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3 commentaires:
TOLOSAN ET TAIS TOI !
Un nouveau nom avec "un côté latin"
"Il justifie son choix de modifier le nom de la ville par une "orientation historique vers l’Espagne et l’Afrique" et donc ramener vers un nom qui "a vraiment un côté latin". Si ce changement a évidemment un coût financier, il n’avance aucun chiffre, mais assure à nos confrères que "les panneaux sont prêts, puisqu’à chaque entrée de Toulouse, il y a déjà les deux noms".
Pierre Pezzin, retraité et ancien dirigeant de la banque Barclays, se dit "ni de gauche ni de droite" et espère pouvoir constituer sa liste. Il voudrait alors pouvoir incarner "la rupture avec le passé d’un homme : M. Moudenc est has been et a fait son temps. Je ne suis pas là pour lui succéder, mais pour le remplacer"."
https://www.midilibre.fr/2025/11/17/municipales-2026-sil-est-elu-ce-candidat-promet-de-changer-le-nom-de-cette-ville-doccitanie-pour-la-ramener-a-son-appellation-dorigine-13057472.php
MELONI ENTRE (ENFIN) DANS LA BOUCLE...!
Depuis l’arrivée au pouvoir de la Première ministre d’extrême droite en 2022, le gouvernement italien a multiplié les interventions dans le secteur financier. Et décidé d’une taxe supplémentaire sur les banques et compagnies d’assurance pour boucler son projet de budget 2026.
"Le motif affiché est purement patriotique : «Défendre l’épargne des Italiens.» Dans la pratique, l’activisme du gouvernement de Giorgia Meloni dans le secteur bancaire commence à inquiéter dans les milieux d’affaires. Sans même parler de sa dernière trouvaille : taxer l’an prochain à hauteur de 3,9 milliards d’euros les banques et compagnies d’assurance italiennes qui ont réalisé en 2024 de très juteux profits.
Premier temps : en novembre 2024, UniCredit, la deuxième banque du pays, tente de s’emparer de la Banca Popolare di Milano (BPM), la numéro 3. Le gouvernement italien va s’opposer à l’offensive. C’est qu’il a d’autres projets pour BPM, fortement implantée dans le très dynamique nord de la péninsule, et se méfie d’UniCredit qui, très internationalisée, échappe à l’influence du pouvoir romain. Dès l’annonce de l’opération, le vice-Premier ministre, Matteo Salvini (Ligue), monte au créneau : «UniCredit n’a plus grand-chose d’italien, c’est une banque étrangère.» Le ministre de l’Economie, Giancarlo Giorgetti, lui, dégoupille la menace du «golden power» pour contrer UniCredit. En clair, l’utilisation de pouvoirs d’exception qui permettent à l’Etat italien de bloquer l’acquisition de sociétés nationales par des investisseurs étrangers, lorsque des intérêts stratégiques sont en jeu."
(…)
https://www.liberation.fr/economie/trois-ans-apres-lelection-de-giorgia-meloni-une-partie-des-banques-italiennes-mises-sous-controle-20251116_G2VQPZHOPRBARNBHWEHYLKF76I/
"Le militaire russe Vasily Dandykin estime que les Rafale F4 livrés par la France ne changeront pas l’issue du conflit ukrainien et relèvent de la communication"....!
"Le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a averti, dans un entretien au Frankfurter Allgemeine Zeitung, qu’un affrontement direct entre l’OTAN et la Russie pourrait devenir un scénario crédible dans les prochaines années. Il a indiqué que les discussions antérieures évoquaient 2029 comme possible point de bascule, mais que certains analystes estiment désormais que le risque pourrait survenir dès 2028, tandis que plusieurs historiens militaires avancent que l’Europe aurait peut-être déjà vécu son dernier été paisible.
Dans ce contexte, Pistorius a souligné que les pays membres de l’OTAN doivent hausser le niveau de leurs équipements militaires s’ils entendent se préparer à une éventuelle confrontation avec la Russie.
L’analyste militaire Vassili Dandykin a auparavant estimé qu’un blocus total de la région de Kaliningrad par des États européens constituerait un déclencheur direct d’hostilités de la part de Moscou. Il a relevé que de telles idées ont été à plusieurs reprises évoquées en Pologne.
De son côté, la Russie affirme de manière constante ne représenter aucune menace pour un pays de l’OTAN, tout en prévenant qu’elle ne passera pas sous silence des actions créant des risques potentiels pour ses intérêts nationaux. Les responsables russes soutiennent que Moscou reste disposée au dialogue, à condition qu’il se tienne sur un pied d’égalité."
(…)
https://voennoedelo.com/fr/posts/id4908-otan-russie-berlin-alerte-sur-un-risque-possible-d-s-2028
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