dimanche 9 novembre 2025

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Mises à jour quotidiennes 9 novembre 2025
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Malgré les nombreuses pièces apportées au dossier, l'enquête sur les violences d'extrême droite à Alès n'a encore rien donné.
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Des victimes de l'attaque du bar associatif Le Prolé, à Alès, le 30 mai dernier, ont organisé une conférence de presse, ce vendredi 7 novembre, ...
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Connaissez-vous le berceau du vote des femmes en France ? Il se trouve à 680 kilomètres de Paris, dans le Gard, à Brouzet-lès-Alès. Une petite ...
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Dix-huit nouveaux internes intègrent le centre hospitalier d'Alès-Cévennes pour renforcer l'équipe médicale déjà en place. Ils ont été reçus en mairie ...
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Auteur/autrice : Prisca Borrel · Alès : six mois après l'attaque fasciste du bar Le Prolé, le « silence assourdissant » du parquet.
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3 commentaires:

Anonyme a dit…

"On travaille aussi sur la vigne"

"En Occitanie, nous avons surtout de la vigne…

Le retrait potentiel de pesticides concerne quasiment toutes les filières agricoles. Sur la vigne, on est en train de revoir l’utilisation de produits à base de cuivre. L’étude n’est pas finalisée.

Je préside le conseil scientifique de l’Institut français de la vigne et du vin qui travaille sur un des quatre gros projets actuels en matière de recherches alternatives aux traitements de la vigne.

Le rapport montre combien les alternatives sont complexes, il fait état de la bonne volonté des agriculteurs, qu’on dit souvent réticents.

Je suis allé sur le terrain dans le Lot auprès des producteurs de noisettes, à Lyon pour la cerise, à Avignon pour les pommes… les gens que j’ai rencontrés ne sont pas dans la résistance. Ils sont conscients que des produits utilisés autrefois ne doivent plus l’être.

Mais l’avantage des produits chimiques, c’est qu’ils sont très simples à utiliser et très efficaces. Pour les remplacer, on est obligé d’associer différentes méthodes, prophylaxie, biocontrôle, variétés résistantes, etc. C’est un travail difficile qui prend du temps, et de l’apprentissage, ce qu’on néglige souvent.

On est aujourd’hui dans un temps de construction de ces références, sachant, vous le rappelez, qu’il faut aussi que les produits soient disponibles, que la solution soit économiquement viable, que les rendements restent corrects pour demeurer compétitif… ?

C’est pour ça que c’est difficile. On veut garder une agriculture compétitive, on veut que les agriculteurs gagnent leur vie. Et remplacer des produits très simples d’utilisation et très efficaces n’est pas une évidence. Mais l’ensemble des filières que j’ai rencontrées sont bien engagées dans cette transition. On est au milieu du gué. Il faut maintenir l’effort.

"La capacité de changer les choses"
D’autant que le produit doit être beau…

Il y a une forme d’injustice, parce qu’on reproche beaucoup de choses aux agriculteurs, mais pour présenter un produit impeccable au client, sans traitement, est difficile. Ce n’est pas qu’on ait jamais essayé. Il y a eu une tentative avec la campagne de communication sur les fruits et légumes "moches". Elle a été abandonné, les gens ne les achètent pas.

On a les moyens de passer le cap ?

L’État a mis de l’argent pour soutenir les plans de recherche et développement. Le plan Parsada par exemple, cible la recherche d’alternatives aux produits phytosanitaires pour anticiper les retraits de molécules. C’est un plan très ambitieux, avec de gros moyens. Le plan a commencé en 2024, les projets durent 5 ans, et ils ont la capacité de changer les choses. À l’Inrae, 450 chercheurs et ingénieurs travaillent de près ou de loin sur ce sujet.

On entend souvent qu’il y a un recul de l’écologie…

Je n’ai pas ce sentiment. Il faut dépassionner le débat. Quand on discute avec les producteurs, ça se passe très bien.

Est-ce que toutes ces solutions alternatives sont étudiées à l’aune du changement climatique et peut-être de nouveaux parasites, de nouvelles conditions d’hygrométrie, de sécheresse, de chaleur… ?

Oui. Le changement climatique vient perturber les choses, de nouveaux parasites qui arrivent. Pour les producteurs c’est un souci supplémentaire. C’est ce qu’on appelle des invasions biologiques. Pour que ça parle aux gens, on peut faire le parallèle avec l’arrivée du moustique-tigre qui se répand à toute vitesse. On a l’équivalent en agriculture, la punaise diabolique pour la noisette, la mouche de la cerise…

On dit le lobby de la chimie très actif, vous n’avez pas de pressions des industriels ?

Non, on n’a la pression de personne. Et c’est tant mieux."


https://www.midilibre.fr/2025/11/04/neonicotinoides-les-alternatives-existent-elles-sont-nombreuses-les-agriculteurs-ne-nous-ont-pas-attendus-pour-les-mettre-en-place-13030843.php

Anonyme a dit…

HAVRE DE PAIX OU DE DÉSOLATION?

Alexandra Lamy : sa région détériorée par les touristes

"Un endroit où elle se sent bien et où elle a pu passer du temps pendant le confinement, entourée de sa sœur, son beau-frère et leurs enfants. "Trois jours avant le confinement, on s'est dit qu'on allait descendre dans le Sud. C'est comme si on était gamines et qu'on se retrouvait ensemble à la maison, c'est super !", avait-elle indiqué à Europe 1 avant d'ajouter : "Je passe plus de temps à faire à manger comme on est quatre, alors qu'avant, je déjeunais sur le pouce. Je me remets énormément à la cuisine, chose que je ne faisais pas depuis longtemps".

Malheureusement, depuis quelque temps, la comédienne de 54 ans voit sa belle région être détériorée par les touristes qui semblent se foutre de l'environnement et de la nature. "Mais ça, c'est au début de l'été. Quand on arrive à la fin du mois d'août, on retrouve n'importe quoi. Certains comportements me rendent folle", s'est-elle indignée auprès de Féminin psycho. "Il faut continuer à éduquer et sensibiliser nos enfants", lance-t-elle, prête à faire bouger les choses."


https://www.grazia.fr/people/alexandra-lamy--maison-de-verdure-dans-les-cevennes-est-devenue-son-havre-de-paix-1101089.html

Anonyme a dit…

De Valleraugue dans la vallée de l'Hérault jusqu'au sommet de l'Aigoual, le sentier des 4000 marches en plein cœur du Parc national des Cévennes, est une rando réservée aux randonneurs entraînés

"Atteindre le sommet de l'Aigoual en profitant de panoramas exceptionnels, c'est la promesse des 4000 marches : Une rando réservée aux sportifs car le dénivelé est important précise Maryline Bertrand, directrice de l'Office de tourisme Aigoual-Causses-Cévennes.

1320 m et un parcours caillouteux et escarpé de 24 km AR, au départ du parvis de l'église de Valleraugue. Le sentier balisé en jaune vous fera traverser quatre étages de végétation de l'Aigoual. Parvenu à l'Observatoire météo à 1567m, la vue à 360° est spectaculaire entre Mont Lozère, Auvergne et Méditerranée."


https://www.francebleu.fr/emissions/l-escapade/les-4000-marches-de-l-aigoual-une-montee-emblematique-du-mont-aigoual-par-sa-facade-sud-6445193