Note REBOUSSIER :
homme est âgé «de 23 ans», de «type “nord-africain”
Évidemment pour l’extrême droite : c’est une véritable aubaine !
LAMENTABLE Comment peut-on voter pour eux ?
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
1 commentaire:
"Plus encore que les insupportables saillies xénophobes et les calomnies en tout genre, qui mettent parfois en danger la sécurité de personnes - je pense notamment à une prétendue enquête sur un fiché S radicalisé, sorti de prison et s'apprêtant, selon les Rouletabille de pacotille de Frontières, qui n’hésitent pas à donner son nom, à commettre un attentat -, c'est cet aspect de la posture de Tegnér qui m'irrite au plus haut point : se faire passer pour un miséreux héroïque luttant contre des puissants qui lui voudraient tous du mal.
Parce que des amis puissants, il en a, lui.
Le « comité stratégique » de Livre Noir devenu Frontières, compte des personnalités influentes comme l'ex-ambassadeur de France en Algérie Xavier Driencourt, l'ancien PDG d'Elf Aquitaine Loik Le Floch-Prigent et l'avocat Thibault de Montbrial.
Côté partenaires financiers, Livre noir a reçu le soutien de François de Voyer, ancien candidat FN dans l'Aisne aux législatives de 2017 et directeur du collectif Audace, « un réseau d’entrepreneurs de la bourgeoisie conservatrice qui vise à rapprocher les droites dures, de LR au RN », proches de Marion Maréchal, selon L'Opinion.
Dans le capital également, Gérault Verny, jeune chef d'entreprises multicartes en Rhône-Alpes, des équipements de défense aux assurances, élu député RN des Bouches-du-Rhône en 2024. En quête de financement pour relancer Livre noir, Tegnér n'a eu aucune difficulté à trouver 700 000 euros : « On a procédé à une augmentation du capital, expliquait-il à Libération en septembre dernier. Désormais 16 % sont détenus par des gens issus de la tech, des Français, qui travaillent à Londres. »
Des actionnaires startupers anonymes et discrets, cachés derrière la plate-forme de financement Vauban Nominees Limited, mais apparemment pas franchement sans le sou.
« Il y a quelques semaines, nous vous avions annoncé l’objectif de 6 000 abonnés payants au 31 décembre. (…) Il nous en manque 4 000 », lance Tegnér, avec l'air grave du chevalier blanc qui veut sauver la patrie d’une presse de gauche toute-puissante et moralisatrice. « Ne croyez pas qu’il y aurait derrière nous quelqu’un à même de subventionner le média. On ne peut compter que sur vous », poursuit notre Tintin reporter qui, de Romans-Sur Isère au désert sahélien en passant par Barbès, confond dénonciation obsessionnelle de l'immigration et propagande malhonnête avec grand reportage et investigation, calomnies et entorses à la déontologie avec journalisme rigoureux et ligne éditoriale.
Et si finalement, les déboires de Frontières, loin d'être le résultat d'un acharnement et de persécutions, avaient simplement des causes bien plus basiques ? Si Frontières a autant de poursuites judiciaires à son passif et si peu d'abonnés à son actif, c'est plutôt parce qu'en lieu et place d'informations inédites et vérifiées, on y trouve surtout calomnies, accusations sans preuve et propos injurieux et diffamatoires."
https://www.blast-info.fr/articles/2024/erik-tegner-frontieres-le-calimero-de-la-presse-dextreme-droite-adpHC2MNQByHv-YnuZX_5A
Enregistrer un commentaire