"Aucun détail dans le décret n’est donné sur la nature exacte des changements envisagés pour le zoo. Un journaliste de The Atlantic a repéré plusieurs panneaux qui pourrait être dans le viseur de l’administration. Dans l’enclos des dindes, un message évoque les pratiques de chasse respectueuses des populations autochtones, opposées à celles des colons européens, qui ont failli provoquer l’extinction de l’espèce. Mais en réalité, le zoo est loin d’être un bastion militant. Les discours sont mesurés et les livres en boutique restent neutres. Si les directives restent floues, le zoo devrait continuer d’attirer des milliers de visiteurs chaque année."
"Ce genre d’opération, c’est du jamais-vu en pleine saison creuse. D’habitude, fin mars, les usines tournent au ralenti après la frénésie des fêtes. Mais là, Apple a mis le turbo. Des usines en Inde, en Chine et ailleurs ont bossé à plein régime pour charger ces avions en un temps record : trois jours seulement. Objectif atteint : les entrepôts américains sont maintenant remplis pour plusieurs mois. Une réserve stratégique qui permet à Apple de voir venir sans paniquer face aux nouveaux tarifs.
Et les prix dans tout ça ? Bonne nouvelle pour les fans de la marque : Apple n’a pas l’intention – pour l’instant – de répercuter ces coûts sur ses clients. Que ce soit en Inde, aux États-Unis ou ailleurs, les tarifs devraient rester stables à court terme. Mais attention, cette stratégie a une limite. Si les tarifs continuent de grimper (on parle d’un nouveau palier à 26 % dès le 9 avril), Apple devra peut-être revoir ses plans. Une augmentation des prix, si elle arrive, ne pourra pas se limiter aux États-Unis : elle toucherait aussi les autres gros marchés, comme l’Inde.
Mais rien n’est gravé dans le marbre. Tout dépendra des négociations entre les États-Unis et leurs partenaires commerciaux. Si les frais de douane évoluent, Apple pourrait ajuster sa stratégie en conséquence. En attendant, l’entreprise joue la carte de la prudence : stocker un max, produire là où ça coûte moins cher, et croiser les doigts pour que la demande ne flanche pas."
LES VACHES SUR PLACE MAIS MAIN D'OEUVRE QUALIFIÉE ABSENTE...
"En octobre 2019, Donald Trump et le PDG de Louis Vuitton (LVMH), Bernard Arnault, inauguraient en grande pompe au Texas un nouveau site de production de la marque de luxe française, baptisé Rochambeau, en hommage au général français ayant combattu lors de la guerre d’Indépendance.
Alors que le président américain menaçait déjà, pendant son premier mandat, de renforcer les droits de douane sur les produits fabriqués en Europe, l’objectif était donc de produire localement des sacs à main griffés afin de contourner ces potentiels tarifs douaniers. "Nous célébrons avec fierté l’ouverture de la marque Louis Vuitton, un nom que je connais bien et qui m’a coûté beaucoup d’argent depuis des années", avait déclaré Donald Trump un tout sourire, saluant un investissement "de 50 millions" de dollars.
Six ans plus tard, les mines heureuses ont disparu. Depuis cette inauguration très médiatisée, l’usine de Rochambeau a été confrontée à une série de problèmes limitant la production, selon les témoignages anonymes d’anciens employés rapportés par l’agence Reuters. Classé parmi les moins performants de la marque au niveau mondial, le site aurait enchaîné des résultats "nettement inférieurs" à ceux des autres usines, d’après des documents partagés en interne." (…)
4 commentaires:
Burgers et soda pour tous !
Le Thanksgiving est en avance cette année...
Que reproche Trump au zoo ?
"Aucun détail dans le décret n’est donné sur la nature exacte des changements envisagés pour le zoo. Un journaliste de The Atlantic a repéré plusieurs panneaux qui pourrait être dans le viseur de l’administration. Dans l’enclos des dindes, un message évoque les pratiques de chasse respectueuses des populations autochtones, opposées à celles des colons européens, qui ont failli provoquer l’extinction de l’espèce. Mais en réalité, le zoo est loin d’être un bastion militant. Les discours sont mesurés et les livres en boutique restent neutres. Si les directives restent floues, le zoo devrait continuer d’attirer des milliers de visiteurs chaque année."
https://www.ladepeche.fr/2025/04/08/les-zoos-dans-le-viseur-de-donald-trump-le-president-americain-veut-nettoyer-les-parcs-animaliers-juges-trop-wokes-12623937.php
Apple fourre les dindes d'iPhones !
Une course contre la montre bien rodée
"Ce genre d’opération, c’est du jamais-vu en pleine saison creuse. D’habitude, fin mars, les usines tournent au ralenti après la frénésie des fêtes. Mais là, Apple a mis le turbo. Des usines en Inde, en Chine et ailleurs ont bossé à plein régime pour charger ces avions en un temps record : trois jours seulement. Objectif atteint : les entrepôts américains sont maintenant remplis pour plusieurs mois. Une réserve stratégique qui permet à Apple de voir venir sans paniquer face aux nouveaux tarifs.
Et les prix dans tout ça ? Bonne nouvelle pour les fans de la marque : Apple n’a pas l’intention – pour l’instant – de répercuter ces coûts sur ses clients. Que ce soit en Inde, aux États-Unis ou ailleurs, les tarifs devraient rester stables à court terme. Mais attention, cette stratégie a une limite. Si les tarifs continuent de grimper (on parle d’un nouveau palier à 26 % dès le 9 avril), Apple devra peut-être revoir ses plans. Une augmentation des prix, si elle arrive, ne pourra pas se limiter aux États-Unis : elle toucherait aussi les autres gros marchés, comme l’Inde.
Mais rien n’est gravé dans le marbre. Tout dépendra des négociations entre les États-Unis et leurs partenaires commerciaux. Si les frais de douane évoluent, Apple pourrait ajuster sa stratégie en conséquence. En attendant, l’entreprise joue la carte de la prudence : stocker un max, produire là où ça coûte moins cher, et croiser les doigts pour que la demande ne flanche pas."
https://www.frandroid.com/marques/apple/2574145_apple-deploie-les-grands-moyens-pour-esquiver-les-frais-de-douane-cinq-avions-cargos-remplis-diphone
LES VACHES SUR PLACE MAIS MAIN D'OEUVRE QUALIFIÉE ABSENTE...
"En octobre 2019, Donald Trump et le PDG de Louis Vuitton (LVMH), Bernard Arnault, inauguraient en grande pompe au Texas un nouveau site de production de la marque de luxe française, baptisé Rochambeau, en hommage au général français ayant combattu lors de la guerre d’Indépendance.
Alors que le président américain menaçait déjà, pendant son premier mandat, de renforcer les droits de douane sur les produits fabriqués en Europe, l’objectif était donc de produire localement des sacs à main griffés afin de contourner ces potentiels tarifs douaniers. "Nous célébrons avec fierté l’ouverture de la marque Louis Vuitton, un nom que je connais bien et qui m’a coûté beaucoup d’argent depuis des années", avait déclaré Donald Trump un tout sourire, saluant un investissement "de 50 millions" de dollars.
Six ans plus tard, les mines heureuses ont disparu. Depuis cette inauguration très médiatisée, l’usine de Rochambeau a été confrontée à une série de problèmes limitant la production, selon les témoignages anonymes d’anciens employés rapportés par l’agence Reuters. Classé parmi les moins performants de la marque au niveau mondial, le site aurait enchaîné des résultats "nettement inférieurs" à ceux des autres usines, d’après des documents partagés en interne."
(…)
https://www.lexpress.fr/economie/entreprises/etats-unis-quand-louis-vuitton-dechante-sur-le-made-in-america-UC6J4FYFHBCEFI24MHGNVITKCI/
Enregistrer un commentaire