jeudi 9 novembre 2023

Un documentaire pour mesurer les enjeux agricoles - midilibre.fr

https://www.midilibre.fr/2023/11/09/un-documentaire-pour-mesurer-les-enjeux-agricoles-11568618.php

Dans le cadre du Festival Alimenterre, Barbotine, Familles rurales et Le Diablotin organisent le samedi 18 novembre, à 20 h 30, une projection ciné-débat.

Celui-ci propose chaque année, du 15 octobre au 30 novembre, une sélection de documentaires qui servent de support de débats et réflexions. Le festival amène les citoyens à s’informer et comprendre les enjeux agricoles et alimentaires en France et dans le monde, afin qu’ils participent à la coconstruction de systèmes alimentaires durables et solidaires et au droit à l’alimentation.

À Saint-Jean-de-Fos, ce sera le documentaire Du béton sur nos courgettes qui sera proposé dans la grande salle de l’Hostel Le Diablotin.

Le visionnage du documentaire (52 minutes) sera suivi d’un débat en présence de Dominique Paturel, du collectif Démocratie alimentaire. Sur place, petit buffet et buvette.

Réservation : evs34150@gmail.com ou 04 67 54 00 57. Pour en savoir plus sur le festival et les documentaires diffusés sur le territoire : www.alimenterre.org.
Correspondant Midi Libre : 06 07 61 79 56"

4 commentaires:

Anonyme a dit…

La salinisation des sols en Camargue est en marche ...


https://www.alternatives-economiques.fr/exces-de-sel-montee-de-mer-secheresse-menacent-littoral-mediterran/00108358

Anonyme a dit…

"A première vue, c’est une ferme comme une autre, avec des brebis qui bêlent et des vaches qui paissent. Pourtant, l’exploitation agricole de La Moricière, l’une des plus importantes de Pont-Saint-Martin (petite commune située au sud de Nantes, en Loire-Atlantique), aurait bien pu disparaître de la carte il y a quelques mois, après le déménagement de ses exploitants.

Mais plutôt que de voir ces terres nourricières bio se transformer en centre d’entraînement équin, projet qui se dessinait faute d’agriculteurs candidats à la reprise, la mairie s’est carrément portée candidate au rachat, en février 2022, le temps de trouver un repreneur. « C’est une démarche très innovante, qui n’est normalement pas le rôle d’une commune, indique le maire Yannick Fétiveau, dont le projet, partenarial, a été retenu. Mais nous ne pouvions pas rester impuissants. Sacrifier 180 hectares de terres fertiles n’était pas envisageable. Ce n’est pas du militantisme, c’est du pragmatisme… »
(…)


https://www.20minutes.fr/societe/4062230-20231114-pouvions-rester-impuissants-mairies-rachetent-fermes-sauver

Anonyme a dit…

QUAND LA STARTUP SAFER SE FAIT DAMER LE PION...

« Dès que la terre appartient à une société lucrative, il y a un risque de spéculation »

"Si des liens peuvent exister entre entreprises et associations, au niveau très local, les seconds critiquent vertement le modèle marchand. « À partir du moment où la terre appartient à une société lucrative, pour nous, il y a un risque de spéculation foncière », explique Orlane Leu.

La place de cet enjeu lucratif s’illustre dans l’opposition entre le modèle de Terre de liens et celui de Fermes en vie, deux foncières aux activités pourtant similaires. Là où Terre de liens a fait le choix de sortir les terres de l’économie de marché pour en faire un bien commun, dont personne ne pourra devenir propriétaire individuel, Fermes en vie propose une option de rachat au bout de sept ans de location. A priori, Feve, contrairement à Terre de liens, bénéficierait financièrement de la hausse du prix des terres, puisqu’elle se rémunère en partie sur la transaction.

En réponse, la foncière a imposé une règle qui se veut un garde-fou contre la spéculation : seule la moitié de l’inflation sera prise en compte au moment de l’achat.

« Nous ne sommes pas là pour l’argent, mais pour avoir un impact écologique et social. Les parts sociales de l’entreprise sont revalorisées en dessous du livret A et on ne verse pas de dividendes », tente de rassurer Vincent Kraus, son cofondateur. Pas de quoi convaincre Orlane Leu, pour qui le modèle est porteur de ses propres dérives. « Dans ces entreprises, les paysans sont presque systématiquement exclus de la gouvernance. Pour savoir ce qui adviendra de la terre, on ne peut compter que sur leur bonne foi et leur communication. »


https://reporterre.net/Installer-des-paysans-le-nouveau-sillon-des-start-up

Anonyme a dit…

"Mais ce bilan ne prend pas en compte les cumuls de pluie record enregistrés début novembre.

Avec les pluies d'octobre, "la période de recharge s'amorce", note le BRGM. Toutefois, les pluies ont été très disparates sur la métropole, et leur impact a été moins fort sur les nappes inertielles -celles qui mettent le plus de temps à se recharger- que pour les nappes dites réactives.

Ainsi, si "les niveaux sont satisfaisants" dans l'Ouest, en allant des Hauts-de-France jusqu'à la Nouvelle Aquitaine, la situation est "plus défavorable" dans le sud de l'Alsace. Les niveaux des nappes inertielles du couloir Rhône-Saône restent "préoccupants, de bas à très bas", note le BRGM.

Une vigilance accrue reste de mise durant l'automne, l'hiver et le début du printemps - période propice à l'infiltration des eaux jusqu'aux nappes grâce à une végétation moins abondante -, plus particulièrement pour les nappes continuant d'afficher des niveaux bas à très bas.

"Les pluies de cet automne vont avoir un impact en novembre-décembre et les niveaux en fin d'hiver, ce sera en fait le cumul de tout ce qui aura lieu durant tout l'hiver", prévient Mme Bault."

publié le 16 novembre à 15h52, AFP


https://actu.orange.fr/france/encore-65-des-nappes-phreatiques-sous-les-normales-de-saison-CNT0000029m1qc.html