tente d’aller chercher quelques milliards sur les chômeurs, retraités, malades ou pauvres ; de l’autre, les grandes entreprises reçoivent de l’argent public sans contrepartie, et se permettent même d’augmenter leurs dividendes ou faire des plans de licenciement. “Ces entreprises n’ont pas besoin de l’argent public”, affirme l’économiste.
Après 1 an et demi où Javier Milei est au pouvoir en Argentine, le leader d’extrême droite ultra libéral a-t-il sauvé le pays comme il le prétendait ? Non, et ce sont les argentins qui en pâtissent. Le Président argentin, admiré par la droite et l’extrême droite française, a un bilan catastrophique.
Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher ! ⚠️ Le Média est diffusé sur le canal 165 de la Freebox et sur le bouquet gratuit de Molotov TV.
L'avocat Boulo dégomme la macronie et le PS, analyse froide de la situation actuelle Éthique et tac
https://youtu.be/HKGBKBOw27Q?si=w04LtMAFkDyygD5t
François Boulo, avocat et gilet jaune, est invité chez Parole D'Honneur. Il y donne un discours fort, il dresse le constat de l'échec du néo-libéralisme et du macronisme, en exposant l'endettement, le taux de chômage, la désindustrialisation. Mais comment redresser la barre sans sortir de l'Union Européenne ?
"L'inquiétude reste forte chez Eminence, à Sauve. Pendant deux heures ce mardi 15 juillet, des ouvrières de l'usine de textile se sont à nouveau mis en grève à l'appel de Force ouvrière. Le syndicat redoute - à minima - des suppressions d'emplois, après la décision de la direction de mettre ses salariés au chômage partiel, début mai. La situation est censée durer jusqu'au 2 août prochain, en raison d'une baisse d'activité. En attendant, les employées ne touchent plus que les deux tiers de leur salaire.
Au cours de leur mobilisation, elles ont reçu le soutien d'Aurélie Trouvé. La députée LFI de Seine-Saint-Denis, qui a grandi à Nîmes, a appelé le gouvernement à réagir pour remplir le carnet de commandes du site gardois. "L'exécutif dit qu'il faut réindustrialiser, mais dans le même temps, il permet à la gendarmerie de lancer un appel d'offres pour avoir des polos qui n'ont pas l'obligation d'être fabriqués en France, pointe l'élue. Résultat, le groupe Eminence - qui a décroché le contrat - va pouvoir les fabriquer en Asie." (…)
"Sa prise de conscience a été progressive et d’abord familiale. Sa mère enseigne le français dans un lycée de Nîmes. Son père, psychologue de formation, enchaîne les boulots d’intérim, n’ayant pas retrouvé de travail stable après le déménagement de la famille de la Picardie vers le Languedoc. L’association de réinsertion de délinquants, dont s’occupaient ses parents dans la Zup de Saint-Quentin (Aisne), lui permet d’acquérir « une certaine sensibilité aux questions sociales ». Sa carrière sportive lui offre également l’occasion de fréquenter d’autres cercles que ceux de son école d’ingénieur, où déjà elle préside l’association des élèves. « J’ai été sportive de haut niveau en course à pied demi-fond. Cela me procurait un peu d’argent de poche. J’ai arrêté à 22 ans en partie parce que j’étais écœurée par le système de professionnalisation. Mais je me suis régalée car c’est un sport qui permet de côtoyer d’autres classes sociales ». Pendant dix ans, elle participe aux championnats de France. « J’ai à chaque fois raté mes qualifications au championnat d’Europe », sourit-elle. Aurélie a choisi une nouvelle forme de marathon, où réunions, forums et conférences font figure d’épreuves plus ou moins faciles, et où l’on court contre la montre néo-libérale.
« Attac est la première association où je me suis engagée en tant que militante ». Peut-être aussi une manière de se poser après avoir sillonné la France pour suivre ses études. Car l’étudiante Trouvé est l’idéal de la mobilité et de la flexibilité géographiques. Née en 1979 à Saint-Quentin, Aurélie grandit à Nîmes, avant d’étudier à Montpellier, d’intégrer une école d’ingénieur à Toulouse puis de suivre un DEA à Dijon. Elle a tout récemment soutenu sa thèse sur « le rôle des régions européennes dans la redéfinition des politiques agricoles » pour laquelle elle a obtenu les félicitations du jury. Elle se prépare à enseigner à Grenoble tout en effectuant des allers-retours à Paris pour participer aux nombreuses réunions au siège d’Attac à Montreuil. Gare à l’hyperactivité ! La thésarde rend grâce à certains de ses professeurs qui lui ont permis d’approfondir sa prise de conscience politique. « En agronomie, nous abordons la question des OGM, nous nous intéressons à la souveraineté alimentaire et au problème de la politique agricole commune », explique-t-elle. « Aujourd’hui, j’essaie de relier mon travail à ce que je fais au sein d’Attac »." (…)
"Ce mardi 15 juillet, environ 90 personnes ont manifesté devant le sited’Eminence à Sauve, espérant une bonne nouvelle. Le matin même, représentants de syndicats et Aurélie Trouvé, députée LFI, ont dialogué avec lala direction pour défendre l’industrie du textile.
Une reprise à temps plein pour le 2 août
Le 2 mai dernier, la Dreets (direction régionale de l’économie, de l’emploi, dudu travail et des solidarités) a validé le travail à temps partiel pour trois mois de la soixantaine d’employés du site, faisant diminuer leur salaire d’un tiers. Depuis, lele personnel vivait dans le doute, attendant la date butoir du 2 août. Suite à une proposition de la direction, près de vingt employés ont d’ailleurs accepté dede quitter la confection pour un poste en logistique à Aimargues. Lors de la discussion avec la direction d’Eminence, la députée de Seine Saint-Denis, qui est aussi présidente de la commission des affaires économiques a appris la reprise de l’emploi à temps plein à partir du 2 août. Une situation qu’elle considère comme instable, faute de garanties sur la durée du retour del’emploi à temps plein. « Si on prend en compte les employés allant à Aimargues,on a déjà perdu 20 emplois à Sauve. La question c’est : est-ce que demain on accepte que nous ne soyons plus capables de produire aucun vêtement en France ? Parce que ce qui va se réaliser c’est qu’on ne sera plus capable de faire que de la logistique ».
Une loi pro Made In France
La députée pointe le gouvernement comme responsable. Cette dernière a d’ailleurs appris, via la direction, que l’entreprise a signé un contrat de 9 M€avec la gendarmerie pour produire leurs pulls et caleçons dans une usine au Bangladesh. Face à cette situation, la députée souhaite utiliser l’appareillégislatif pour promouvoir la production française. “Prochainement, nous allons proposer des lois pour que les aides et marchés publics soient conditionnés aumade in France. Je pense même qu’il y a une majorité à l’Assemblée nationale pour voter cela”, explique la députée. Les employés du site de Sauve reprendront à temps plein le 2 août mais sans garanties."
Mercredi 16 juillet 2025https://kiosque.midilibre.fr/reader/888ffd2b-e252-4e96-a03b-f265e93f4...
"J'ai découvert des villages classés Plus Beaux Villages de France, des villages perchés souvent, très bien entretenus avec une âme. On est presque dans un décor de cinéma. Ce sera une émission 100 % Gard et 100 % villages", commente Jérôme Pitorin, animateur d’Échappées Belles." (…)
8 commentaires:
Après les CUM-CUM de Lombard, la valse des Milliards balancés par les fenêtres...!
211 MILLIARDS ! CE RAPPORT EXPLOSIF QUI RÉVÈLE COMMENT LA MACRONIE GAVE LES ENTREPRISES
Le Média
https://youtu.be/Y6KgPPr7Hcs?si=XWUuQbCgAd5gz6ev
211 milliards d’euros par an, un des plus gros budget de l’État, impossible de revenir dessus… mais quel service public est-il si gigantesque ? Ces 211 milliards d’euros par an représentent les aides aux entreprises ! C’est le résultat de la commission d’enquête sur les aides publiques aux entreprises au Sénat. Les sénateurs se sont d’abord confrontés à une grosse opacité autour des aides aux entreprises : “la lobbyiste Agnès Verdier-Molinié a avancé au doigt mouillé l’estimation de 28 milliards d’euros, le ministre de l’Économie, Éric Lombard, lançait lui 150 milliards”, raconte l’Humanité. Au final, elles englobent les aides budgétaires, fiscales, et les exonérations de cotisations patronales. Le groupe CRCE-K au Sénat revendique que les aides soient transparentes et surtout que “l’argent public ne soit pas reversé aux actionnaires”, c’est à dire que les aides servent à l’investissement et aux emplois plutôt qu’à faire fructifier une entreprise déjà rentable, qui ensuite va délocaliser ; on connaît bien le schéma ici. Le groupe CRCE-K propose que les aides soient évaluées pour savoir comment elles sont utilisées.
Le problème ce ne sont pas les aides mais à qui et à quoi elles servent, analysent Thomas Porcher et Lisa Lap. En effet, quand d’un côté l’État tente d’aller chercher quelques milliards sur les chômeurs, retraités, malades ou pauvres ; de l’autre, les grandes entreprises reçoivent de l’argent public sans contrepartie, et se permettent même d’augmenter leurs dividendes ou faire des plans de licenciement. “Ces entreprises n’ont pas besoin de l’argent public”, affirme l’économiste.
Après 1 an et demi où Javier Milei est au pouvoir en Argentine, le leader d’extrême droite ultra libéral a-t-il sauvé le pays comme il le prétendait ? Non, et ce sont les argentins qui en pâtissent. Le Président argentin, admiré par la droite et l’extrême droite française, a un bilan catastrophique.
Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher !
⚠️ Le Média est diffusé sur le canal 165 de la Freebox et sur le bouquet gratuit de Molotov TV.
Impeccable le Boulo(t)...!
L'avocat Boulo dégomme la macronie et le PS, analyse froide de la situation actuelle
Éthique et tac
https://youtu.be/HKGBKBOw27Q?si=w04LtMAFkDyygD5t
François Boulo, avocat et gilet jaune, est invité chez Parole D'Honneur. Il y donne un discours fort, il dresse le constat de l'échec du néo-libéralisme et du macronisme, en exposant l'endettement, le taux de chômage, la désindustrialisation. Mais comment redresser la barre sans sortir de l'Union Européenne ?
"L'inquiétude reste forte chez Eminence, à Sauve. Pendant deux heures ce mardi 15 juillet, des ouvrières de l'usine de textile se sont à nouveau mis en grève à l'appel de Force ouvrière. Le syndicat redoute - à minima - des suppressions d'emplois, après la décision de la direction de mettre ses salariés au chômage partiel, début mai. La situation est censée durer jusqu'au 2 août prochain, en raison d'une baisse d'activité. En attendant, les employées ne touchent plus que les deux tiers de leur salaire.
Au cours de leur mobilisation, elles ont reçu le soutien d'Aurélie Trouvé. La députée LFI de Seine-Saint-Denis, qui a grandi à Nîmes, a appelé le gouvernement à réagir pour remplir le carnet de commandes du site gardois. "L'exécutif dit qu'il faut réindustrialiser, mais dans le même temps, il permet à la gendarmerie de lancer un appel d'offres pour avoir des polos qui n'ont pas l'obligation d'être fabriqués en France, pointe l'élue. Résultat, le groupe Eminence - qui a décroché le contrat - va pouvoir les fabriquer en Asie."
(…)
https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/nouvelle-greve-des-salariees-d-eminence-pour-defendre-leurs-emplois-a-sauve-6094081
Course contre la montre néo-libérale
"Sa prise de conscience a été progressive et d’abord familiale. Sa mère enseigne le français dans un lycée de Nîmes. Son père, psychologue de formation, enchaîne les boulots d’intérim, n’ayant pas retrouvé de travail stable après le déménagement de la famille de la Picardie vers le Languedoc. L’association de réinsertion de délinquants, dont s’occupaient ses parents dans la Zup de Saint-Quentin (Aisne), lui permet d’acquérir « une certaine sensibilité aux questions sociales ». Sa carrière sportive lui offre également l’occasion de fréquenter d’autres cercles que ceux de son école d’ingénieur, où déjà elle préside l’association des élèves. « J’ai été sportive de haut niveau en course à pied demi-fond. Cela me procurait un peu d’argent de poche. J’ai arrêté à 22 ans en partie parce que j’étais écœurée par le système de professionnalisation. Mais je me suis régalée car c’est un sport qui permet de côtoyer d’autres classes sociales ». Pendant dix ans, elle participe aux championnats de France. « J’ai à chaque fois raté mes qualifications au championnat d’Europe », sourit-elle. Aurélie a choisi une nouvelle forme de marathon, où réunions, forums et conférences font figure d’épreuves plus ou moins faciles, et où l’on court contre la montre néo-libérale.
« Attac est la première association où je me suis engagée en tant que militante ». Peut-être aussi une manière de se poser après avoir sillonné la France pour suivre ses études. Car l’étudiante Trouvé est l’idéal de la mobilité et de la flexibilité géographiques. Née en 1979 à Saint-Quentin, Aurélie grandit à Nîmes, avant d’étudier à Montpellier, d’intégrer une école d’ingénieur à Toulouse puis de suivre un DEA à Dijon. Elle a tout récemment soutenu sa thèse sur « le rôle des régions européennes dans la redéfinition des politiques agricoles » pour laquelle elle a obtenu les félicitations du jury. Elle se prépare à enseigner à Grenoble tout en effectuant des allers-retours à Paris pour participer aux nombreuses réunions au siège d’Attac à Montreuil. Gare à l’hyperactivité ! La thésarde rend grâce à certains de ses professeurs qui lui ont permis d’approfondir sa prise de conscience politique. « En agronomie, nous abordons la question des OGM, nous nous intéressons à la souveraineté alimentaire et au problème de la politique agricole commune », explique-t-elle. « Aujourd’hui, j’essaie de relier mon travail à ce que je fais au sein d’Attac »."
(…)
https://basta.media/aurelie-trouve-une-jeune-femme-d-attac
Alerte Rouge
@jo0304jo
"Le PS n’aura mis que quelques heures à trahir, un record."
(…)
https://x.com/jo0304jo/status/1945211041429725607
Salariés d'Eminence - 15 juillet 2025 à Sauve
Insoumis du Gard
https://www.youtube.com/watch?v=8u173mua6Tk&pp=0gcJCfwAo7VqN5tD
LOCALE
Eminence : fausse bonne nouvelle ?
"Ce mardi 15 juillet, environ 90 personnes ont manifesté devant le sited’Eminence à Sauve, espérant une bonne nouvelle. Le matin même,
représentants de syndicats et Aurélie Trouvé, députée LFI, ont dialogué avec lala direction pour défendre l’industrie du textile.
Une reprise à temps plein pour le 2 août
Le 2 mai dernier, la Dreets (direction régionale de l’économie, de l’emploi, dudu travail et des solidarités) a validé le travail à temps partiel pour trois mois de la soixantaine d’employés du site, faisant diminuer leur salaire d’un tiers. Depuis, lele personnel vivait dans le doute, attendant la date butoir du 2 août. Suite à une proposition de la direction, près de vingt employés ont d’ailleurs accepté dede quitter la confection pour un poste en logistique à Aimargues.
Lors de la discussion avec la direction d’Eminence, la députée de Seine Saint-Denis, qui est aussi présidente de la commission des affaires économiques a appris la reprise de l’emploi à temps plein à partir du 2 août. Une situation
qu’elle considère comme instable, faute de garanties sur la durée du retour del’emploi à temps plein. « Si on prend en compte les employés allant à Aimargues,on a déjà perdu 20 emplois à Sauve. La question c’est : est-ce que demain on accepte que nous ne soyons plus capables de produire aucun vêtement en France ? Parce que ce qui va se réaliser c’est qu’on ne sera plus capable de faire que de la logistique ».
Une loi pro Made In France
La députée pointe le gouvernement comme responsable. Cette dernière a
d’ailleurs appris, via la direction, que l’entreprise a signé un contrat de 9 M€avec la gendarmerie pour produire leurs pulls et caleçons dans une usine au Bangladesh. Face à cette situation, la députée souhaite utiliser l’appareillégislatif pour promouvoir la production française. “Prochainement, nous allons
proposer des lois pour que les aides et marchés publics soient conditionnés aumade in France. Je pense même qu’il y a une majorité à l’Assemblée nationale pour voter cela”, explique la députée.
Les employés du site de Sauve reprendront à temps plein le 2 août mais sans garanties."
Mercredi 16 juillet 2025https://kiosque.midilibre.fr/reader/888ffd2b-e252-4e96-a03b-f265e93f4...
"J'ai découvert des villages classés Plus Beaux Villages de France, des villages perchés souvent, très bien entretenus avec une âme. On est presque dans un décor de cinéma. Ce sera une émission 100 % Gard et 100 % villages", commente Jérôme Pitorin, animateur d’Échappées Belles."
(…)
https://www.lagazettedenimes.fr/economie/2025-07-16-tele-l-emission-echappees-belles-en-tournage-dans-les-villages-du-gard/
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