VIOLENCES ET DÉLINQUANCE : À L'ASSEMBLÉE, LES POLITIQUES EXIGENT LEUR IMPUNITÉ BLAST, Le souffle de l'info
https://www.youtube.com/watch?v=zbpVTvzaqhA
Dans ce nouvel épisode de Dissolution, on va voir comment la résistance parlementaire s’organise aux États-Unis. On verra aussi que notre droite extrémisée s’inspire des méthodes outre-atlantique et veut s’attaquer à l’institution judiciaire, augurant des jours inquiétants si elle parvient à ses fins. Enfin, on verra que, chez nous, une ministre aurait agressé verbalement une fonctionnaire de l’Assemblée nationale et lui renvoie la faute en se présentant en victime, montrant la conception cavalière du parlementarisme en macronie.
Auteur : Victor-Ulysse Sultra, doctorant en droit public Réalisation et montage : Camille Chastrusse Son : Baptiste Veilhan, Théo Duschesne Graphisme : Margaux Simon, Morgane Sabouret Production : Hicham Tragha Directeur du développement des collaborations extérieures : Mathias Enthoven Co-directrice de la rédaction : Soumaya Benaïssa Directeur de la publication : Denis Robert
"Libération a publié mercredi une enquête intitulée «les Bijoux cachés de Rachida Dati», relatant que la ministre de la Culture aurait fourni des déclarations de patrimoine erronées, en omettant d’y faire figurer 19 pièces de joaillerie détenues depuis 2017 pour un montant total de 420 000 euros.
La HATVP, créée en 2013 après le scandale Cahuzac, contrôle le patrimoine et les déclarations d’intérêts de près de 15 000 responsables publics, ministres, élus et hauts fonctionnaires. Elle peut saisir la justice si elle décèle une intention frauduleuse ou une omission substantielle.
Selon notre enquête, la dernière déclaration de Rachida Dati, publiée par la HATVP en juin 2024, fait état d’un patrimoine de «quelque 5,6 millions d’euros sous forme de biens immobiliers en France et au Maroc, comptes courants, assurances-vie ou produits d’épargne». Mais aucune mention de bijoux, alors que les responsables politiques sont tenus de les déclarer lorsque leur valeur individuelle dépasse les 10 000 euros."
2 commentaires:
ET DATI DANS LA PENDERIE !
VIOLENCES ET DÉLINQUANCE : À L'ASSEMBLÉE, LES POLITIQUES EXIGENT LEUR IMPUNITÉ
BLAST, Le souffle de l'info
https://www.youtube.com/watch?v=zbpVTvzaqhA
Dans ce nouvel épisode de Dissolution, on va voir comment la résistance parlementaire s’organise aux États-Unis. On verra aussi que notre droite extrémisée s’inspire des méthodes outre-atlantique et veut s’attaquer à l’institution judiciaire, augurant des jours inquiétants si elle parvient à ses fins. Enfin, on verra que, chez nous, une ministre aurait agressé verbalement une fonctionnaire de l’Assemblée nationale et lui renvoie la faute en se présentant en victime, montrant la conception cavalière du parlementarisme en macronie.
Auteur : Victor-Ulysse Sultra, doctorant en droit public
Réalisation et montage : Camille Chastrusse
Son : Baptiste Veilhan, Théo Duschesne
Graphisme : Margaux Simon, Morgane Sabouret
Production : Hicham Tragha
Directeur du développement des collaborations extérieures : Mathias Enthoven
Co-directrice de la rédaction : Soumaya Benaïssa
Directeur de la publication : Denis Robert
"Libération a publié mercredi une enquête intitulée «les Bijoux cachés de Rachida Dati», relatant que la ministre de la Culture aurait fourni des déclarations de patrimoine erronées, en omettant d’y faire figurer 19 pièces de joaillerie détenues depuis 2017 pour un montant total de 420 000 euros.
La HATVP, créée en 2013 après le scandale Cahuzac, contrôle le patrimoine et les déclarations d’intérêts de près de 15 000 responsables publics, ministres, élus et hauts fonctionnaires. Elle peut saisir la justice si elle décèle une intention frauduleuse ou une omission substantielle.
Selon notre enquête, la dernière déclaration de Rachida Dati, publiée par la HATVP en juin 2024, fait état d’un patrimoine de «quelque 5,6 millions d’euros sous forme de biens immobiliers en France et au Maroc, comptes courants, assurances-vie ou produits d’épargne». Mais aucune mention de bijoux, alors que les responsables politiques sont tenus de les déclarer lorsque leur valeur individuelle dépasse les 10 000 euros."
https://www.liberation.fr/societe/police-justice/les-bijoux-caches-de-rachida-dati-la-ministre-de-la-culture-doit-regulariser-si-cetait-vrai-dit-la-porte-parole-du-gouvernement-20250413_QTD4L7T4HNC45A7VCSQDH47FU4/
Enregistrer un commentaire