vendredi 17 novembre 2017

Les chasseur du Gard

Envoyé paR CHP

15 commentaires:

Anonyme a dit…

Page 5 (Alès) du Midi Libre d'hier...

Anonyme a dit…

Ça nous coûte cher leurs importations de bestiaux de l'Est pour dynamiser la génétique des locaux. Faudrait pas que la collectivité assume leurs erreurs du passé. À cette période de l'année, vous croisez des portées de "rayés" au cul de mères faisant à peine 30 kgs...

Anonyme a dit…

La chasse est une plaie,activité d'un autre âge, maintenue artificiellement par la prolifération organisée en interne des sangliers, en fait d'une race de sangliers issue de croisements et qui ont echappé a tout controles. Mais comme les chasseurs representent une force, un lobby encore puissant et bien structuré,les nuisances vont perdurer occasionnant les dégâts que l'on connaît. Ainsi va la FRANCE,les intérêts d'une minorité prime sur l'intérêt général.

Anonyme a dit…

Et bouquet final ils voudraient que nous payons à leur place, et puis quoi encore !

Anonyme a dit…

Désolé 08h05, je ne partage pas ton analyse. La chasse n'est pas d'un "autre temps", elle est même indispensable pour la survie des espèces animales. Je m'explique : c'est après avoir vu le film de Nicolas VANNIER sur le Grand Nord que mon positionnement a changé. Le film te démontres parfaitement qu'en l'absence de pression cynégétique, la faune sauvage entame un déclin inexorable. Les populations n'étant plus soumises à une "traque" sélective ne se dynamisent plus et dépérissent de façon inéluctable. Il a parfaitement démontré, dans une zone polaire et soumise à des températures glaciales que les animaux vivants dans ces zones, disparaissaient au fur et à mesure que disparaissaient les derniers trappeurs. L'appauvrissement génétique entraînait la disparition de celles-ci!
Je t'invite à aller voir «Le dernier trappeur» de N. Vannier, un film qui recadre bien notre analyse environnementale...
Mais concernant le sanglier, la faute de leur prolifération est entièrement imputable aux chasseurs et aux fédérations qui ont couvert les introductions sans se soucier des conséquences...
Elles se plaignent aujourd'hui des dégâts engendrés et se tourneraient vers l'État pour indemniser leur incurie. Fichtre, en voilà des assistés qui augmentent le prix des permis, qui cherchent des recrues parmi les jeunes, les équipes en place étant peuplées de chasseurs retraités que l'on place aux postes les moins stratégiques et certains pouvant faire des mots croisés ou des sudoku n'ayant pas la possibilité de voir passer de "brosse à dents" sur pattes ou le loupant au passage par défaut d'éveil ou de réactivité, les bêtes étant plus agiles!
Il faut une sacrée mobilité pour traquer ces bestiaux qui, lorsqu'ils sont pistés savent se déplacer avec aisance. Les déplacements des chasseurs, eux, sont sévèrement réglementés et parfois lourdement punis. De ce côté là, la justice sait se montrer exemplaire, des procédures qui me sont arrivées aux oreilles m'ont fait sursauter, en particulier dans la zone centrale du Parc des Cévennes. Que du légitime dans ce cas de figure, mais qui m'ont parues sévères.
Bref, dans le Gard, cela semble plus coulant. Et les chasseurs savent y faire en invitant le préfet. Une façon de légitimer leur action après leurs turpitudes passées. Tiens, pendant que j'écris ce texte depuis la Lozère, une voiture de chasseur vient de passer avec un animal de 25-30 kgs sur le capot. Un jeune au volant d'une voiture immatriculée du Vaucluse...
Je regarde, je me marre et je me dis que je ne suis décidemment pas prêt à entrer dans la confrérie!

Anonyme a dit…

a 8:05 --> tu parles de faune sauvage, hors ce n'est pas le cas chez nous (en tout cas dans le Gard). Les petits ou gros gibiers n'ont rien de sauvage depuis longtemps. Et pour la voiture, tout le monde peu mettre le n° de département qu'il veut. Sinon, je suis d'accord avec toi sur toute la ligne.

Anonyme a dit…

Curieux raisonnement que de dire qu'en l'absence de chasseurs les espèces disparaîtraient inexorablement. Dans nos contrées les pratiques agricoles et leur impact sur l'environnement ont eu des conséquences indéniables sur la sauvegarde des espèces. Et cela est valable aussi bien sûr pour les espèces non chassées.

Anonyme a dit…

Deux chasseurs de sangliers se sont flingués dernierement suite à un conflit de territoire. D'ou la crainte de voir ces individus se balader avec des fusils de guerre entre leurs mains.

Anonyme a dit…

dans notre Hameau de LAVOL les chasseurs ont tuer volontairement un mouton qui était devenu la mascotte du Hameau , on lui donner à manger , on le filmé !
ils l'ont tuer pour le manger mais il était vieux ..., après l'avoir dépecé ils l'ont jeter !
honte à ces chasseurs qui ne sont que des viandards , remplir leurs congélateurs est leur objectif.
tristesse

Anonyme a dit…

BRAVO, 08.050ert 08.09!!

Anonyme a dit…

A 11.53! Très difficile à analuser votre façon de penser!! soit on est pour les morfales de viandes de sangliers, soit on est pour le rapport financier que rapporte cette chasse !!!!!!!!!!!De toute façon, il ne fait aucun doute que ces "viandars" de sangliers sont devenus, de par leur fanatique soif de tueurs, de véritables débiles quitte à en avenie à se tuer eux mêmes, accident ou pas !!!!

Anonyme a dit…

Désolé 23h59, moi pas trop saisir ce que toi vouloir dire...
Rien ne sert de mettre de la glue sur la touche exclamative de ton clavier, ça n'éclaire pas mieux tes propos!

Anonyme a dit…

Il faut un minimum de connaissances sur les relations entre les espèces et le milieu dans lequel elles vivent (c'est la définition initiale de l'écologie) et savoir prendre un peu de recul avec nos réactions sentimentales (mais c'est humain) pour comprendre l'expension actuelle des populations de sangliers dans nos départements.
Un milieu naturel très favorable au sangliers :
Déprise agricole, multiplication des zones de broussailles, exploitation forestière par des coupes "à blanc" qui crééent des secteurs de plusieurs dizaines d'hectares impénétrables (sauf pour les sangliers) pour plus de 10 ans, disparition du pastoralisme (chèvres et moutons) qui entretenait la forêt, ....
Tout ceci favorise la prolifération du sanglier qui devient le maître des lieux
Une pression de chasse en perpetuelle diminution:
Moins de chasseurs, des chasseurs plus âgés, un coût de l'activité chasse qui décourage les jeunes (permis, assurances, frais de vétérinaire, ...)
Le résultat : Une population de sangliers en forte hausse + une population de chasseurs en forte baisse = absence de maîtrise des populations de sangliers = problèmes (dégâts, accidents de la circulation, ...)
On peut être contre la chasse et ne pas aimer le fait de tuer des animaux, c'est une réaction humaine et compréhensible mais de là à dire que les chasseurs sont responsables de l'augmentation d'une population de gibier.... c'est très peu objectif comme analyse.
Oui la prolifération des sangliers va se poursuivre, oui les dégâts vont continuer à augmenter à l'avenir.
Laisser les chasseurs assumer seuls le coût des dégats va conduire à une augmentation du coût des permis et à ....une diminution du nombre de chasseurs et donc....à accélerer la proliféfération des sangliers par moindre pression de chasse (chercher l'erreur).
Il est grand temps pour nos élus et administrations de faire une analyse objective et "froide" de la situation sans quoi nous allons vers de très sérieux problèmes.

PS: la nature étant bien faite tout cela risque de se terminer par un état sanitaire dégradé des populations de sangliers (c'est déjà constaté aujourd'hui) et le retour de maladies telle que la gale voir la peste porcine qui serait une véritable catastrophe pour l'élevage et pour la santé publique.

Signé : Un des premier technicien français en gestion de la faune sauvage aujourd'hui à la retraite

Anonyme a dit…

Bravo! 23.59 !!!!!!!!!!!!!

Anonyme a dit…

Voilà 23h18 qui se félicite de son post posé trois jours avant...
Dans quel état tu te terres?